« La nostalgie revient lorsque les promesses du présent ne sont plus à la hauteur du passé ».
Cette citation de l’écrivain canadien d’expression anglaise, Neil Bissondath illustre bien les paradoxes de la nouvelle Algérie qui replonge dans le passé pour s’inventer une récit afin de compenser un déficit de projet de construction nationale et de légitimité que le peuple continue à lui dénier.
Les scénaristes du pire continuent d’écrire l’histoire de lAlgérie Potemkine à coups de scénarions triomphants.
Comme il l’a fait pour le seconde fois, à l’occasion de la parodie électorale du 7 septembre dernier qui a prolongé le mandat d’un homme qui restera toujours le chef de l’Etat le plus mal élu de l’histoire de l’Algérie.
La célébration en ce 1er novembre 2024, du 70e anniversaire du déclenchement de la guerre de libération nationale, a donné lieu, comme c’est le cas, à chaque célébration d’un événement se rapportant à la reconquête de la souveraineté nationale, à des effusions discursives qui réactivent le souvenir d’un paradis perdu. Celui d’une Algérie des premieres années de l’indépendance marquées par l’idéalisme d’une révolution triomphante, avec l’élan enthousiaste d’un peuple engagé dans la construction d’un pays qui se voulait démocratique, populaire et anti-impérialiste.
De cet idéal révolutionnaire ne reste que les flonflons d’un discours médiatique et politique dans un pays qui se gargarise d’être « la mecque des militants révolutionnaires », indépendantistes et anti-impérialistes du monde entier.
Des vieilles lunes que le régime continue à exhumer pour se donner de la consistance et l’assurance d’exister dans un monde en perpétuel transformation. Le but du jeu est de permettre à Tebboune de se rêver en leader maximo en symbiose avec son peuple. C’est dire combien l’horloge biologique de cet homme de 79 ans est bloquée à un temps que les moins de 40 ans ne connaissent pas.
Tebboune se veut – du reste, il s’en est jamais caché – l’incarnation d’un Boumediene dont il n’a ni l’intelligence ni l’étoffe politique. De l’ex-colonel de l’armée de l’extéieur qui a conquis le pouvoir par le coup de force contre la GPRA, Tebboune n’a hérité que l’inclination à l’autoritarisme, à l’appétence pour une gouvernance fondée sur le déni des libertés fondamentales.
Ainsi, de Ben Bella, à Tebboune, en passant par Boumediene et les autres présidents, le rêve révolutionnaire véhiculé par l’esprit de Novembre 1954, a viré au cauchemar dans une Algérie redevenue une vaste prison.
Depuis don accession au pouvoir, l’actuel chef de l’Etat s’est employé à réduire à néant la liberté de pratiquer l’action politique que le soulèvement populaire d’octobre 1988 a rendu possible. Il a foulé au pied tous les espoirs nés du printemps 2019, tout en se revendiquant avec un cynisme assumé des mots d’ordre du Hirak.
Le régime en place est le parfait parangon d’un contre-exemple d’un Etat de droit. Ne supportant aucune critique, il s’évertue à dénier ce droit aux citoyens et à réduire au silence toutes les voix, qu’elles émanent de franges de l’opposition, des journalistes, des réseaux sociaux, des milieux d’affaires, qui refusent de se soumettre à son diktat. Il préfère laisser parler ses laudateurs qui passent leur temps avec zèle et insolence à tresser des lauriers à Tebboune.
Il est manifeste que la récente libération du journaliste El Kadi Ihsane et d’autres prisonniers d’opinion injustement incarcérées ne peut cacher la chape de plomb qui écrase l’Algérie.
La diarchie Tebboune -Chanegriha issue coup de force contre le soulèvement pacifique des Algériens en 2019 est en train d’entraîner le pays dans une voie périlleuse.
Yacine K.
