28.8 C
Alger
mardi 26 août 2025
Accueil360°Bejaia : l'ex-député Khaled Tazaghart relaxé

Bejaia : l’ex-député Khaled Tazaghart relaxé

Date :

Dans la même catégorie

Le procès de l’universitaire  Mohamed Lamine Belghit reporté au 9 septembre

Le procès en appel de l’enseignant universitaire de en...

CEDAW : un spécialiste en droit international pointe  le double jeu de l’Algérie  

La question des réserves de l’Algérie sur la Convention...

CEDAW : l’égalité entre promesses internationales et réalités algériennes

Près de trente ans après avoir ratifié la Convention...

Corps repêchés dans la Seine : ce que l’on sait des quatre victimes

Deux des hommes retrouvés morts faisaient partie de l'entourage...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
EXPRESS

Bejaia : l’ex-député Khaled Tazaghart relaxé

L’ex-député Khaled Tazaghart a été relaxé très tôt aujourd’hui dimanche 22 novembre 2020, dans le procès en appel qui a eu lieu au tribunal de Bejaia.

Le très remuant Khaled Tazaghart va quitter la prison aujourd’hui dimanche et retrouver les siens.

Le parquet avait demandé l’aggravation de la condamnation prononcée en première instance à l’encontre du détenu Khaled Tazaghart le 15 novembre, lors de son procès en appel à la cour de Béjaïa, rappelle le comité national pour la libération des détenus.

Pour rappel, Khaled Tazaghart a été condamné à un an de prison ferme avec mandat de dépôt lors de son procès en comparution immédiate le 27 septembre.

Le procureur avait requis,  1 an de prison ferme et 100 000 Da d’amende à l’encontre de l’ancien député de Bejaia, Khaled Tazaghart, en comparution immédiate au tribunal d’Akbou, après sa présentation le matin même devant le procureur.

Khaled Tazaghart est accusé d’incitation à attroupement, publications pouvant porter trouble à l’ordre public, violation des mesures du confinement sanitaire au temps du Covid-19.

Cette bonne nouvelle ne peut cacher le sort des dizaines de jeunes activistes condamnés ou maintenus en détention provisoire. Ils sont près de 90 à dormir dans les prisons du pouvoir. D’autres, des dizaines sont poursuivis, convoqués régulièrement dans les commissariats ou les palais de justice. 

Le harcèlement judiciaire est devenu malheureusement depuis un an une pratique répressive normée pour intimité et faire taire les Algériens.

Auteur
L. M.

 




Dans la même catégorie

Le procès de l’universitaire  Mohamed Lamine Belghit reporté au 9 septembre

Le procès en appel de l’enseignant universitaire de en...

CEDAW : un spécialiste en droit international pointe  le double jeu de l’Algérie  

La question des réserves de l’Algérie sur la Convention...

CEDAW : l’égalité entre promesses internationales et réalités algériennes

Près de trente ans après avoir ratifié la Convention...

Corps repêchés dans la Seine : ce que l’on sait des quatre victimes

Deux des hommes retrouvés morts faisaient partie de l'entourage...

Dernières actualités

spot_img

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici