La wilaya d’Alger a annoncé l’ouverture d’une enquête technique approfondie à la suite de l’effondrement partiel du minaret de l’édifice religieux historique datant du XVe siècle, survenu lundi en début de soirée au cœur du quartier de la Casbah.
L’incident a touché une mosquée située dans le tissu ancien de la médina, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Selon les autorités, l’investigation vise à identifier précisément les causes structurelles de cet effondrement, intervenu sur un bâtiment ancien soumis à une forte contrainte du temps et de l’environnement urbain.
Aucune victime n’a été enregistrée. Les services compétents ont procédé à la sécurisation immédiate du site, tandis que les premières hypothèses évoquent une fragilisation progressive de la structure.
Cet épisode relance le débat sur l’état de conservation des édifices historiques de la Casbah d’Alger et sur l’urgence d’interventions techniques durables pour préserver ce patrimoine pluriséculaire. Ce monument historique à ciel ouvert au cœur d’Alger est laissé à l’abandon depuis des décennies.
Tous les plans de réhabilitation se sont avérés de lamentables flopes, voire des gouffres financiers sans réelle efficacité. Doit-on s’attendre à quelque plan sérieux pour sauver ce qui reste ? Peu sûr quand on sait l’improvisation permanente qui règne en haut lieu.
La rédaction


« Tous les plans de réhabilitation se sont avérés de lamentables flopes, voire des gouffres financiers sans réelle efficacité. Doit-on s’attendre à quelque plan sérieux pour sauver ce qui reste ? »
Rien à attendre et le plus sérieux des plan est de faire appel à nos frères turques si ce n’est déjà fait. C’est sûrement les othoman qui l’ont bâti à l’origine. Et en matière de gouffre, financier notamment, y’a pas meilleurs que leurs descendants qui en sont devenus des experts. Sans oublier le ramonage, de minaret, leur autre domaine d’excellence, ils n’ont rien à envier à leur anciens, dont ils ont hérité l’art, et qu’on a si bien connu et loué.
En attendant, il faut prier avec efficacité. Il faut prier Prier avec foi pour qu’ils acceptent de s’occuper de notre minaret.
Ps. « … un bâtiment ancien soumis à une forte contrainte du temps et de l’environnement urbain. »?
Oui, mais on peut aussi envisager un autre facteur dans le diagnostique. Le bâtiment a été destiné à l’origine pour des prieur de l’époque, des prieurs zen. Or, ces derniers temps, dernières décennies, la structure du bâtiment a été mise à l’épreuve par une nouvelle génération de prieurs avec des prières d’une telle intensité comme la structure du bâtiment n’a jamais connu, et elle a fini par céder.
Recommandations. Après restauration, limiter l’intensité des prières en modérant la ferveur des prieurs; exclure les récalcitrants.
Une enquête ? Pourquoi ? La seule question à poser : c’est comment se fait-il qu’elle ne se soit pas effondrée entièrement ?
Ce qui ne veut pas dire que seules les autorités sont responsables, ceux qui priaient dedans n’ont pas remarqué l’état de l’édifice
Avec un peu de chance les autorités vont designer l’ancienne puissance coloniale d’être responsable du délabrement de cette mosquée qu’elle n’aurait pas bien entretenue il y a 63ans