28 avril 2024
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Allah Akbar : à la fois appel à la prière et cri de guerre !

Encore une polémique qui fait rage en France et, par ricochet, produit un tollé démesuré de l’autre côté de la Méditerranée ! Il ne manquait plus que l’intonation « Allah Akbar » s’invite dans les débats !

Les uns soutenant que cette exclamation, individuelle ou collective, est un cri de guerre, les autres affirmant le contraire.

Il n’est pas faux d’affirmer que les uns et les autres ont tout à fait raison ! Car cela dépend de tout et de rien !

Allah Akbar est, en premier lieu, prononcé lors de génuflexions pendant chaque prière du musulman. Vu sous cet angle, il n’a donc rien de belliqueux, bien au contraire ! Il est aussi proféré pour s’en remettre à Dieu quand on traverse des périodes difficiles dans la vie et avouer son impuissance à résoudre certains problèmes ! Quand les Chinois ne sont pas là pour les prendre en charge.

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Cependant, ce cri a été détourné pour être utilisé à tort et à travers par ceux qui prétendent combattre dans le sentier d’Allah. Ce ne sont pas les exemples qui manquent pour étayer ce constat :

– Remontons dans l’histoire. Pendant la sale guerre d’Algérie, pour nos Moudjahidin ce cri ne constituait-il le cri de combat et de ralliement par excellence à la noble cause de décolonisation ?

– Idem pour les islamistes qui avaient mis notre pays à feu et à sang pendant la décennie noire !

– Tous les attentats lointains ou récents dans l’Hexagone ou ailleurs n’ont-ils pas été commis par des terroristes en les précédent d’un Allah Akbar qui ne prête à aucune confusion ?

Puisque tout le monde rabâche la même chose sans relâche, au fil d’une actualité qui n’inspire rien de bon, et que tout le monde semble camper sur des positions inamovibles, campons aussi sur les nôtres en énonçant que prononcé avec calme et sérénité, Allah Akbar n’est en aucun cas un appel au meurtre ou un cri de guerre. Cependant, hurlé à gorge déployée, les armes à la main, force est de constater qu’il constitue bien un cri de ralliement à la cause !

« Allah akbar » est donc à la fois appel à la prière un et cri de guerre ! Cela dépend du temps, du lieu, et par qui il est prononcé ! Est-ce si difficile de comprendre cela ?

Et si, pour une fois, les hommes arrêtaient d’inviter Allah ou Jéhovah à leurs démêlés de virus galactiques !? Le monde ne s’en porterait que mieux !

Kacem Madani

19 Commentaires

  1. Allah Akbar ! C’est dire qu’au nom du grand Manitou des musulmans, on peut trucider les femmes, enfants et hommes qui sont par essence infidèles ! C’est le djihad ! En plus cerise sur le gâteau, si ces sociopathes meurt en # Martyr #, ils ont des privilèges pour aller directement au paradis d’Allah, avec ces houris !
    Les dirigeants d’Israël devraient s’intéresser à l’histoire car il y a des points commun entre l’attaque du Hamas et les exactions du FLN, dans le Constantinois, en 1955, les militants du FLN ont également trucide plus d’une centaine d’Européens et de musulmans modérés, les bébés, femmes violees !
    La sureaction de l’armée française avec ses millers de morts et le climat de peur a permis la médiatisation de la situation en Algérie !

  2. C’est comme le fer, il y en a qui s’en servent pour fabriquer des protheses pour les amputés d’autres pour fabriquer des mines pour provoquer des amputations donc comme vous l’avez ecrit chacun donne son propre sens à ce qu’il dit et je pense qu’à lire votre article vous avez des visées inavouées

  3. LA GUERRE D’ALGERIE, c’est quoi ?

    A mon avis, il est temps d’apprendre à nos écoliers , à nos lycéens, aux citoyens algériens que la guerre d’Algérie n’était pas une guerre sainte ou une guerre religieuse ou une guerre contre des chrétiens, mais que c’est TOUT SIMPLEMENT UN COMBAT ANTI COLONIALISTE , voire ANTI IMPERIALISTE ! C’est un combat, une guerre contre des colons français qui ont voulu s’accaparer nos terres qui ne leur appartient pas, point barre !

