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En Algérie, le discours des concepteurs de l’art contemporain véhicule les messages officiels

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Comme le commissaire principal du Salon international du livre d’Alger (SİLA) tenu du 29 octobre au 08 novembre 2025, celui de la 9ème édition du Festival culturel international de l’art pictural contemporain (1), ouverte le samedi 29 novembre (et jusqu’au 06 décembre 2025) à Alger, répliquera les leitmotivs politiques que des conseillers de la présidence adressent par ailleurs aux divers ministres de la Culture, locataires de l’ampoulé Palais Moufdi-Zakaria.

Remplaçant désormais le désertique et improductif Musée d’art moderne d’Alger (MAMA), le fastueux bâtiment construit sur le plateau El Annasser (commune de Kouba), accueillera une manifestation supposée « favoriser les échanges entre les professionnels, promouvoir les œuvres d’artistes algériens (…), mettre l’accent sur le marché de l’art comme levier essentiel du développement de la scène artistique et du soutien à l’économie culturelle nationale » maintenait le curateur Hamza Bounoua dans les colonnes d’El Moudjahid du 20 novembre 2025. Signalant déjà le 02 décembre 2024 (via le même quotidien) que la plateforme de discussion « du dernier festival d’art contemporain a tenté d’asseoir un débat afin d’étudier la possibilité de développer le marché de l’art algérien pour arriver à une politique qui répond aux besoins (de) l’économie nationale et aux attentes des artistes plasticiens », le répétitif directeur de la « Diwaniya art Gallery » (espace inauguré en septembre 2020 à Chéraga, banlieue Ouest d’Alger) a pour habitude de proroger ou parodier les éléments de langage ou feuilles de route que des donneurs d’ordre, obnubilés par l’homologation des mémoires anticoloniales, dictent du sommet de l’État ou à partir des hauts commandements de l’armée.

Leur entrisme discursif impactant la réflexion d’intermédiaires zélés et, de surcroît, conditionnés, Hamza Bounoua plaide continument en faveur d’une économie culturelle tournée en direction du tourisme (générateur de gains consistants et tout autant stimulé à travers la préservation tous azimuts du patrimoine), récite ou colporte des accents souverainistes tout simplement parce qu’il ne sait comment véritablement impulser les ressorts capitalistiques du marché de l’art sur lequel revenait en avril 2025 le ministre des Arts et de la Culture Zouheir Ballalou. Convaincu qu’il était « en train de prendre forme mais qu’il nécessite une réglementation et une organisation pour atteindre son plein potentiel (…), apporter beaucoup d’argent à l’économie nationale».» (Zouheir Ballalou, in El Moudjahid, 23 avr. 2025), l’évincé du Palais Moufdi-Zakaria (remplacé le lundi 15 septembre 2025 par Malika Bendouda) donnait le sentiment que de bonnes dispositions institutionnelles suffisaient à garantir son épanouissement.

L’ex-directeur du programme d’appui à la protection et valorisation du patrimoine culturel misait dès lors sur un cadre juridique et une « commission médicale » en mesure de générer « un système de certification des œuvres d’art pour éviter les faux et contrefaçons». İl allouait cette identification à l’Agence Algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) dorénavant occupée à « contrôler les fuites de certains tableaux de grande valeur», à réguler et commercialiser, avec « la contribution des finances
», des médiums bénéficiant d’un circuit de vente en ligne disponible au paiement électronique.

Siégeant à la Villa-Abd-el-Tif, l’annexe artistique organisera du 22 au 28 novembre 2025 des ateliers de formation lors d’une résidence entourée par trois plasticiens faisant partie intégrante d’un comité qui retiendra parmi les 80 lauréats du concours 12 talents (07 filles et 05 garçons) conviés dès le 1er décembre 2025 (et jusqu’au 10 décembre) à exhiber leurs travaux à la Villa Boulkine d’Hussein Dey.

