Par décret présidentiel signé le 17 avril dernier publié au dernier journal officiel, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a procédé à la nomination de M. Ammar Abba au poste de conseiller auprès du Président de la République, chargé des affaires diplomatiques.
Cette décision intervient dans le cadre de la réorganisation des services de la Présidence, conformément aux dispositions de la Constitution et aux précédents décrets relatifs à la gestion des hautes fonctions civiles de l’État.
Diplomate chevronné, Ammar Abba a occupé plusieurs postes stratégiques au sein du ministère des Affaires étrangères, représentant l’Algérie dans diverses capitales et institutions internationales. En plus de la Russie du Royaume Uni et de l’Irlande, Amar Abba a occupé le poste d’ambassadeur en Grèce et en Tanzanie.
Le recours à une personnalité aussi expérimentée qu’Amar Abba intervient dans un contexte d’instabilité régionale, à un moment où l’Algérie cherche à renforcer sa présence sur la scène internationale et africaine.
Sa nomination à ce poste de confiance, directement rattaché au président de la République, vise à soutenir ce dernier dans le suivi et l’orientation des grands dossiers internationaux, notamment dans un contexte de recomposition géopolitique au Maghreb, en Afrique et au Moyen-Orient.
Né en 1948 à Ighil-Mahni, dans la région d’Azeffoun en Kabylie, Amar Abba est également un intellectuel reconnu. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont La politique étrangère de l’Algérie : 1962-2022. Il a aussi publié un essai littéraire intitulé Inig, voyage dans la poésie de Lounis Aït Menguellet.
Il y a une dizaine de jours, Tebboune renvoyait l’ancien colonel du DRS, Mohamed Chafik Mesbah qui était conseiller en charge des questions politiques et des relations avec la jeunesse, la société civile et les partis politiques.
La rédaction
Pour redonner vie à une institution morte il faut bien plus que les qualités de Amar Abba. Trop d’improvisation et de décisions irréfléchies doublées d’une gouvernance « aboubri » ont causé d’énormes dégâts sans oublier la répression impitoyable qui s’abat sur tout ce qui bouge.
« Sa nomination à ce poste de confiance, directement rattaché au président de la République, vise à soutenir ce dernier dans le suivi et l’orientation des grands dossiers internationaux, notamment dans un contexte de recomposition géopolitique au Maghreb, en Afrique et au Moyen-Orient ». Et le rôle du MAE dans tout ça? Il n’y a pas mieux qu’une diplomatie bicéphale pour renforcer la présence de la nouvelle Algérie sur les scènes internationale et africaine. Boutef avait déjà tenté le coup avec Lamamra et Messahel avec l’énorme succès que l’on sait. Comme dit l’adage populaire: imite et n’entrave pas. Prochainement sur vos écrans: Attaf-Abba: règlement de comptes à OK-Mouradia.
C’est trop tard et puis inutile. Tant que ce régime s’acharnera à maintenir les algériens dans l’isolement, il s’isolera aussi. Tant que les généraux auront besoin de nous inventer des ennemis et des menaces, alors nous aurons des ennemis et des menaces. Le jour où nous aurons des généraux qui aiment l’Algérie, qui veulent le bien de l’Algérie, qui veulent le meilleur pour l’Algérie, alors on s’ouvrira et le reste viendra tout seul. Même pas besoin d’un génie aux AE. On pourra même se permettre le luxe de garder Attaf
C’est en effet trop tard car en chassant toute tete pensante du pays, vous ils se sont retrouves entre mediocres et incompetents.
Sinon pourquoi mettre des gens en prison pour leurs ecrits ou idees ?
Sans critique et sans opposition pour controller ce qui se fait, personne ne sait ou il va car le regime navigue dans le noir.
Helas, Amar ABBA ne pourra rien faire pour aider aider a guerrir un mal irreversible.
Il faudrait un changement radical du systeme, de gouvernance et de mentalite pour relever les defits du nouveau monde ou nous vivons.
Ce n’est pas en cultivant l’idolatrie et en sement l’ignorance qu’on avancera.