    Les algériens doivent savoir que c’est une tendance du mouvement national , phagocyté par l’Egypte et les Frères Musulmans dès les années 40, qui ont imprimé le caractère religieux, voire arabo islamique, voire arabique, voire islamique à la lutte anti coloniale ! C’est ainsi devenu un combat « fissabilillah », donc au nom de Dieu , du Prophète et du Coran, d’où la dénomination de « moudjahidine » attribués aux combattants ALGERIENS ! Nos martyrs sont bien appelés des « moudjahidine », oui ou non ?. Voilà donc la vraie vérité que beaucoup d’algériens ne veulent pas admettre car le pouvoir de 62 les a contraint de rester dans sa matrice politico idéologique arabo islamique exclusive, voire pan arabiste.. voire islamiste jusqu’à à ce jour !

    NB : « Moudjahed », est un terme de la religion musulmane qui désigne une personne qui prend les armes au nom de l’Islam, au nom de Dieu. Le moudjahidine fait le djihad c’est à dire une guerre sainte pour défendre la religion musulmane. Eh oui !!!

    • Il n’existe pas d’autres mots pour désigner moudjahid . dans se contexte il perd toute sa valeur religieuse .d’ailleurs les oulamas à l’époque du dèclenchemenr de la révolution n’était pas pour une lutte armer . Et ces soit disant oulama ils étaient tous les bachaghas .

  4. Si vraiment quelqu’un croyait au bon dieu et qu’il etait convaincu que ce bon dieu est au dessus de tous et de toutes, pour quelles raisons va-t-il gueuler a tue-tête et sans relache “dieu est grand” ? C’est comme si dieu était si petit qu’il a besoin d’aide de microbes et de bactéries terriens appelés “humains”. Normalement c’est “haram” sur toute la ligne de crier “dieu est grand” car si les “croyants”- qui sont normalement des être inférieurs a dieu auquel ils croient – doutent de sa grandeur au point de le rassurer au quotidien 5 fois par 24 heures et a toute “occasion de haine et de sang” ne font au fait que de le rabaisser. Je mets en cause les muezzins qui se donnent rendez vous, tous en choeur, et qui me reveillent a 4 heures du matin chaque jour pendant 365 jours par an, ce qui fait exactement 1460 aggression sonores pour mes tympons. Ces gens qui nous rappellent que dieu existe ont augmenté les décibels des hauts parleurs sans demander l’avis de personne ni poser la question s’il y a des malades aux alentours. Alors normalement, une fois que quelqu’un est convaincu que son dieu est le plus “grand”, se le rappeler a haute voix et sans retenue n’est qu’une remise en cause totale de sa grandeur. Sinon l’autre possibilité est de croire que plus les decibels des cris de “dieu est grand” augmentent, plus ils croient que ce bon dieu va pardonner, voir oublier leurs crimes. Personnellement je pense que c’est la source principale de la répétition et du volume de l’expression « dieu est grand ». En fait si la religion appellait vraiment a la paix et a l’humanisme de l’être, on ne trouvera jamais de déstruction, de pauvreté, de mensonge et de mal partout dans les contrées qui ont adopté massivement et avec exagération jusqu’a ennivrement, la religion. Mais les illuminés qui connaissent et comprennent apparemment tout sur cette terre, répondront que ceux qui ne sont pas comme eux ne sont pas “de vrais musulmans”, sans même tenir compte des montagnes d’ordures qui les entourent– sans même s’en rendre compte. Et c’est toute cette « khalota » de ni queue et ni tête qu’ils appellent « amoureuseent » la “oumma », laquelle ne fait qu’engouffrer des innocents dans l’abysse du vrai enfer sur terre – pas besoin d’attendre « el akhira ».

    • « 𝑺𝒊 𝒗𝒓𝒂𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒒𝒖𝒆𝒍𝒒𝒖’𝒖𝒏 𝒄𝒓𝒐𝒚𝒂𝒊𝒕 𝒂𝒖 𝒃𝒐𝒏 𝒅𝒊𝒆𝒖 𝒆𝒕 𝒒𝒖’𝒊𝒍 𝒆𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒗𝒂𝒊𝒏𝒄𝒖 𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒆 𝒃𝒐𝒏 𝒅𝒊𝒆𝒖 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒖 𝒅𝒆𝒔𝒔𝒖𝒔 𝒅𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒕𝒆𝒔… » Voilà une très bonne question. Le croyant croit-il « réllement » dans les plus profonds replis de sa conscience? Je dis que non. Si vraiment le croyant croyait qu’après sa mort il aurait des chances de se retrouver en enfer pour l’éternité, il passerait toute sa vie à trembler de tous ses membres. Son esprit serait absolument obnubilé par cette perspective possible chaque seconde de sa vie toute entière. Il ferait tout pour mériter de se retrouver de « l’autre côté, » celui où tous les délices sont promis. Il donnerait avec joie son dernier sou et la chemise sur son dos au premier qui les lui demande, et s’il croyait qu’il mérite absolument d’aller au paradis, il aurait hâte de mourir pour s’y retrouver. Au lieu de ça, c’est le comportement contraire qu’on observe chez les croyants. Quelque part dans l’inconscient de l’homme, cette notion de croyance n’est qu’un artifice pour appréhender la vie sur terre.

