21 novembre 2024
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CAN 2022 : les Verts et Belmadi encaissent l’élimination

Belmadi

Eliminés sans gloire de la CAN 2022 dès le premier tour après leur défaite face à la Côte d’Ivoire (1-3), les joueurs de l’équipe nationale, qui se sont présentés devant la presse, n’ont pas fui leurs responsabilités.  Belmadi assume et s’irrite des premières critique contre Mahrez.

Tous assument avoir failli dans la défense de leur titre. Désormais, ils attendent les barrages de la Coupe du monde pour vite rebondir. En attendant, les critiques ont déjà commencé…

Les Fennecs ont attendu plus d’une heure après la fin de la rencontre pour sortir des vestiaires. Ismaël Bennacer, meilleur joueur de la CAN 2019, est le premier à se présenter. Il marche la tête haute, pas un regard vers les journalistes qui l’interpellent.

Ses coéquipiers suivent, Youcef Atal, Bagdad Bounedjah, Islam Slimani, etc. Aucun ne s’arrête devant la presse. Mehdi Tahrat, le fait. Le défenseur, qui n’a disputé aucune minute dans cette CAN, est le premier à ne pas se cacher. « C’est un moment difficile après avoir connu un moment heureux en 2019. Il faut relever la tête. On n’a pas fait le nécessaire pour se qualifier. Maintenant, les barrages de la Coupe du monde arrivent en mars, il faudra les préparer. »

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«Il faut s’adapter, on savait que cela allait être comme ça»

Un peu plus tôt, son sélectionneur Djamel Belmadi avait commencé à analyser la déroute de son équipe en conférence de presse. « On voulait défendre notre titre. Nous n’avons pas obtenu ce que l’on voulait , lâche-t-il. Il ne faut pas avoir peur de le dire, c’est un échec total. Demain, il fera jour, il sera temps d’analyser. »

Pour le défenseur Aïssa Mandi, cela ne sert à rien de faire une analyse à chaud, mais il lâche que les conditions étaient  « différentes » du Caire qui avait vu le sacre des Fennecs. « Les terrains sont différents, le climat est différent. Tout est différent. Ce ne sont pas des excuses, il faut s’adapter et on savait que cela allait être comme ça. On a essayé de s’adapter, mais ça n’a pas pris. »

Son capitaine Riyad Mahrez acquiesce et assume. « On a mis tout en œuvre pour essayer de gagner. Mais sur ce match, on n’a pas été au niveau, moi, le premier. J’assume mes responsabilités. Ça fait partie du foot. On a gagné ensemble en 2019, on perd ensemble. Il y a un constat à faire, un bilan, qui sera fait par le coach. On devra faire notre autocritique. On fera tout pour redonner la joie à notre peuple et faire tout pour se qualifier à la Coupe du monde. »

Quand Belmadi se fâche

Le joueur de Manchester City est déjà la cible des critiques pour avoir manqué son tournoi. La gestion de son cas a eu le don d’irriter Djamel Belmadi à qui les journalistes algériens reprochent d’avoir donné des privilèges à son numéro 10. « J’aurais aimé régler ça en famille, mais bon…, se braque le sélectionneur. Vous n’avez pas les tenants et les aboutissants de cette histoire, je n’ai pas donné de vacances à Riyad. Vous n’êtes pas bien informés, voire malhonnêtes. (…) Il ne faut pas dénigrer un joueur qui a donné tant de bonheur. J’assume ce choix. »

2 Commentaires

  1. N’étant pas un littéraire , je n’ai jamais compris l’analyse qu’en font les spécialistes car je n’ai jamais rien lu comme eux.

    Miller qui écrivait quelque part qu’il n’avait jamais compris ses traducteurs sous prétexte que ceux-ci ne rendaient pas ce qu’il avait écrit. Sans admettre que c’est peut-être lui qui n’écrivait pas ce qu’il croyait. Mas Guerroua semble zaper le lecteur qui, lui, réécrit tout ce qu’il lit.

    Comme disent les kabyles : yal wa aqerru-is seddaw thchachigt-is. On ne lit qu’avec son propre cerveau et non avec celui qui l’a écrit.

    Moua je n’ai jamais apprécié les butin-de-guerristes, et je vous avoue que je n’ai lu Kateb, qu’en me forçant. J’ai comme l’impression que si on n’a pas une culture de révolutionnaire , on ne peut pas l’aimer. Or je lhemdoulllah je ne suis pas révolutionnaire .

    Maintenant ,si on considère Kateb comme l’incarnation la plus fidèle de l’écrivain , quid de Céline.
    Ih, Céline tout le contraire de Kateb.

    Tout le contraire de Kateb sur tous les plans . Matchi kane sur le plan révolutionnaire, Céline était collabo, pendant que Paris brûlait lui il festoyait avec les nazis.

    Dgha sur le plan de l’écriture j’tidi pas . Tous les écrivains légitimes le traitaient de scribouillard, de lèse-académie , d’écrivain médiocre qui ne connaissait rien aux règles d’écriture. Alors que nos butin-de-guerristes eux , complexeraient Proust him-self. N’allez pas croire, safi sakata que je suis toujours à la page 200 de «  du coté de chez Swan ». Que Kichi me pardonne parce que,lui, il adore Proust.

    Sek je voulais dire, c’est que c’est pas obligigatoire d’être humaniste ou révolutionnaire , ni même romantique pour être un grand écrivain. Il y a des grands écrivains qui sont des fieffés crapules.

    Vouala pourquoi je pense que la littérature doit être le contraire de celle que décrit Mas Guerroua. Sinon je me demande pourquoi , il faut lire.

    Moua je me mettrai à tirer ma chéchia aux écrivains algériens quand ils sortiront du butin-de-guerrisme. Quand un anti-Kateb se mettra à écrire.

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