L’écrivain Akli Ourad présentera, jeudi, au centre culturel algérien à Paris, 19h, son ouvrage « De Londres à Jérusalem, terreur promise ».
L’ouvrage d’Akli Ourad, expert international en Ingénierie, est récit et témoignage, une oeuvre qui marquera la bibliographie historique sur la Palestine. C’est Salah Guemriche qui sera le modérateur.
L’artiste-peintre, Samhane Khelil, une grande artiste-peintre algérienne de Valencia (Espagne), expose ses œuvres sur les lieux. Elle est à découvrir !
Dit-moi qui tu fréqnetes, je te dirai qui tu n’es pas !
»au centre culturel alx… »
Ahlil !
A din uqavac ! Amzun kra ur yelli di Lavev3a At Iraten …
Azekka ad yali w as …
Le centre culturel algérien ? Tiens ? Ce centre réservé aux larbins du régime algérien. Ben oui ça parle de Palestine !
Et dire que j’ai défendu contre l’avis de tlm, dans l’article précédent, la liberté d’écriture de l’auteur.
Là, pour le coup, je revois mon jugement, non point sur la liberté littéraire mais sur la probité intellectuelle de cet auteur qui ne mérite plus aucun commentaire.
Nighak a Urfane
Tu as une drôle de conception de l’écriture. Tu défends la liberté d’écriture mais tu exiges une probité littéraire. Amounavi , amounavi solma, « probité littéraire est un oxymore ». Si j’aimais ce genre de thématique j’aurais lu ce roman.
Un autre Akli,chanteur seulement, disait dans une de ses chansons, « echqa ur nesin anghar ». Heureusement que je ne sais pas lire, il aurait dû dire. Je n’avais aucune intention de lire le roman, malgré tout le bien qu’en ont dit les brillants critiques du Matin-Dized, par pure solidarité tribale. Il faut croire que c’est en vain, et que les lecteurs du Matin-Dized n’ont pas mordu.
Maintenant, je crois qu’on ne peut pas défendre la liberté d’écriture et pas la liberté de lecture. Ce sont ceux-là qui fustigeaient Y.K quand il a dit si : « c’est un Kabyle je ne signe pas » et qui défendent Sansal quand il va à « Frontières » qui s’en prennent à Akli Ourad parce que lui il signe pour ceux qui vont au centre culturel algérien.
Azul @ Hend, Ala y lakg a’nemsefham.
Je ne sais pas si tu as lu mon commentaire du 1er article sur l’auteur où, malgré mes relents tribaux refoulés, j’ai défendu sa liberté d’écrire (y compris sur le drame des palestiniens).
Mais, là, dans le second article, il n’est plus question de liberté d’écrire mais de compromission (et pour quelle raison sinon la mangeoire?) avec le régime algérien qui, rappelons-le, embastille pour un wi pour un non avec une appétence particulière pour les kabyles.
Et tu m’excuseras, mais je n’ai pas dit probité littéraire mais « intellectuelle » c’est pas kif-kif!
Skiz-moua touamim de te demander pardon. j’insiste sawacharen. Il n’a pas été là-bas pour donner une conférence sur La vie des fourmis rouges de Kantija mais pour vendre son livre. L’inverse de Sansal, qui lui n’a pas été vendre son livre mais pour donner des leçons d’ istwar.
Larjan n’a pas d’odeur!