      • je ne pense pas qu on n puisse mettre la croyance et la conscience sur le même pied d égalité
        je pe n se que la conscience et la croyance ne font oas une dualité mais une opposition

        • @El Hassi: Pour moi, il n’y a pas de « croyants » à proprement parler, il y a des gens qui ont « accepté » le mythe qui leur a été raconté dans leur enfance comme vrai et de ne pas le remettre en question. C’est un acte d’allégeance au groupe, pas vraiment une croyance au fin fond de la cervelle. Le soi-disant croyant accepte d’abandonner tout jugement critique afin d’assurer et rassurer le groupe qu’il/elle est bien des leurs. C’est trop compliqué, pour développer en quelques lignes ici, mais c’est apipri comme ça que je vois les choses.

  5. Kichi Duoduma: « Si vraiment le croyant croyait qu’après sa mort il aurait des chances de se retrouver en enfer pour l’éternité, il passerait toute sa vie à trembler de tous ses membres. Son esprit serait absolument obnubilé par cette perspective possible chaque seconde de sa vie toute entière. » – Nos deux questions prouvent qu’en vérité personne ne croit a rien pusique’elles convergent vers la même réponse. La religion n’est en fait qu’un outil pour endormir les peuples pour les transformer en chaire a canon et en zombies. Si ce que est écrit – de positif seulement – dans la religion, ne peut être mis en pratique, la théorie sans pratique sera toujours stérile. C’est ce que je vois personellement dans tous les pays dits « musulmans »: Stagnation dans la stérilité la plus totale.

