Samedi 14 mars 2020
« La Casa d’El Mouradia » de Mohamed Benchicou : une édition internationale enrichie
L’édition internationale du livre La Casa d’El-Mouradia est disponible en France (et bientôt au Canada) depuis mercredi 11 mars. L’édition algérienne est sortie en octobre.
Cette double parution s’explique par l’exigence des diffuseurs français de ne distribuer le livre qu’après une période dite « de promotion » de 6 mois, qui a empêché la sortie simultanée en Algérie et en Europe. S’agissant d’un ouvrage bâti sur un fait d’actualité en cours, il a fallu réactualiser le texte et introduire des passages entiers sur les faits nouveaux. C’est donc un livre assez différencié qui est en circulation et qui est disponible dans toutes les librairies, dans les boutiques Fnac et sur les chaînes de magasins française spécialisée dans la distribution de produits culturels ainsi que sur Amazon.
Avis de la presse
« Un livre écrit dans l’urgence et qu’il faut lire de toute urgence » (Mourad Bourboune)
« Quand on lit la première page, on ne peut s’arrêter qu’à la dernière, saisi par la forme savoureuse du style de l’auteur, la profondeur et la gravité du fond et du contenu ». (Le Jeune indépendant)
De la fiction ? Non de la réalité bien vraie… romancée, et racontée… en 2079. Et, une larme d’humour… pour décrire une situation pourtant dramatique ». (Quotidien d’Oran)
« Le récit de Benchicou illustre parfaitement les causes de ce soulèvement ». (Boubakar Hamidechi-Le Soir d’Algérie)
« Ce petit peuple reprend possession de sa vie, de sa voix, de sa cité. Il éclate de vérité humaine sous la plume de Benchicou…Ces dialogues de Platon avec les mots et maux de nos Casbahs » (Mourad Bourboune)
« Le fond du livre, ainsi que ses chapitres essentiels, est bien la description, dans ses détails les plus significatifs, d’un système, d’un régime, d’un homme et de son clan ». (Tribune diplomatique internationale).
« On lit ce livre et on sait tout sur le Hirak. Un document d’une rare importance pour son style imagé et la valeur élevée du thème inscrit dorénavant en grandes lettres dans l’histoire de l’Algérie ». Jeune indépendant)