Une collision entre un bus et une voiture à Tamanrasset, extrême sud d’Alger, a fait 34 morts et 13 blessés, selon un bilan préliminaire publié par les services de la protection civile.
Selon un communiqué de ce corps constitué, ce tragique accident, suivi d’un incendie, s’est produit à quatre heures du matin de mercredi 19 juillet 2023, au niveau de la Route Nationale n°1 dans la région de l’Atoll, près de Tamanrasset.
Cet accident s’est produit suite à une collision entre un véhicule utilitaire et un bus de transport de passagers, faisant un grand nombre de victimes. Le premier bilan fait état de 34 morts, dont les dépouilles ont été calcinées, et 12 blessés qui ont été soignés et transportés à l’hôpital.
Ce drame de la circulation routière, le plus lourd en nombre de victimes, survient environ deux semaines après un accident similaire impliquant un déraillement de bus à Bordj Bou Arréridj, dans le nord-est du pays, faisant 8 morts et 20 blessés graves. Il y a quelques jours à peine, un accident similaire à été enregistré à Tindouf dans le sud-ouest du pays, entraînant la mort d’une personne.
De tels accidents se répètent régulièrement, ce qui a poussé les autorités à prendre des mesures dissuasives, notamment en ce qui concerne les bus, obligeant les opérateurs de transport sur les longues distances à engager deux chauffeurs qui devront se relayer car la fatigue représente un pourcentage important des causes d’accidents.
Un bilan fourni par les services de la protection civile indique que les accidents de la circulation ont causé la mort de 333 personnes et 12 717 blessés avec des dommages corporels plus ou moins graves, et ce, depuis le début du mois de mai dernier jusqu’au 11 juillet, période durant laquelle il a été enregistré 11 542 accidents de la circulation au niveau national.
La Direction générale de la sûreté nationale a récemment déclaré qu’elle est en train de développer un nouveau système de données pour réduire les accidents de la circulation, qui permettra d’obtenir « une vue complète des détails associés aux accidents de la route qui aideront à lutter contre ce phénomène, qui est devenu un massacre vu le nombre de morts qu’il cause.
Dans leur explication de ces accidents, les services de la protection civile précisent que les raisons sont souvent liées à la vitesse et aux manœuvres dangereuses, ainsi qu’aux comportements négatifs de certains, notamment des jeunes, qui provoquent de nombreux accidents.
Samia Naït Iqbal
Bonjour,
Comment voulez-vous que les lecteurs vous prennent au sérieux et croient ce que vous écrivez. Je lis dans votre texte, au début : « Une collision entre un bus et une voiture à Tamanrasset… » Et 6 lignes après : « Cet accident s’est produit suite à une collision entre un véhicule utilitaire et un bus de transport de passagers, faisant un grand nombre de victimes ».
Alors que d’après la gendarmerie il s’agit d’un bus de transport de voyageurs en provenance d’Adrar qui est entré en collision avec un véhicule utilitaire roulant en sens inverse. Ce véhicule utilitaire transportait une grande quantité de carburant, d’où l’incendie qui s’est déclenché après la collision, incinérant complètement les deux véhicules.
c est une catastrophe humanitaire. encore une ! avec 333 morts en moins de 3 mois…yalatif !
ces bus sont des morbides dans toutes leurs formes …du n importe quoi…il faut arreter les voyage de nuit sinon mettre des avions a bas prix pour transporter ces pauvres gens …allah yarhamhoum et mes sinceres condoleances aux familles mseken
Les premiers responsables sont les autorités qui ferment les yeux et ne remplissent pas leurs responsabilités. ces accidents, pour moi ces chauffards sont des criminels et doivent être jugés comme tels, sont dus à plusieurs raisons :
– vétustuté des véhicules ;
– non entretien et non réparation de ces véhicules ;
– non respect du code de la route ;
– permis obtenu sans apprentissage du code de la route et sans passage des examens mais en payant le responsable de l’auto école avec une grosse somme d’argent.
Tous les algériens connaissent la corruption au niveau de l’obtention du permis mais personne ne réagit et surtout l’état.
Apparemment la mentalité des algériens est pour quelque chose. En France, on constate que ceux qui ne respectent pas le code de la route sont souvent des Maghrébins. On dirait que se sont leurs gênes qui sont défaillants. Cela me rappelle ce que disent les setifiens : « L’homme qui ne meurt pas au volant d’une voiture ce n’est pas un Homme »