Abdelmadjid Tebboune préside, dimanche, une réunion du Conseil des ministres consacrée à l’examen d’un projet de loi portant amendement constitutionnel technique et de deux projets de lois organiques relatifs au régime électoral et aux partis politiques, indique un communiqué de la Présidence de la République.
« Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, préside, en ce moment, une réunion du Conseil des ministres, consacrée à l’examen d’un projet de loi portant amendement constitutionnel technique et de deux projets de lois organiques relatifs au régime électoral et aux partis politiques, ainsi qu’à un exposé sur l’indemnisation des coûts de transport dans le domaine économique », lit-on dans le communiqué.
Assiste-t-on déjà aux prémices du viol de la Constitution en vue d’un 3e mandat de Tebboune (81 ans) ? Cette révision pourrait être en effet une première étape avant d’arriver au congrès des deux chambres qui avalisera une révision plus profonde permettant au locataire d’El Mouradia de garder le pouvoir indéfiniment. Attendons de voir la suite.
La rédaction


ADUMMU N YIR TARGIT
Acḥal d tawaɣit iḍṛan yidnaɣ di 1962 ar ass-a, waṛɛad n targu …. N-qqaṛ di Dzayer di 1962 ar ass-a d isardasen ig ṭṭfen tamurt. Garasen itt naɣen anwa adrum ara yalin neɣ ara yaɣlin.
Skud ur msefhamen ara garasen anwa ara d svedden, d win illan tura’ra idummen , s draɛ neɣ s uvddel n tamendawt.
Agdud i-ṭṭes s timeslent ( islamisme ) d taɣelnẓṛi tiɛarbubt (Nationalisme arabo-musulman).. ihi akken qqaṛen imrawen nneɣ. Win neɣ tin iwwet laẓ ar uɛbbiuḍ, ur illi ṭmaɛ deg w-allaɣ is.
Dayen barka nyya , neɣ tifrat-is d tanekra
Les cauchemars sont loin de terminer.
On dit qu’en Algérie depuis 1962, c’est les militaires qui commandent en se cachant derrière un civil désigné. Alors il ne faut pas rêver que cela changera du jour au lendemain. Donc si ces militaires qui ont l’autorité de l’Etat n’arrivent pas à s’entendre sur un nouveau candidat pour occuper le palais d’El Moutradiya, rassurez-vous comme de tradition en Algérie que c’est l’occupant actuel d’El Moutradiya qui continuera d’assumer les fonctions de chef de l’Etat désigné de force ou en changeant la constitution. Arrêtez d’êtres naïfs ou aveugles, à moins de se révolter.