Mille milliards de dollars pour Donald Trump, au diable la planète !
L’un des premiers décrets signés par le président des Etats-Unis, Donald Trump, est celui qui fait sortir son pays du traité de Paris contre le réchauffement climatique. Raison invoquée de façon cynique, de moquant au passage de son prédécesseur : cela fera économiser mille milliards de dollars à l’Amérique.
Malgré la fonte des banquises, malgré les pluies diluviennes qui se sont abattues ça et là, aux quatre coins du monde, malgré l’incendie géant qui a ravagé Los Angeles, M. Trump ne veut pas faire l’effort de sortir de sa bulle et prendre conscience des dangers qui menacent la planète …
Par la grâce d’un dirigeant inconscient, élu démocratiquement par une majorité tout aussi inconsciente, le monde s’est indubitablement embarqué sur une trajectoire de suicide collectif que rien ni personne ne semble en mesure de contrôler, encore moins d’inverser. Mais qui peut faire entendre raison à un forcené qui invoque le miracle de Dieu pour expliquer le fait qu’il ait échappé à un attentat ? Mais, qui osera dire stop à la folie d’un octogénaire qui croit avoir raison contre toute raison, alors qu’il représente le préjudice absolu pour la prospérité du monde ?
Que vaudront ces milliers de milliards de Dollars pour extirper les générations futures de catastrophes naturelles qui deviennent de plus en plus incontrôlables … bien cloîtré dans ses nombreux immeubles, avec la température idéale, qu’il pleuve des crapauds ou qu’il neige du plastique en Arctique, Monsieur Trump ramène la survie de l’humanité à la sienne et à celle de sa famille…
Jamais la formule « après moi le déluge » n’aura pris son sens absolu.
Malheureusement, M. Trump n’est pas le seul fou de la planète.
Quel que soit l’endroit où nos yeux se posent, le panorama est le même : un homo-sapiens déshumanisé qui souffre d’un nombrilisme si chronique que la vision de sa propre destinée ne dépasse pas le bout de son nez.
« La maison brûle et nous regardons ailleurs » avait énoncé Jacques Chirac en son temps.
Haine, violence, guerres, en lieu et place de l’amour et de la paix, dominent partout sur la Planète.
La Terre veut la paix, l’Homme veut la guerre.
La Terre veut l’amour, l’Homme veut la haine.
La Terre veut de la bienveillance, l’Homme est en quête de violence.
La Terre protège toutes ses créatures, l’Homme, ce virus galactique, agresse tout ce que ne lui renvoie pas son miroir.
La Terre crée la vie, l’Homme sème la mort.
La Terre survivra, inévitablement l’Homme périra.
Adieu les millions d’années qui ont façonné ce bipède préféré des cieux.
Adieu le ciel bleu et la lune de tous les ébats.
Adieu Soleil et sa rayonnante lumière.
Adieu marches et combats qui ont façonné tes pas.
Tu resteras dans l’histoire de l’univers comme la créature qui a précipité sa mort. Mais qui se souviendra de toi, minable carnivore ?
Kacem Madani
Je cite: » Malgré la fonte des banquises, malgré les pluies diluviennes qui se sont abattues ça et là, aux quatre coins du monde, malgré l’incendie géant qui a ravagé Los Angeles, M. Trump ne veut pas faire l’effort de sortir de sa bulle et prendre conscience des dangers qui menacent la planète … »
La planete, il y en a plein ! Les Etres Humains quand a eux sont expose’s au dangers des Klebs. La mesquinerie, sur le dos des autres, c’est fini, du moins pour 4 ans !
Il faut du beau temps et de la chaleur pour un mois de vacances, aux frais de la princesse.