Le régime fascite algérien n’a pas changé d’un iota sa politique de répression contre le peuple, depuis que le traitre ben bella appuiyé par l’armée des frontières de boumedienne, qui elle-même armée par le régime égyptien de l’époque. Le régime militaire algérien, reste prèsque le même que celui de ben bella et boumedienne qui ont confisqué l’indépendance du pays. Aujourd’hui encore changriha et teboune restent illigitimes et étulisent la répression pour réprimer le peuple, et continuent de lui supprimer sa liberté et son droit de gérer le pays. L’armée algérienne continue sur sa politique répressive contre le peuple, qui finira définitivement par un désastre. Une armée qui s’occupe de la politique au lieu de s’occuper de la défence du pays, tout en sachant fort bien que le domaine de la politique revient au peuple. Cette armée qui s’est accaparé injustement le domaine de la politique depuis 1962 contre la volonté du peuple, continue aujourd’hui sur la même voie et ne semble pas du tout lacher prise. Elle continue à agir contre les droits du peuple. Comme si le peuple est sa propriété. L’armée algérienne ne semble pas du tout réaliser qu’elle continue à commettre une grave injustice envers le peuple et qui conduira surement à un désastre certain. Si l’armée algérienne, aime vraiment le peuple, il est plus que temps, de se retirer de la politique et de se consacrer uniquement à la protection du territoire national. Les politiques du pays doivent émaner d’un parlement élu, choisi par le peuple et dont les membres doivent rendre des comptes de leur décisions à ce peuple qui les élus. C’est la seule manière de retrouver le bon chemin et de redresser ce pays. Pour l’instant ce n’est pas avec les slogants et la propagande des dirigeants actuels que ce pays se sortira de l’impasse dans laquelle, ils l’on plongé .
Ce n’est tant la confiscation qui gene, tant les Algeriens manquent de maturite’ pour pouvoir assumer une si lourde independence – lourde de ses ressources – e mal est dans son(independence) DETOURNEMENT, c.a.d. SA DENATURATION. C’est la cause de l’IMMATURITE’ justement. Faut-il aussi ne pas confondre avec absence de SAGESSE. Toute la region a herite’ d’une sagesse inouie – sur toute la region nord-Africaine, au fait. L’empreinte de cette sagesse est que les differents Peuples n’ont pas connu de guerrillas sans cesse, a travers les siecles. Bien au contraire, au point de se faire surprendre NON-PREPARE’S, aux attaques d’autruis. Nous, tous les nord-Africains, sommes heritiers ou survivants d’une civilisation plus lointaine qu’on ne l’imagine, que les forces de la nature et la racaille Humaine de toutes epoques n’ont ni su ni pu achever, comme ce le fut ailleurs.
L’exploit est d’avoir survecu jusqu’a l’eveil de la Science qui finit enfin par parler et dire la rude verite’ de l’Humanite’. Du coup, notre histoire, et cette sagesse a laquelle je refere, elle commence a se faire extraire et faire connaitre, de la nature-meme. Depuis les sommets de l’Atlas au finfonds du Hoggar. Du Nile a l’Atlantique – Et, nous ne sommes pas les seuls a nous reveiller sur de tels heritages, lourds a defendre et a porter.
Maintenant, que la Science est l’affaire de tous, ce poid-la aussi l’est. L’imposture racaille qui pietine chez-nous est deja mise a l’ecart partout au monde. Ses discours fantaisistes et les projections bizarres aussi. Leur projets sont teints de l’illegitimite’ des personnages qui les defendent. C’est une veritable maladie, a l’exemple de leurs semblables qui ont cause’ les deguats que l’ont connait, aussi bien aux Palesstiniens qu’aux Libanais et Yemenites – pris dans une transe d’un delire dont ils n’arrivent a se delivrer, ne serait-ce un instant. Pourtant, l’occasion s’est presente’e, a travers la decennie noire, qu’ils n’ont helas pas subit. Le seul point-faible de cette sagesse, dont il faut maintenant se debarasser. Si ce n’est pas eux, ca sera nos enfants qui subiront – pire, helas.