    • @Sikhouna: En fait, dans les premiers chapites de la Bible racontant l’histoire – toute fictive, bien sûr – de l’Exode, les enfants du « peuple élu » de Dieu ne croyaient pas du tout à l’infinité de ses pouvoirs. Dans Nombres, chapitre 11, Notre Sidna Moussa lui-même émet des doutes: Quand son dieu lui dit qu’il fera pleuvoir de la manne et des cailles en abondance et que chacun aura tant à bouffer qu’elle leur sortira par les narines (c’est bien dans l’Ancien Testament) Moïse est sceptique. Il rappelle à son dieu: « Ecoute, je sais que tu es Dieu, mais permets-moi de te rappeler qu’il y a 600 000 bouches à nourrir ici, alors comment qu’tu vas faire toi pour leur donner autant de bouffe ? » Et son dieu s’irrite : « Quoi, tu ne penses pas que je peux le faire ? »
      𝑳’É𝒕𝒆𝒓𝒏𝒆𝒍 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆𝒓𝒂 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒂𝒏𝒅𝒆, 𝒆𝒕 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒏 𝒎𝒂𝒏𝒈𝒆𝒓𝒆𝒛. 𝟏𝟗 𝑽𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒏 𝒎𝒂𝒏𝒈𝒆𝒓𝒆𝒛 𝒏𝒐𝒏 𝒑𝒂𝒔 𝒖𝒏 𝒋𝒐𝒖𝒓, 𝒏𝒊 𝒅𝒆𝒖𝒙 𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔, 𝒏𝒊 𝒄𝒊𝒏𝒒 𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔, 𝒏𝒊 𝒅𝒊𝒙 𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔, 𝒏𝒊 𝒗𝒊𝒏𝒈𝒕 𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔, 𝟐𝟎 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒊𝒔 𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒓, 𝒋𝒖𝒔𝒒𝒖’à 𝒄𝒆 𝒒𝒖’𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒐𝒓𝒕𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒏𝒂𝒓𝒊𝒏𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒏 𝒂𝒚𝒆𝒛 𝒅𝒖 𝒅é𝒈𝒐û𝒕, 𝒑𝒂𝒓𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒗𝒆𝒛 𝒓𝒆𝒋𝒆𝒕é 𝒍’É𝒕𝒆𝒓𝒏𝒆𝒍 𝒒𝒖𝒊 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒖 𝒎𝒊𝒍𝒊𝒆𝒖 𝒅𝒆 𝒗𝒐𝒖𝒔, 𝒆𝒕 𝒑𝒂𝒓𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒗𝒆𝒛 𝒑𝒍𝒆𝒖𝒓é 𝒅𝒆𝒗𝒂𝒏𝒕 𝒍𝒖𝒊, 𝒆𝒏 𝒅𝒊𝒔𝒂𝒏𝒕: 𝑷𝒐𝒖𝒓𝒒𝒖𝒐𝒊 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒔𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔-𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒐𝒓𝒕𝒊𝒔 𝒅’É𝒈𝒚𝒑𝒕𝒆? 𝟐𝟏 𝑴𝒐ï𝒔𝒆 𝒅𝒊𝒕: 𝑺𝒊𝒙 𝒄𝒆𝒏𝒕 𝒎𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒊𝒆𝒅 𝒇𝒐𝒓𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒍𝒆 𝒑𝒆𝒖𝒑𝒍𝒆 𝒂𝒖 𝒎𝒊𝒍𝒊𝒆𝒖 𝒅𝒖𝒒𝒖𝒆𝒍 𝒋𝒆 𝒔𝒖𝒊𝒔, 𝒆𝒕 𝒕𝒖 𝒅𝒊𝒔: 𝑱𝒆 𝒍𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆𝒓𝒂𝒊 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒗𝒊𝒂𝒏𝒅𝒆, 𝒆𝒕 𝒊𝒍𝒔 𝒆𝒏 𝒎𝒂𝒏𝒈𝒆𝒓𝒐𝒏𝒕 𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒊𝒔 𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒓! 𝟐𝟐 É𝒈𝒐𝒓𝒈𝒆𝒓𝒂-𝒕-𝒐𝒏 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒆𝒖𝒙 𝒅𝒆𝒔 𝒃𝒓𝒆𝒃𝒊𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒃𝒐𝒆𝒖𝒇𝒔, 𝒆𝒏 𝒔𝒐𝒓𝒕𝒆 𝒒𝒖’𝒊𝒍𝒔 𝒆𝒏 𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒂𝒔𝒔𝒆𝒛? 𝒐𝒖 𝒓𝒂𝒔𝒔𝒆𝒎𝒃𝒍𝒆𝒓𝒂-𝒕-𝒐𝒏 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒆𝒖𝒙 𝒕𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒊𝒔𝒔𝒐𝒏𝒔 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒎𝒆𝒓, 𝒆𝒏 𝒔𝒐𝒓𝒕𝒆 𝒒𝒖’𝒊𝒍𝒔 𝒆𝒏 𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒂𝒔𝒔𝒆𝒛? 𝟐𝟑 𝑳’É𝒕𝒆𝒓𝒏𝒆𝒍 𝒓é𝒑𝒐𝒏𝒅𝒊𝒕 à 𝑴𝒐ï𝒔𝒆: 𝑳𝒂 𝒎𝒂𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒍’É𝒕𝒆𝒓𝒏𝒆𝒍 𝒔𝒆𝒓𝒂𝒊𝒕-𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒕𝒓𝒐𝒑 𝒄𝒐𝒖𝒓𝒕𝒆? 𝑻𝒖 𝒗𝒆𝒓𝒓𝒂𝒔 𝒎𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒂𝒏𝒕 𝒔𝒊 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒋𝒆 𝒕’𝒂𝒊 𝒅𝒊𝒕 𝒂𝒓𝒓𝒊𝒗𝒆𝒓𝒂 𝒐𝒖 𝒏𝒐𝒏.

