La première édition du festival des Littératures itinérantes a eu lieu à Rabat, capitale politique du royaume chérifien. Une année plus tard, ce même festival a planté ses chapiteaux à Casablanca, sa capitale économique.
Pour arriver enfin à Marrakech le 5 octobre 2019 pour sa dernière déclinaison avant que la pandémie ne fige la planète pour un certain temps. À chaque fois, les organisateurs avaient affaire à un public nombreux mais surtout connaisseur et passionné de la littérature sous tous ses aspects.
Initié et mis sur les rails par Nadia Essalmi, fondatrice et directrice des éditions Yomad, elle est le fer de lance de cette manifestation populaire qui rapproche l’écrivain de son lecteur et désacralise le livre. Le festival des Littératures itinérantes, dont la marraine est Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre française de l’Éducation nationale, est l’occasion pour des bibliophages de rencontrer leurs auteurs favoris et de discuter avec eux sur des sujets divers et variés.
Nadia Essalmi et son équipe ont programmé la prochaine édition du festival des Littératures itinérantes pour les 1er et 2 octobre 2022. La manifestation se déroulera dans l’enceinte du parc Jnane Sbil, cette ville historique qui n’a jamais cessé d’interroger la spiritualité et qui a été cette capitale d’Idriss Ier fondée en 789.
Les têtes d’affiche de la littérature africaine sont d’ores et déjà annoncées. Il s’agit des Marocains Abdellatif Laâbi et Tahar Ben Jelloun, des Tunisiens Faouzia Zouari et Mohamed Zinelabidine, du Mauritanien Mbarek Ould Beyrouk et du Soudanais Abdelaziz Barka Sakin. La littérature algérienne aura comme représentants lors de cette manifestation culturelle les écrivains Boualem Sansal, Mohamed Kacimi et Kamel Bencheikh.
La rédaction
The developed countries of the “global North” are responsible for 92% of excess global emissions, according to a 2020 study in The Lancet Planetary Health. Yet it is the rest of the world – the “global South” – that disproportionately bears the brunt of climate change.
Burning fossil fuels is the biggest source of CO2 emissions and thus the major driving force of climate change.
Somewhere between 15% and 40% of CO₂ emissions will remain in the atmosphere longer than 1,000 years.
From Azerbaijan to Angola to Nigeria and Saudi Arabia, oil producers risk losing a significant amount of their revenue over the next 20 years, warned Carbon Tracker.
But « if they continue to invest, you’re betting on the failure of policy action on climate but you’re also betting on the failure of renewables and other low carbon technologies to displace oil and gas », said Carbon Tracker’s Mike Coffin, who calls on countries to diversify.