Samedi 16 novembre 2019
Gaïd Salah dans le Guinness des records 2019 !?
À défaut d’avoir obtenu le prix Nobel de la pax-imposture pour Bouteflika, la famille militaro-FLiN-tox serait mieux avisée de proposer son gags de dinosaure au Guinness book des records-2019. Lui qui, depuis 9 mois, s’acharne et sévit sur une jeunesse pétillante, du haut de ses 80 balais défraîchis.
Partout sur la planète -en France, des spots publicitaires la dénoncent régulièrement- la maltraitance des personnes âgées par des proches, plus jeunes ou plus robustes, semble prendre des allures de calamité générale. Un fléau que le peu d’humanisme qui subsiste encore dans ce monde qui s’emballe, et déborde de toutes sortes de dérapages contrôlés par les nouvelles technologies, se donne l’objectif de réduire, à défaut de pouvoir l’éradiquer.
Des drames qui se propagent au sein de cellules familiales « label 21ème siècle » formatées à un monde de plus en plus méconnaissable pour nos générations qui ont vécu l’Humain, avec le grand H qui lui sied. Aux temps lointains de l’Histoire de l’homo-sapiens. Une Histoire qui prend, sous l’angle de rétrospection calé sur le « smart !?»-phone, des contours d’anecdotes préhistoriques, pour ceux qui ont vécu l’époque Flower-power où le slogan « faites l’amour, pas la guerre ! » soufflait gaiement sur la planète, de son épicentre, à San-Francisco, pour se propager jusqu’aux petites ruelles de la Casbah et les grands boulevards d’Alger pour être amplifiées par la voix d’el-Hadj-El-Anka !
À l’opposé, ce que vit l’Algérie depuis neuf mois est d’une singularité à défier toute logique de l’Histoire des hommes. Un pays où un vieux de 80 ans malmène toute une jeunesse est à inscrire en exemple d’exploit que l’Histoire n’a pas encore attribué.
Ni Hitler, ni Mao, ni Mussolini, ni Pinochet ou tout autre « dicatatouri » …ne peut surenchérir l’exploit de ce GAGS qui se croit investi d’une mission supérieure. Celle de contrecarrer le rêve de liberté de 42 millions d’Amazighs pacifiques décidés à en découdre avec la supercherie de ces colons obnubilés par la cause d’Arabie, et qui s’accrochent aveuglément au trône, comme si, par leurs cieux, le pays était estampillé « colonie à ne jamais libérer ».
Malmener, à 80 ans, des millions de jeunes frétillants d’espoir, de futur et de Vie, et dont la moyenne d’âge ne dépasse pas 30 ans, c’est battre toutes les prouesses de maltraitance répertoriées sur la planète Terre ! Ce ne sont pas les inventaires du Guinness des records qui le contesteraient.
Gaïd Salah et sa acolytes s’acharnent à travestir l’évidence, celle d’une guerre contre la France gagnée par de vénérables Bouregaa.
Pour cela, sous nos yeux incrédules et nos oreilles abasourdies, ils s’acharnent à falsifier, des parchemins rédigés en direct, sur El-Moudjahid et l’ENTV, des faits têtus et à contre-courant des gestes, des slogans et des marches enchaînées par ces millions d’algériens qui battent le pavé chaque mardi et chaque vendredi, depuis février.
Cela faisant, GAGS aspire à battre Ramsès II sur le terrain de l’artifice historique. À l’exemple de ce libellé retrouvé récemment, et qui raconte des exploits fictifs, juste pour laisser dans l’Histoire une empreinte de Général des Armées qui n’a d’autres égaux que les Dieux du Ciel et de l’Univers. Des Dieux condamnés à ne jamais descendre sur Terre pour mettre fin à des égarements de petit humain convaincu que sa petite vie a plus d’importance que celle de l’ensemble des autres hominidés sous son autorité.
Tout récemment, 2 siècles après Champollion, on a décodé sur les murs du temple d’Abou Simbel des hiéroglyphes qui relatent une bataille menée par Ramsès II, en ces termes : « et quand il n’y avait plus personne pour combattre ; Ramsès II, le Général en charge des Armées, massacra à lui seul 2500 combattants ennemis ! ». L’anecdote en question faisait référence à une bataille que Ramsès II et ses fidèles soldats avaient perdue, fuyant le terrain ennemi, tout char déroutant. Comme quoi, en termes de falsifications, nos militaro-FLiN-tox sont décalés de 50 siècles de celles concoctées par les pharaons pour s’attribuer des titres de divinités nées pour Vivre au-dessus de la mêlée !
On ne sait pas trop pour les nombreux R’boub qui ont indûment dirigé l’Algérie, mais force est de constater que le GAGS en question semble avoir hérité d’une génétique de type pharaonique. Quoique, Bouteflika ne rêvait-il pas de mourir sur le trône ?
À la différence que, en son temps, par ses divagations retranscrites pour la postérité sur de gigantesques monuments, Ramsès II commandait d’insuffler, au peuple qu’il gouvernait et à ses descendances, vénération, respect et adoration.
Qui glorifiera Gaïd Salah, demain ou dans 10 ans ?
À part bien sûr Tebboune, Benflis, Bensalah, et ces nombreux héritiers de Boumediene et Bouteflika… Et encore !
Quelle fin pour ce cauchemar sans fin ?
Ce 12 décembre 2019 sonnera-t-il enfin le glas pour ces héritiers des imposteurs de 1962 qui s’arrogent tous les droits, tout en croyant que le repos éternel auprès d’Allah les sauvera de ces démons enchaînés à leurs sadismes sur un peuple qui ne réclame rien d’autre que de vivre en liberté sur des lopins de terre que moult conquérants lui ont confisqué ?