Barika découvre à quel point la crédibilité universitaire peut être fragile. Un professeur, identifié comme « ع.ع », a enseigné depuis 2019 au Centre universitaire local, supervisé des mémoires et exercé des responsabilités administratives… sur la base de diplômes totalement falsifiés. Master et doctorat, universités prestigieuses, rien de tout cela n’existait réellement.
Pendant plus de cinq ans, cet enseignant a eu tout le loisir de former des dizaines d’étudiants, de signer des notes et de gérer des dossiers administratifs sensibles, alors que ses qualifications étaient purement imaginaires. Les enquêtes administratives ont confirmé que son nom n’apparaît dans aucune liste de diplômés des universités de Batna 01 et d’Alger 03, soulevant de graves questions sur les procédures de recrutement et le contrôle des compétences dans le système universitaire.
Cette situation, désolante pour les étudiants et les collègues, met en lumière l’ampleur du risque lorsque des postes sensibles sont confiés sans vérification rigoureuse. Le Centre universitaire, en coordination avec le ministère de l’Enseignement supérieur et la fonction publique, a transmis le dossier à la justice, qui devra déterminer toutes les responsabilités et sanctionner les éventuelles complicités.
Au-delà du scandale, cette affaire rappelle que l’intégrité académique n’est pas un détail : elle est la pierre angulaire de la crédibilité des institutions, et tout manquement à cette règle affecte non seulement les enseignants légitimes mais aussi l’avenir des étudiants et la confiance dans l’enseignement supérieur.
Barika paie le prix de cette dérive, et le message est clair : la vigilance et le contrôle des diplômes ne sont pas optionnels, mais essentiels pour protéger l’université et sa mission éducative.
Mourad Benyahia


BERKAOUNA ya djma3a… liberté académique et dictature avec ses ramifications RATIONNELLES (vols détournements rapines) et IRRATIONNELLES (sorcellerie, croyances AVEUGLES…) sont les fermants d’une société en DÉCOMPOSITION…et la pseudo université algérienne y contribue grandement à cette descente vers les abysses du sous développement DÉCADENT…Tout est trafique malversation du SOMMET de la pyramide à sa BASE…Et c’est pour seule et unique raison que la JUNTE MILITAIRE est CHAPEAUTÉE par des CAPORAUX incultes et violents..!! CQFD
Tout est dit dans le premier paragraphe.
Voilà comment on recrute les enseignants (généralement des maîtres de conférence) dans une université NORMALE.
Premièrement publication large de la liste des postes.
Pour postuler on présente un dossier et on est obligatoirement « sponsorisé » par un laboratoire ou equipe de recherche.
Dans le dossier en plus des documents administratifs il y a un CV documenté avec la liste des publications et colloques et congrès et brevets s’il y a lieu
Le dossier est splitté en deux
La partie administrative est contrôlée par les administratif
La partie « compétences techniques » revient a la commission des spécialistes.
Si le candidat n’est pas connu par les spécialistes avant la consultation du dossier ce dernier n’a presque aucune chance.
Si toute fois la candidature est acceptée il doit passer devant la commission afin de faire une présentation orale (généralement présentation de son sujet de recherche)
Je ne sais pas comment se passe le recrutement en Anegérie ; peut etre par téléphone !!!
En république amazigh de kabylie ce type de carnaval
n’aura pas lieu. On aura ded universités avec dans un premier temps un niveau équivalent à celui de la Tunisie et le Maroc. (Pour l’ensemble des étudiants et non pas une petite minorité)
Des têtes doivent tomber