À l’occasion du Conseil des ministres tenu ce lundi, Abdelmadjid Tebboune a recentré fermement la gouvernance du secteur automobile. Toute décision concernant l’octroi des agréments, qu’il s’agisse de fabrication ou d’importation de véhicules, « relève exclusivement du Conseil des ministres », a-t-il tranché, écartant ainsi toute délégation de cette prérogative à d’autres instances.
C’est la dernière trouvaille du très inspiré chef de l’Etat. Après avoir fixé le prix du mouton, promis vainement d’en importer un million, annoncé une allocation tourisme jamais concrétisée, désormais l’octroi des agréments pour l’importation de voitures relève du conseil des ministres.
Ce rappel intervient dans un contexte de relance stratégique du secteur, où le pouvoir entend éviter les dérives passées. Le chef de l’État a salué les opérateurs engagés dans des projets d’implantation d’usines de production réelles, marquant une rupture assumée avec « l’histoire noire » de l’ancienne pseudo-industrie de montage, décriée pour son opacité et son inefficacité.
Dans cette optique, Tebboune a réaffirmé l’exigence d’un ancrage industriel local solide. L’intégration des entreprises nationales, notamment celles actives dans la sous-traitance, les composants électroniques, la fabrication de pièces ou encore les technologies liées à l’électromobilité, a été posée comme un impératif. « Il ne peut y avoir de véritable industrie automobile sans un écosystème de fournisseurs nationaux qualifiés », a-t-il insisté. Une évidence que tout un chacun connaît. Cette concentration des décisions en dit long sur le peu de confiance qui règne en haut lieu. Et tout porte à croire que cette décision connaîtra le même sort que celle concernant l’importation de voitures de moins de 3 ans.
Rêvons un peu ! L’objectif affiché par Tebboune est ambitieux : faire émerger une filière mécanique capable de générer une contribution d’au moins 12 % au produit intérieur brut à moyen terme. Pour cela, les projets en cours bénéficieront d’un accompagnement étroit, mais rigoureux, sous la supervision directe de l’exécutif. Mais tout cela demeure dans les papiers et les sempiternelles déclarations sans lendemains de Tebboune.
Petit rappel toutefois pour les étourdis. En mars 2023, nous avions appris que 27 licences d’importation ont été octroyées. La durée de validité de ces licences était d’un an. Rien n’est fait entretemps. C’est dire que tout est tombé à l’eau. Le feuilleton continue.
Outre ce dossier, le Conseil des ministres a validé deux textes législatifs : l’un portant sur la prévention et la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, l’autre sur la protection des données personnelles. Des lois qui s’inscrivent dans l’effort de renforcement du cadre juridique face aux menaces financières et à la nécessité de garantir les droits numériques des citoyens, argue-t-on en haut lieu.
Enfin, face aux risques accrus d’incendies avec l’arrivée des fortes chaleurs, le chef de l’Etat a ordonné la mobilisation de tous les moyens pour la prévention, en particulier dans les zones agricoles en pleine période de moisson. Une oukase qui ressemble à une platitude. Le problème des incendies est connu puisque récurrent chaque été. Ce ne sont pas avec des déclaration faite début juillet qu’on lutte contre les incendies, mais par des plans établis bien en amont dans l’année. Avec des moyens techniques et humains conséquents. Le reste n’est que voeu pieux.
Yacine K.
B’Bientôt un conseil des ministres ou teboune s’occupera personnellement du ramassage des ordures, biidhnilah, machalah.
Exactement VRIROUCHE
Après il va s’occuper des égouts
Y a t il un personne pour expliquer à cet écervelé que dans un régime parlementaire c est le premier ministre qui impose le tempo.
D’après ce que j’ai pu comprendre l’Algerie à une économie de marché (capitalisme)
Donc inutile de gesticuler privatiser tous les entités non régaliennes et laisser faire le peuple ou la populace
Je citationne: « …« Il ne peut y avoir de véritable industrie automobile sans un écosystème de fournisseurs nationaux qualifiés »… »
Comment qu’on qualifie un fournisseur en tabounerie: bismilah al-qalify al-habibibou des habibettes du rasul. Mais le secret est dans les diametres des pneux, interne et externe: 1er: diametre du tertour de taboune et le 2nd celui de chienGriKhra, vus a travers des RayBan et des residus de jumelles de la 1ere guerre mondiale.
Plus serieux: Pour QUALIFIER il faut des QUALIFIE’s, pas des Khalifates ! Et les qualifie'(e)s, ils et elles kanu hna et rahu !
Bla rabhoom, si vous me designez Rab adzair, je vais leur construire une colonie de vacance-retraite a Hass-CaBrule, sans toit… pour qu’ils puissent passer de bronzage a noirssage en attendant que le hbibou d’allah vienne les chercher et ramener chez leurs Umma et son nouveau 3antar Lyamine Yetnahahoom Ga3 !
L’essentiel, j’ai trouve’ un bout de terre diametralement oppose’ a l’alKharia integre’e pour echapper pour toujours. C’est que de l’eau et requin autour. Et les chameau ne savent pas surfer !
Je vous laisse et l’enfer et le paradis, je ne veux ni de l’un ni de l’autre !!!
Je suis revenu a votre article quand meme et j’y trouve ceci:
« Rêvons un peu ! L’objectif affiché par Tebboune est ambitieux : faire émerger une filière mécanique capable de générer une contribution d’au moins 12 % au produit intérieur brut à moyen terme. Pour cela, les projets en cours bénéficieront d’un accompagnement étroit, mais rigoureux, sous la supervision directe de l’exécutif. Mais tout cela demeure dans les papiers et les sempiternelles déclarations sans lendemains de Tebboune.
Petit rappel toutefois pour les étourdis. En mars 2023, nous avions appris que 27 licences d’importation ont été octroyées. La durée de validité de ces licences était d’un an. Rien n’est fait entretemps. C’est dire que tout est tombé à l’eau. Le feuilleton continue. »
Ca m’a rappele’ le ou le cheval et la photo de bouteflika gouvernait encore, a coup de mouvement de paupieres, pour rassurer le ghachi que le bazidan est encore vivant ! Radio-M etait toujours existante. Parmi ses Analystes un certain Ait-Ali, qui finira ministre de Teboune. Un des termes que Mr Ait Ali repetait etait « Integration ». Quelques mois s peine, une fois que le tout savant Ait Ali a vide’ sa tete, un autre le remplace et le mot magic « Integration » est sans arret sous le bec du barzidan.
Vous dites « Rien n’est fait entre-temps » – Je ne suis pas d’accord. Il y a eut PRISE DE CONTROLE. C’est l’episode 54-62 rejoue’ ailleurs…
Je vais vous la resumer: Votre chien de guarde est devenu tres dangereux, il faut l’emmener derriere le comptoir.