    • D’ailleurs cette histoire d’enfer et de paradis cela n’existe pas ; car personne n’est revenu pour nous raconter ces deux situations. Sauf les morts clinique qui nous parle d’un tunnel avec une lumière extraordinaire . Toutes les religions jouent sur la peur pour avoir plus d’adeptes . Et D’ailleurs si dieu aussi puissant existe , pourquoi ne mettra t-il fin à ces massacres, il n’a pas marre de voir ces images qui vous glace . Azul

      • @Razik: Même l’idée de l’enfer et du paradis n’a pas toujours existé. Les notions d’enfer et de paradis après la mort n’existent même pas chez les prédecesseurs de l’islam: Aucune mention dans l’Ancien Testament et presque rien dans le Nouveau Testament. Jésus – à supposer qu’il ait existé et que les paroles qui lui sont attribuées soient bien de lui – n’en a jamais parlé non plus, ni ses premiers disciples, ni les premiers chrétiens. Ça parlait vaguement et très rarement de punition à venir, mais en réalité c’est sur terre qu’ils croyaient que ça allait se passer. C’est plusieurs siècles après Jésus que les notions d’enfer terrible et de paradis se sont développées parmi les chrétiens, dont bon nombre de nos ancêtres berbères. Au moment où Mohamed s’était intéressé à la religion juive/chrétienne de son époque, ces notions avaient déjà gagné du terrain et étaient bien établies parmi certaines sectes. Mohamed et/ou ses disciples les ont adoptées et y ont ajouté leurs propres idées et des détails.
        Détail intéressant: Géhénom (la Géhenne, Djahennem, djihennama, l’enfer) était le nom d’un champ en dehors de Jéruslaem où on brûlait les cadavres des morts, tous les morts. Géhénom était bien sur terre, les cadavres étaient brûlés par hygiène, mais petit à petit, l’idée a évolué à travers l’histoire et l’a transformé en un symbole de punition puis plus tard en un endroit en dehos de la Terre après la mort.
        Et le Paradis était un jardin quelque part en Irak, où Dieu vivait, semble-t-il.

        • c’est pour cela que les dictateurs arabo musulmans font beaucoup de mal à leurs peuples en les contenant dans cette religion .Alors je déduis qui sont en avance sur nous .crédule que nous sommes à pardon qu’ils sont « les muslims  » Car personnellement ,j’ai pris mes distance avec « kolo ou lahou  » depuis belle lurette . J’espère que j’ai pêché . Azul

  6. Il me semble que durant la guerre d’Algérie et même plus tard, la terminologie utilisée pour désigner les combattants variait selon les régions, les unités de combat, la culture de ceux qui discouraient. Elle a certainement évolué également au fur et à mesure de l’avancement de la guerre, notamment après l’admission des Uléma au sein du FLN sur le tard.
    Il y a ceux qui parlaient de combattants là où d’autre parlent de mudjahidin; certains parlaient de combattants qui se sont sacrifiés pour la liberté alors que d’autres utiliser le mot Cuhada.
    L’école et la culture FLN (qui devait d’auto-dissoudre en 1962) ont, depuis l’indépendance, implanté la le récit d’une guerre religieuse et le vocabulaire qui va avec, alors même que les religieux étaient complètement opposé à la décision du FLN de passer à l’action armée.
    Le plus drôle est de voir tout le monde reprendre la terminologie de uléma, comme si les mots n’ont aucune portée civilisationnelle.

  7. On convoque Allah pour commettre un crime contre des gens innocents . Allah est mêlé à toute les sauces . N’est-il pas dit dans le coran , qui tue une personne a tué l’humanité . N’a t’il pas dit que je vous est créez en tant que peuples et tribus . L’appel à la prière et un appel à la sagesse , à la communion . à élever son âme . Parmi les prisonniers , le Hamas a libèré une personne âgé de 88 ans , cette mamie a défendu toute sa vie le droit des palestiniens a vivre librement sur ses terres . Supposant que les palestiniens auront un état ,et alors qui va prendre le pouvoir; un dictateur. Nous le vivons dans notre chère pays ; rien n’a changer depuis 1962 , la repression, l’emprisonnement des citoyens sans raison; la corruption , humiliation et j’en passe . Une poignée de généraux ont séquestraient 40 millions d’algériens. Avoir l’indépendance pour courir derrière ,l’huile , le lait les lentille . Azul

  8. Déclaration du FLN de 1954 :
    BUT : L’Indépendance nationale par :
    La restauration de l’état algérien souverain, démocratique et social dans le cadre des principes islamiques.
    Tout est dit.

    • @wolfen, Je n’ose croire qu’il s’agit là d’une omission volontaire. Alors, je pose ci-dessous le second but de la déclaration du 1er novembre 1954 :
      – Le respect de toutes les libertés fondamentales sans distinction de races et de confessions.

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