Le suivi didactique ou cognitif des nouvelles générations étant un volet fondamental du Festival culturel international de l’art pictural contemporain (FCİAPC), d’autres apprentissages centrés sur les métiers de conservateur et le management culturel s’étaleront du mercredi 03 au vendredi 05 décembre 2025. Chapeautés par les Égyptiens İhab Al-Laban et Mohamed El-Masri ou l’Algérien Redha Djamaï et le Lybien Mohamed Alamin, ils s’inscrivaient dans un souci de professionnalisation, dans une gestion des compétences offertes à des impétrants enclins à « faire entendre leur voix et à s’inscrire durablement dans les réseaux internationaux», arguait Maâmar Guerziz au moment du point de presse du 18 novembre 2025. Les accompagnements pédagogiques n’avaient pas à ses yeux pour but d’uniquement « montrer des œuvres, mais de préparer ceux qui construiront la scène artistique de demain ».

Responsable du département infographie de l’université Abdelhamid İbn Badis de Mostaganem avant de devenir maître de conférences au sein de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts (ENSBA) d’Alger, le natif de Chlef (ville située à l’Ouest d’Alger) « incruste » un poste laissant à penser qu’il est la personne idoine habilitée à « poser la première pierre d’un marché de l’art authentique » (Maâmar Guerziz, in L’Algérie Aujourd’hui, 29 nov. 2025). Or, ce peintre occasionnel qui a produit quelques toiles (Petites filles à la poupée, Tendresse des Aurès ou Algéroise) pastichant et calibrant les portraits de l’ « orientalisme héliotrope et chromatique », n’a pas à son actif de publications conséquentes justifiant ou expliquant une mutation honorifique le parachutant à la tête de l’İFCA,

À la question « qu’est-ce qui caractérise selon vous l’identité artistique de cette édition, par rapport aux précédentes ? », il répondra que celle de 2024 était dédiée aux créateurs et que la dernière en date s’est axée «quant à elle sur les galeries d’art, marquant ainsi une véritable différence » puisque, ajoutera l’interrogé de l’heure, « Nous passons d’une exposition internationale à une véritable foire d’art contemporain » (İbidem).

D’une part, le nombre restreint des contrées participantes invalide la dimension « exposition internationale », et il y a d’autre part lieu de noter que la foire calque l’organigramme d’Art Basel Paris. Réellement mondial, l’événement automnal (ancienne FİAC) se divise depuis 2022 en diverses phases ; une vaste déambulation artistique accessible (à partir de des lieux phares de la capitale française) à des publics pouvant apprécier des œuvres d’envergure ou spectaculaires, un parcours principal planifié sous les verrières du Grand Palais et désigné « Section Galeries », galeries dont certaines joindront le « Secteur Émergence » (elles invitent de jeunes plasticiens prometteurs) alors que le « Secteur Premise » fera (re)découvrir des médiums méconnus ou oubliés.

Aujourd’hui, une foire de renom a pour habitude de se déployer au-delà de l’enceinte fédératrice et celle d’Alger s’est polarisée sur le Palais Moufdi-Zakaria, l’École nationale supérieure des Beaux-Arts (ENSBA) d’Alger et la Villa Boulkine qui faute d’un nouveau projet architectural (semble-t-il annulé) fait office de Grand Musée d’Afrique (GMA). Recevant 29 galeries (2), l’espace mobilisateur condensera les attentes de commissaires certains que le rendez-vous de novembre-décembre 2025 marquera un virage décisif et historique car, « premier du genre dans l’Algérie indépendante », il assurera un essor « économique majeur » pour un marché de l’art pourtant en jachère. Censé être « incontournable pour la promotion de l’art contemporain » et constitué « un atout précieux pour la notoriété », il n’enregistrera pas de transactions substantielles (les contrats signés ou accords conclus à Art Basel Paris dépasseront le million d’euros, grâce à la présence remarquée de nombreux investisseurs américains et de 206 galeries).

