Le ridicule ne tue pas en Algérie. L’université de Djelfa vient de s’illustrer d’une bien triste manière pour plaire à Tebboune.
Cette institution censé prodiguer la science et le savoir organise un colloque qui ambitionne de faire une analyse sociologique du discours d’Abdelmadjid Tebboune au sommet arabe qui a eu lieu à Alger. Le tout, tenez-vous bien sous le haut patronage d u ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Le comble !!!
Cette initiative nous aurait fait sourire si elle ne renseignait pas sur la vacuité et le larbinisme qui ronge ces institutions.
A l’heure où les nations évoluées pensent à lancer des satellites dans l’espace et à trouve la vie dans l’univers nos universités s’enfoncent dans le ridicule et l’obséquiosité.
En vrai tant que nous sommes dirigés par des hommes et des femmes qui promeuvent le larbinisme et l’obscurantisme, l’Algérie ne se relèvera pas.
Yacine K.
A part la Kabylie rebelle le reste de ce qu’on appelle Algérie dans sa majorité s’acommode bien avec ce régime qui ne se nourrit et perdure que grace à ces larbins….des universitaires sont réduits à cette prostitution, que dire des personnes lambda, les universités en Algérie ce n’est que du khorti, dans certaines contrées comme Djelfa c’est presque des zaouïas….de manière générale l’élite dite intellectuelle Algérienne à quelques exceptions près, n’est que chimère, même le fameux Kamel D. qui a pourtant vu comment des pays se développent en vivant ou en ayant vécu en Europe trouve que Teboune est bien élu président puisque il s’est mit à plat ventre pour l’interviewer en faisant sa promotion, tous les autres c’est la même chose ou qui se tairent dans le silence comme des lâches qui est une forme de complicité avec ce régime criminel.
On ne recolte que ce que l’on seme. Au pays de l’idolatrie d’un tableau en bois, rien ne choque. Voici un autre exemple ou un chiffon qui s’appelle le soir d’algerie a mis en rubrique journaliere abdelmadjid tebboune. Regardez bieen en haut des titres principaux. Jamais un journal reserve une rubrique pour un homme ou une femme en PERMANANCE. La bassesse n’a plus de limites en profondeur.