Bête noire de Donald Trump et figure montante de la gauche américaine, Zohran Mamdani s’apprête à devenir, le 1ᵉʳ janvier 2026, le nouveau maire de New York, la plus grande ville des États-Unis.
À 34 ans, ce député du Queens, membre du Parti Démocrate et affilié aux Socialistes démocrates d’Amérique, a remporté haut la main l’élection du 4 novembre face à l’ancien gouverneur Andrew Cuomo, symbole du courant modéré du parti.
Né en 1991 à Kampala, en Ouganda, et installé à New York depuis son enfance, Mamdani est le fils du politologue Mahmood Mamdani et de la cinéaste Mira Nair. Ce parcours cosmopolite, mêlant enracinement local et ouverture internationale, nourrit une vision profondément humaniste de la politique.
Proche de Bernie Sanders et d’Alexandria Ocasio-Cortez, Mamdani incarne la relève d’une génération progressiste décidée à transformer la ville de l’intérieur. Sa campagne, centrée sur le logement abordable, la justice climatique et la réforme des transports publics, a mobilisé un électorat jeune, diversifié et souvent éloigné des urnes. Son slogan – « Redonner New York à ceux qui la font vivre » – est devenu le symbole d’un mouvement citoyen bien au-delà des frontières du Queens.
Face à la machine politique Cuomo, Mamdani a su imposer un ton neuf, une écoute directe et une vision claire : gouverner au service du plus grand nombre. Dans un contexte national dominé par les fractures sociales et identitaires, sa victoire a valeur de signal. Elle marque la volonté d’une ville-monde de renouer avec son esprit d’inclusion et d’innovation politique.
Les médias conservateurs, eux, le présentent déjà comme la « bête noire de Donald Trump », tant il incarne l’exact opposé du trumpisme : jeunesse, égalité, diversité, et refus du cynisme politique. Mamdani, lui, reste sobre. Dans son discours de victoire, il a remercié ses parents et rendu hommage à « celles et ceux qui font tourner New York chaque jour sans reconnaissance ».
L’élection de Zohran Mamdani ouvre une nouvelle page dans l’histoire politique américaine. Elle consacre la montée d’une génération qui mise sur la solidarité, la transparence et la justice sociale pour repenser le pouvoir à l’échelle locale. New York s’offre, à nouveau, comme le miroir vivant d’une Amérique en quête de renouveau.
Mourad Benyahia
Vous racontez n’importe quoi, vraiment ! En voici un example: « Dans un contexte national dominé par les fractures sociales et identitaires, sa victoire a valeur de signal. » Ainsi, c’est la majorite’ Afro-Indienne Musulmane[UTOPIE] qui l’a elu, n’est-ce pas… Mais c’est plus Muhand-uJacques de venir ici cracher ce que vous enttendez sur les antennes des frenchies wamabees(voudrait devenir rate’s, qui vous crachent des mots Anglais a tort et a travers – des rate’s – Ce truc Identitaire n’est qu’une perception. L’Amerique est faite d’une INFINITE’ de Minorite’s ! Et de gens qui fuit un ailleur justement identitaire…
Vous ecrivez: « Sa campagne, centrée sur le logement abordable, la justice climatique et la réforme des transports publics, a mobilisé un électorat jeune, diversifié et souvent éloigné des urnes. » Exactement ce qu’a fait Donald Trump dans sa campagne. Souvenez-vous ses apparitions au volant d’un camion eboueur ou a sauter les frites dans un MacMerdePoison? et sa phrase « Je serais votre redempteur(vengeur) »
Finalement, ne le qualifiez surtout pas de « DemKHRAte » – Trump a ete’ un Democrate TOUTE SA VIE AINSI QUE SON PERE. Vous savez pourquoi? C’est le PARADIS de la CORRUPTION !!! Et ca paye bien – Il y a ramasse’ des MILLIARDS ! Son ecole est celle du Marxiste a visage ouvert, un Rescape’ Jouif des pays de l’Est qui n’a pas crache’ sur la soupe Bernie Sanders. Il fait partie des jeunes privilegie’s(c.a.d. avec des parents qui payent) qui ont fait beaucoup de volontariat a travers les quartiers pauvres des grandes villes Americaines pour porter le message de Sanders, en 2016 – dont la campagne portait sur le financement publique de la sante et l’effacement des Prets d’Etudes – un medecin generaliste finit ses etudes avec une dette entre 1 et 2 Millions de Dollars et, pour s’en acquitter il est pret a vous prescrire ce que vous ou le plus offrant des Compagnie de medicaments.
Enfin, Qeens n’est pas le Manhattan Cosmopolitain, c’est Wed ALharrach et Hydra. Mais avec un pere politologue et mere cineaste, c’est parfait pour faire tourner une machine a delirs & fantasmes.
Je vous donne ma perception:
Ceux qui ont vote’ pour Mamdani sont exactement ceux qui ont vote’ pour Trump – du moins a NYC – Leurs compagnes sont d’ailleur similaire – vendre du miracles a des gens desespere’s. Ces refugie’s desespere’s sont ceux-la qui y sont alle’s a NY sans sous, pour fuir la misere d’ailleur et pour un sursaut rapide et spectaculaire – une espece de revenche sur leur ville-classe-region d’origine qui ne leur a donne’ que misere – Et ce n’est qu’apres des decennies qu’on se rend compte que cette misere d’origine a ete’ manufacture’ a distance c.a.d. des Villes comme NY justement. Etre ne’ en Afrique est quelque chose pour ceux qui vous craignent, qui n’ont d’autre carte en main pour vous mettre hors-jeu. Il faut le saisir vite et surtout ETRE PRET a les mettre KO a la 1ere occasion, est la seule maniere de continuer a dialoguer avec eux, pour les mener a la deception de leur vie.
Si l’Obama a ete le faux Noir, celui-ci est la version FAKE ! pour les blancos.
Ce qu’il promet coute cher et son projet depend de l’Assemble’e de l’Etat, sous influence Irelandaise Americaine. Son succes dependra de l’appareil de la ville-pays de NY qui a sa dynamique propre. Ce va vite devenir un attrape moustique comme San Francisco, c.a.d. La Providence qui montrera vite ses limites. C’est un peu le Scenario Trump a l’echelle Nationale. Comme Trump, il a saisi la methode Sanders, c.a.d. Marxiste. Une TROMPERIE qui finit toujours dans la DECEPTION et l’ECHEC. Les Democrates qui ne veulent toujours pas deguager sont la DEMONSTRATION PARFAITE de ce que l’ARNAQUE MIELEUSE est. Ne se sont-ils pas tous les 3, Trump, Saders et Mamdani retrouve’ a la touche du Club des ‘DemoKHRAtes. Les seuls qui arrivent, au passage, a trouver un terrain d’enttente avec toutes les tyranies du monde, incluant celles du monde dit Arabo-Musulman. La difference avec Trump est que lui est de la 2nde generation, il a compris qu’il faut aller arracher ce qu’on veut !