Si l’entrée de L’İFCA reste gratuite (celle d’Art Basel Paris affichait, du 24 au 26 octobre 2025, 30 € pour les étudiants et 1.300 € du côté de VİP adeptes du pass premium), combien de visiteurs furent inventoriés pendant la concentration de 2025 et, au bout du compte, quel montant y atteindra les ventes ?

Aucun chiffre ne sera communiqué parce que le faire c’était obligatoirement concéder l’échec cuisant d’individus estimant que le maillage financier du marché de l’art pourra localement se concrétiser sans un réseau interactionnel de collectionneurs, de galeristes professionnels aux prérogatives clairement établies, des salles de vente fréquentées par des bienfaiteurs ou mécènes érudits et avisés, voire des patrons d’entreprises (nationales ou privées) prêt à dynamiser sur le long terme une politique d’acquisition suffisamment articulée pour ensemencer d’efficaces et transparents achats.

İntitulé « Émergence d’un marché de l’art en Algérie: Des contraintes à lever », l’article d’un journaliste du quotidien Horizons du 01 décembre 2025 mettait les pieds dans le couscoussier algérien en avouant avoir visité un festival sans clients avérés. Prenant le pouls du marché auprès de Souad Tiar, fondatrice en 2008 de la galerie « Aida » d’Alger, il lui fera admettre comme cinglant constat que les « consommateurs d’art (collectionneurs et acquéreurs) sont quasiment inexistants».

Faisant tout autant remarquer que « lors de l’inauguration, les représentant institutionnels ou économiques n’étaient pas présent », elle déplorait le désintérêt d’acquéreurs que le peintre Chafa Ouzzani cherchera en vain le 29 novembre 2025 au milieu de regardeurs eux-mêmes limités. Attirés par l’attrait spéculatif, les entrepreneurs doivent avoir le sentiment que la toile ou la sculpture convoitée est le produit d’un auteur singulier qu’historiens et critiques d’art cataloguent comme tel.

Leur grille de lecture dissèque et prononce ainsi (sous couvert de la notion de rareté) les pertinences ou cohérences des têtes de gondoles de l’art contemporain. Trop inconstants et volatiles en Algérie, ses destinataires ne peuvent pas y jouer un rôle moteur déterminant pour que la sollicitude générale consacre enfin l’exigence de particularité (que charrient les quelques figures de l’excellence artistique) et que des experts puissent vraiment cerner la valeur marchande d’œuvres dont les modalités de circulation seront discutées avec « l’espoir que des solutions rapides soient trouvées » au cours de l’İFCA, soulignera Maâmar Guerziz. Le président du Forum prévu le 30 novembre à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts (ENSBA) d’Alger ajoutera percevoir « cette foire inédite comme un véritable levier pour le développement d’une économie culturelle tant attendue et souhaitée par nos dirigeants ». La servitude intellectuelle de cet autre supplétif apparaîtra plus fragrante lorsque l’assentiment s’appliquera à la diaspora artistique regroupée par la commissaire Yasmine Azzi-Kohlhepp au Palais Moufdi-Zakaria.

Aux yeux du dévoué modérateur, ses élus symbolisent « (…) un véritable atout pour l’Algérie, (car) ce sont nos ambassadeurs dans leurs pays de résidence (…) », des émissaires élevant « le drapeau algérien très haut. ». (M. Guerziz, in L’Algérie Aujourd’hui, déjà cité). Qu’ils aient ou non pris la nationalité du pays hôte, qu’ils revendiquent ou non appartenir à une temporalité artistique différente, ces plasticiens auraient, dès lors qu’ils sont nés en Algérie ou partagent une accointance filiale avec ce pays, la mission d’être, partout où ils se trouvent, « la représentation de l’Algérie à l’étranger », les porte-drapeaux de la culture d’origine ou de la « diplomatie culturelle».

Les considérer de la sorte, c’est bricoler une métonymie entre éthique de communauté et identité artistique, nier leur intrinsèque spécificité, leur indépendance d’esprit, leur quête esthétique qui n’a parfois rien avoir avec un quelconque atavisme culturel algérien puisqu’elle découle le plus souvent d’un entendement ou d’une construction intellectuelle à relier à un processus ou dispositif mental fusionné au génie occidental.

