Au lendemain des expulsions croisées de diplomates, la crise franco-algérienne s’intensifie, marquée par un échange virulent d’accusations et de contre-accusations qui exacerbe les tensions.
La France, par la voix de son gouvernement, rejette avec véhémence les imputations algériennes visant directement son ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau.
Par la voix de sa porte-parole, Sophie Primas, le gouvernement français a exprimé son étonnement face à la persistance d’Alger à imputer la responsabilité de la crise à Retailleau, soulignant avec force que « Bruno Retailleau n’a absolument aucun lien avec cette affaire, il n’y a donc pas d’affaire Retailleau ».
Cette déclaration, faite à l’issue du Conseil des ministres, vise à désamorcer les accusations algériennes, qui ont conduit à une escalade diplomatique marquée par l’expulsion réciproque de diplomates. Sophie Primas a insisté sur le fait que la décision d’interpeller le diplomate algérien relevait du Parquet national antiterroriste (PNAT), une instance « totalement indépendante du gouvernement ».
Cette mise au point souligne la volonté de Paris de dissocier l’action judiciaire de toute ingérence politique, et de rappeler le principe fondamental de l’indépendance de la justice.
Alger, dans son communiqué du 14 avril, avait désigné Bruno Retailleau comme « l’unique responsable » de la crise, suite à l’arrestation d’un agent consulaire algérien soupçonné d’implication dans l’enlèvement d’un opposant.
La France, en réaffirmant l’indépendance de son système judiciaire, rejette implicitement cette accusation, et signale son refus de céder à ce qu’elle considère comme une tentative de politisation de l’affaire.
Malgré cette divergence persistante, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a réitéré son appel au dialogue, soulignant l’importance de maintenir des canaux de communication ouverts. Cette position contraste avec la fermeté des démentis concernant l’implication de Retailleau, et illustre la complexité des enjeux diplomatiques entre les deux pays.
La rédaction
Ce n’est pas Retailleau qui met en prison les meilleurs enfants du pays, c’est l’armée algérienne !
Depuis 1962, la seule armée au monde qui tue, torture, vole, emprisonne les algériens, c’est l’armée algérienne. Depuis 1962, la seule armée qui dénie tout droit à la citoyenneté aux algériens, c’est l’armée algérienne. Depuis 1962, la seule armée au monde qui déni aux algériens le droit à la justice, c’est l’armée algérienne. Depuis 1962, la seule armée au monde qui fait peser des menaces sur les algériens, c’est l’armée algérienne. Depuis 1962, la seule armée au monde qui s’acharne à détruire l’économie algérienne, à détruire toutes les chances que le bon Dieu nous a donné c’est l’armée algérienne. Retailleau n’a rien à voir la dedans.
Vouala la boune kistyou! C’est kikacommencé? C’est pas moi Monsieur k’a répondu Fafa.
Cela me rappelle » Ugenyor », ce citoyen de Guezgata. On l’appelait ainsi « l’ingénieur » parce qu’un jour il entreprit de construire a3chiw, un gourbi, en branchages et roseaux .il activait de l’intérieur, sans relâche, d’un trait. Ce n’est qu’à la fin qu’il réalisa qu’il s’était en fermé parce qu’il avait oublié d’y mettre une porte de sortie.
Tandis que Shumisha m’lemhayène youghène S3id marthayène, quand elle se brouille avec son mari, S3id,laisse toujours de quoi se rabibocher ; Tetsadjed swachou a thoughal, disait-on, quand on veut la prendre en exemple. Qu’est-ce qui illustre plus la relation entre Fafa et nous ?