La dégradation des relations entre la France et l’Algérie connaît un nouvel épisode concret, cette fois-ci dans le domaine consulaire. Dans un communiqué rendu public ce 26 août, l’ambassade de France à Alger a annoncé une réduction significative de ses effectifs et de ceux de ses trois consulats généraux à compter du 1er septembre prochain.
Cette baisse des effectifs, estimée à un tiers, découle du refus du ministère algérien des Affaires étrangères de délivrer la majorité des visas d’accréditation sollicités pour les nouveaux agents expatriés.
Habituellement, ces derniers prennent le relais de leurs prédécesseurs à la fin de l’été. Faute de renouvellement, les postes d’Alger, Oran et Annaba se retrouveront sous-dotés dès la rentrée.
Au-delà du symbole diplomatique, la décision aura des effets immédiats pour les usagers. Les consulats français disposeront désormais d’une capacité limitée à instruire les demandes de visas. « Tant que durera cette situation, le nombre de rendez-vous disponibles auprès de notre prestataire Capago devra être réduit », précise le communiqué, qui insiste néanmoins sur la volonté de maintenir des délais de traitement « aussi raisonnables que possible ».
Dans ce contexte contraint, les autorités consulaires entendent réorganiser leurs services en accordant la priorité aux ressortissants français, aux renouvellements de visas et aux demandes d’étudiants souhaitant poursuivre leur cursus en France. Les autres catégories de demandeurs risquent en revanche de subir de longs délais ou de voir leur accès aux rendez-vous fortement restreint.
Cet épisode s’inscrit dans une séquence de tensions récurrentes entre Paris et Alger, où les dossiers migratoires et de circulation des personnes tiennent une place centrale. Après les réductions temporaires de visas décidées par la France en 2021 puis l’assouplissement progressif en 2022 et 2023, la situation actuelle marque un retour en arrière qui illustre la fragilité des équilibres entre les deux pays.
La rédaction
Deux mesures de retortion contre la france:
1) Les jiniros et les membres dibiro boulitik vont faire bissi l’iro au square.
2) Les zimams vont demander aux souhars de taper avec les zious les romis.
3 consulat Francais en Algérie contre 18 consulats Algériens en France
A force de refuser de reprendre les OQTF Algériens il fallait bien s’attendre à une restriction des visas puisque notre gouvernement ne veut pas reprendre ceux qui sont expulsés de France il semble logique que ce pays réduise le nombre d’Algériens pouvant obtenir un visa pour s’y rendre
NORMAL
Tant mieux ; trop d’algériens se comportent mal en France et nous embêtent de plus en plus avec leur religion .De toute façon les étudiants ont tout intérêt à aller étudier en angleterre ou au canada puique les algériens veulent supprimer la langue Française.
@Siméon tout à fait d’accord avec vous . Non seulement beaucoup d’entre nous se comportent mal ou sont dans la grande délinquance, mais le paradoxe c’est qu’ils fuient le pays, sa dictature , les privations de libertés en tout genre, mais dès qu’ils arrivent en France , ils veulent faire revivre et alimenter les mauvais côtés de leur culture, de leur mentalité en ce qui concerne l’égalité des droits civiques entre l’homme et la femme, ils gardent toujours leur mentalité machiste envers la femmes, ils restent toujours entre hommes dans les cafés, les restaurants, les cinémas ( à des exceptions près) , ils font preuve d’intolérance remarquable vis à vis de leurs confères algériens qui décident de sortir de l’islam ou de ne pas la pratiquer ou ceux qui décident de ne pas pratiquer pas le ramadhan ! Ils sont impitoyables sur ces questions, voire très brutal. C’est incroyable.