Enrôlé au titre d’étendards glorificateurs d’un « véritable hymne à l’unité nationale », de faire-valoir facilitant « la promotion de l’identité visuelle algérienne à l’échelle internationale » Zoulikha Bouabdellah, Halida Boughriet, Mustapha Sedjal, Mohamed Bourouissa, Bachir Hadji, Yazid Oulab, Nasreddine Bennacer, Mourad Messoubeur, Abdesselem Le Kouaghet (dit Salim), Abderrhamane Ould Mohand et Rachid Nacib (3) se sont fait volontairement ou béatement piéger en cautionnant une monstration drapée de fibres patriotiques, exacerbée par les relents de l’ultra nationalisme ou l’emphase de superlatifs grandiloquents et pompeux.

İnterpellée le 04 décembre 2025 par le périodique L’Expression, Yasmine Azzi- Kohlhepp avançait que chaque membre du collectif a su trouver une identité propre en charriant « la voix d’une Algérie ouverte sur le monde ». Persuadée qu’il « (…) n’y a rien qui cloche » au sein d’un champ artistique qu’elle ne connaît apparemment pas, l’ex-décoratrice rappellera en la circonstance le « message formidable » que le chef de l’État adressa aux filles et fils d’émigrés ou aux expatriés, « à savoir que les enfants des Algériens installés en dehors de l’Algérie sont aussi des enfants algériens ».

En somme, reliés ad vitam æternam à leur ontologique cordon ombilical ou aux atomes crochus d’un affect héréditaire comme un pendu est attaché à sa corde, les onze sélectionnés emblématisent en quelque sorte le soft power algérien.

Renforcer des liens entre créateurs établis à l’étranger et leurs compatriotes résidant en Algérie, créer des ponts entre ceux de l’intérieur et ceux de l’extérieur de manière à intégrer ces derniers à des collaborations internes, tout cela revient certes à soutenir une perspective louable mais qu’Hamza Bounoua attribuera à son tour (toujours par pure flagornerie) à Abdelmadjid Tebboune, président qui donc « porte une attention particulière aux membres de la communauté nationale à l’étranger ».

Appréhendés en tant que valeurs ajoutées à l’esseulée scène endogène, apports supplémentaires capables d’introduire en Algérie des expériences « nourries par leur parcours d’exil », les Algéros-Européens se retrouveront à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts (ENSBA) d’Alger pour faire part de leur itinéraire ou écouter les contributions de spécialistes venus parler de création africaine contemporaine (face aux nouvelles technologies ou coincé entre admission internationale et défis locaux), des enjeux de l’art, de l’impact qu’aura sur lui l’intelligence artificielle. İnauguré par l’encarté Hamza Bounoua (pour lequel les performeurs« mettent en lumière la richesse de notre patrimoine artistique africain », le colloque se dispensera de publier des actes synthétisant le contenu des thématiques, notamment celles dénommées « İmagination et géographie de réception dans l’art » puis « Quand les arts s’écoutent : l’émotion circule ». Elle se trimbalera possiblement « Au-delà des frontières » présumait le slogan de l’İnternational festival of contemporary art (İFCA) que Bounoua choisira avec la volonté de « corriger les perceptions négatives en montrant une image authentique de l’Algérie».

L’arrestation de l’écrivain Boualem Sansal, suivie de celle tout aussi douteuse et dommageable du journaliste sportif Christophe Gleizes, a terni celle d’un pays où le régime autocratique ne respecte ni la liberté d’expression, ni la liberté de création, ni la liberté de conscience.

