Le ministère algérien des Affaires étrangères a rendu public un communiqué détaillant la position officielle d’Alger suite à l’accord portant sur le début de l’application de la première phase d’un « plan de paix du Président Donald Trump » dans la bande de Gaza.
L’analyse algérienne, empreinte de sobriété, considère cet engagement comme un mouvement initial, tout en réaffirmant les fondamentaux de sa diplomatie concernant la question palestinienne. Tout le monde aura cependant remarqué que l’Algérie de Tebboune ne joue aucun rôle de médiation. Cela ne l’empêche pas de s’accrocher à ses fondamentaux.
Alger prend acte de l’accord en question, le qualifiant de « premier pas vers la fin de l’agression israélienne contre le peuple palestinien frère ». Cette formulation, tout en reconnaissant une avancée dans le processus de désescalade, maintient une lecture critique de la situation et insiste sur la nécessité d’une cessation totale et définitive des hostilités. L’Algérie se positionne ainsi dans l’observation constructive des initiatives visant à la stabilisation.
Dans l’immédiat, le communiqué exprime l’accueil favorable d’Alger au « cessez-le-feu immédiat » et à « l’introduction urgente des aides humanitaires et de secours » destinées au secteur de Gaza. Le ministère souligne que ces deux points constituent des « revendications que l’Algérie et la communauté internationale ont longtemps portées » pour mettre fin aux souffrances de la population palestinienne. Ce satisfecit partiel conforte la légitimité des appels précédents d’Alger sur la scène internationale en faveur d’un allègement humanitaire.
L’objectif suprême : l’État de Palestine sur les frontières de 1967
Toutefois, l’analyse algérienne dépasse la simple phase transitoire. L’Algérie « espère que cette étape ouvrira la voie à une solution pacifique, durable et définitive » au conflit. Les conditions posées par Alger pour un tel règlement sont claires et conformes à sa doctrine historique : la garantie de « tous les droits nationaux légitimes » du peuple palestinien.
Ceci se traduit, explicitement, par « le droit à l’établissement de son État indépendant sur les frontières de 1967 avec Al-Quds Al-Charif (Jérusalem) pour capitale ». Cette exigence est présentée comme étant celle « approuvée par les Nations Unies » et renforcée par la reconnaissance internationale progressive de l’État de Palestine.
En conclusion, le communiqué du 9 octobre 2025 révèle une position diplomatique algérienne qui allie un pragmatisme mesuré face à l’accord en cours d’application et une fermeté inébranlable sur les principes de la solution à deux États basée sur le droit international. L’Algérie salue l’arrêt des combats, mais rappelle que l’objectif ultime reste la souveraineté palestinienne complète.
Samia Naït Iqbal


Madame N’ait Iqbal, quand on n’a rien à dire; on n’écrit pas! Votre post tout comme la pseudo déclaration de la … disons … la diplomatie Algérienne est un non événement car on ne meuble pas le vide avec le vide. À bonne entendeuse …
Et les droits légitimes du peuple algérien écrasé par la tyrannie Kelboune ?
La qouwa adhariba pose ses conditions, rien que ça ! Waw quelle bravoure !
Depuis leur déchetterie, ils dictent les conditions aux belligérants. Ils se prennent pour dieu sur terre ces enturbannés des Tagarins?. Ne savent-ils donc pas encore qu’ils ne représentent rien ? Que ça ne sert à rien d’aboyer quand personne ne te cause ? Là, c’est une affaire d’adultes, les gamins ont intérêt à se coucher plus tôt pour… grandir.
Ah oui, c’est leur fond de commerce ! Ils ne veulent pas que ce merdier trouve enfin une solution. Il est vrai qu’Ils vont avoir du mal à trouver un autre sujet à mettre au 20 heures pour meubler leur journal à la con à la place de ce sujet vieux de 60 ans. Il va falloir également revoir les programmes scolaires…
Waw! C’est beaucoup trop de choses d’un coup !