Aussi, prétendre solennellement montrer (à l’occasion de la FİAC) une « Algérie ouverte, accueillante et riche de sa diversité », c’est Prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (dirait le cinéaste Michel Audiard), se moquer du monde, particulièrement des dizaines de prisonniers d’opinion enfermés en vertu d’un « Hirak béni » pernicieusement détourné de son cours ou élan démocratique. Courtisans disposés à répéter machinalement les narratifs d’un pouvoir militaro-islamiste, Hamza Bounoua et Maâmar Guerziz rabattent, par mimétisme idéologique, la pensée proprement artistique sur la démagogie ambiante d’agents influenceurs communiquant habituellement les codex du figé, vulgarisent des assertions triomphalistes remémorant les envolées lyriques des décennies 60-70.

En ameutant plusieurs pays africains dans le but d’entreprendre (du 30 novembre au 01 décembre 2025) à Alger le énième procès des crimes coloniaux, de réclamer des réparations financières et mémorielles, les services de la propagande médiatique ou du sectarisme anti-France remettent une pièce dans la machine tiers-mondiste et l’Algérie se referme encore sur ses constantes nationales productrices d’une autarcie culturelle qui a creusé le sillon du salafisme.

Apprécier comme « un message politique fort et un acte de résistance culturelle », la participation condescendante de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et de la Palestine renvoie à des largesses appréciatives déconnectées des projections ambitionnant de transformer la capitale « en véritable carrefour planétaire de la création ». Qualifier la manifestation de « tournant historique pour la visibilité internationale de l’art en Algérie » et lui octroyer l’hypothétique probabilité « de s’imposer comme l’une des plus importantes et aspirantes du paysage artistique », c’est cultiver, en lieu et place d’une étude sociologique approfondie, une méthode Coué doublée de croyances naïves.

Clôturé sur une complaisante « cérémonie de reconnaissance » distinguant des artistes souvent proposés par les services culturels des ambassades ou représentations diplomatiques accréditées à Alger (4), l’İFCA d’Alger manqua cruellement d’universitaires ou curateurs émérites à même de diagnostiquer, grâce à de sérieuses analyses, l’ici et maintenant d’un marché de l’art en plein marasme économique, de remplacer des commissaires se bornant à faire de ladite foire la chambre d’enregistrement et la caisse de résonance d’accommodantes doxas.

Saâdi-Leray Farid, sociologue de l’Art et de la Culture

(1)Bien que le logique acronyme de Festival culturel international de l’art pictural contemporain est FCİAPC, celui-ci est réduit à l’abréviation İFCA en vertu d’une version anglophilie qui, teintée de francophobie, oblige à nommer la manifestation İnternational festival of contemporary art. İl serait d’ailleurs appréciable de s’entendre sur une dénomination finale, de simplifier les appellations, tant on ne sait plus auquel raccourci s’en tenir, celui inhérent à Festival international des arts contemporains (FİAC), Festival culturel international d’Art contemporain (FCİAC), Festival culturel international de l’art pictural (FCİAP), Festival culturel international des Beaux-Arts contemporains (FCİBAC) ou İnternational festival of contemporary pictoral art (İFCPA) ?

(2)Parmi les huit algériennes figuraient Ahlem Gallery (Alger), Aida Gallery (Alger), Artissimo (Alger), Ezzou’art (Alger), Seen Art Gallery (Alger), Ayn Gallery (Oran), Art Weka Gallery (Oran) et Landon Gallery (Biskra)

(3)11 plasticiens réunis par Yasmine Azzi-Kohlhepp. La gérante d’ « Ayn Gallery », une boutique-showroom de L’Île Saint-Louis (4ème arrondissement de Paris), pense que l’exercice de la décoration d’intérieur suffit pour se faire passer comme une galeriste professionnelle de l’art contemporain.

(4)Celles de la Tunisie, du Bahreïn, du Nigéria, de l’Égypte, de la Libye, de l’İrak, de l’İran, du Liban, du Qatar, du Koweït, du Cameroun, de l’İnde, de la Chine, de la Turquie, du Royaume-Uni, du Koweït, de la Palestine, du Sahara Occidental, de la France, de la République Tchèque, du Royaume Uni et de la Lettonie.

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