Je cite: « Ceci se traduit, explicitement, par « le droit à l’établissement de son État indépendant sur les frontières de 1967 avec Al-Quds Al-Charif (Jérusalem) pour capitale ». Cette exigence est présentée comme étant celle « approuvée par les Nations Unies » et renforcée par la reconnaissance internationale progressive de l’État de Palestine. »
Je vais faire simple: Hot Air !!! c.a.d. Toz. De quelle carte dispose-t-il pour dire quoi que se soit ? Et si une telle carte existait, qu’attend-il pour la deployer? La fin des Palestiniens?
Il y a 2 semaines, l’ambassadeur gueulait a NY que l’Algerie etait prete a recevoir tous les Gazaouis… « dans le sens des sionistes ! » presente’ comme de la resistance ?
Faut dire que teboune passe son temps a ecouter Fox News, avec un traducteur, qui lui raconte n’importe quoi. Il a parait-il demande un Banker sous le MDN, ou ils ont lui et changriha commence’ a se reunir regulierement… pour parler « secret ». Je ne croyais pas mes yeux quand j’ai vu la bagra arriver. Ils savent maintenant que les colonels non-promus et les autres generaux veulent les voir deguerpir.
Cet état voyou ne dupe personne. Ce com. est destiné à l’intérieur pour ceux et celles qui croient encore que ce »pays » est vraiment un pays …
Cet état voyou géré par des … voyou est une QOWA IQLIMIYA … HARIBA (FUYARDE) ses »généros » fuient et se cache comme des malfrats traqués par leurs passé et acts lâches commis sur les peuples de cette région …
LA KABYLIE SAIT TOUT CELA. La Kabylie revient doucement et surement pour son INDÉPENDANCE.
L’actualité au Proche Orient depuis deux ans a consacré le fait que l’Afrique du Nord n’est pas concernée par ce conflit au titre de la fraternité arabe. Les jeunes sacrifiés durant les conflits de 67 et 73 l’ont été par les dictateurs sans que les peuples n’aient un mot à dire
Les initiatives proposées l’ont toutes été soit par les arabes (Golf, Égypte, Hamas) soit par les américains ou les israéliens. Seuls les intéressé ont pignon sur la question.
Il ne suffit pas d’étaler en long et en large le verbiage´frère arabesque’ ou´el Guds Sharifeux’ pour être admis dans la fratrie arabe. C’est destiné exclusivement au marché intérieur y compris quand c’est prononcé a l’ONU. C’est une sorte de post-graduation à de l’école et des Media. Les adultes, ceux qui ne biberonne plus à l’école, ont eux aussi droit à une part de la chimérique nation arabe du Golf à l’Atlantique.
Sauf que cette littérature, une fois confrontée a l’air extérieur, elle s’évapore.
Tiens tiens et waow! maintenant c’est « l’agression israélienne » et non plus « l’entité sioniste », quel progrès ! Mazal lxiṛ ɣer zdat a tazdayt
!
Merci pour les infos du Matin d’Algérie, seul média donnant de véritables infos. Mais par pitié, ôtez ces pubs dégueulasses, à vomir, qui les entourent.
C’est ton BROWSER, c.a.d. le CONTENANT du contenu de quelconque site que tu visites. Au mieux ca serait l’hebergeur.
Pardonnez moi, mais je n’ai pas compris ce titre . « Sur Gaza, l’Algérie fixe ses conditions : » . Mais de quoi je me mêle ? L’Algérie a t-elle vraiment son mot à dire sur la question Palestinienne et les questions du Moyen Orient ? A t-elle les capacités politiques, militaires et diplomatiques pour imposer quoi que se soit dans cette région ? Des tambours , des derboukas , des zornas disent (oui chez nous elles parlent) que c’est grâce au « travail colossal » de l’Algérie en tant que membres non permanents au Conseil de Sécurité de l’ONU que Gaza a été « libérée » . Ma parole , j’ai failli tomber de rire par terre dans ma petite cuisine quand j’ai entendu tout çà.