28 mars 2024
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Le Covid-19 : la seconde vague de propagande statistique

OPINION

Le Covid-19 : la seconde vague de propagande statistique

« Le statisticien est un homme qui fait un calcul juste en partant de prémices douteuses pour aboutir à un résultat faux. », Jean Théodore Delacour

À lire et à écouter les médias qui manipulent l’opinion comme leurs maîtres du pouvoir les chiffres, nous serions sur le point d’être submergés, non par une deuxième vaguelette mais un tsunami viral pandémique. L’Etat, à défaut d’investir des moyens financiers pour fabriquer un vaccin, se plait à se divertir dans la fabrication de la peur. La peur est devenue sa marque de fabrique. Gouverner par la peur est la dernière arme de destruction psychologique massive fabriquée dans les laboratoires polémologiques des puissants.

La production de la peur a pris une dimension industrielle, seule industrie à ne pas subir la crise. Au contraire, dans tous les pays, l’industrie de la Terreur connaît une croissance exponentielle, elle tourne à plein régime (fasciste). À cet égard, pour alimenter et amplifier la peur, de nombreux médias stipendiés diffusent des reportages catastrophistes selon lesquels la prétendue deuxième vague serait comparable à la grippe espagnole de 1918. Résultat : talonnés par la peur inoculée par les talentueux bonimenteurs gouvernementaux, des millions de personnes se pressent devant les laboratoires pour se faire tester ou plutôt pour s’infester mutuellement d’épouvantes.

A nouveau, rebelote avec le confinement. De nombreux États rejouent les mêmes cartes en tablant sur l’accélération fabriquée de l’épidémie. Sur le fondement de chiffres frauduleusement majorés, maquillées par nos mijaurées gouvernementales, plusieurs États envisagent de décréter des mesures de restriction drastiques, notamment des restrictions sur les rassemblements sociaux, les mariages, les funérailles, la fermeture de restaurants et des bars. Le re-confinement couve, le couvre-feu se confirme, la vraie figure hideuse des gouvernants se découvre. Bien loin de neutraliser le virus, le pouvoir préfère paralyser la société civile, asphyxier l’économie, anéantir la population, pour résoudre prétendument une petite crise de santé publique.

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Au reste, le virus de la désinformation et de la manipulation connaît une propagation extraordinaire. Les statistiques et les « estimations » sont excipées en guise de preuves médicales par les gouvernants afin de justifier et légitimer la mise sous cloche de l’économie nationale, la propagation et le renforcement des lois virales d’exception, attentatoires aux droits civils fondamentaux. Le jeu des chiffres est devenu la distraction « scientifique » des puissants jamais en peine de vils calculs et d’opérations de manipulation des esprits.

Depuis le déclenchement de l’épidémie de Covid-19, toutes les mesures décrétées par l’OMS et les gouvernements nationaux ont été fondées sur la base d’« estimations » et de « statistiques » douteuses, « vagues », à l’instar de la deuxième épidémie annoncée à grands renforts de propagande, matérialisée par les « cas confirmés », statistiquement montés en épingle par les gouvernements mais épinglés hardiment par les authentiques scientifiques. En effet, l’analyse scientifique médicale (et non mathématique) révèle que ces estimations de « cas confirmés » présentées par l’OMS et les gouvernements sont erronées. Les tests ne détectent, ni n’identifient le virus. Selon des experts, le test RT-PCR standard utilisé pour « détecter » le virus, « ne peut pas identifier le virus ». Or, des millions de personnes sont testées pour concourir à accréditer la thèse de l’augmentation du nombre de cas de positifs « confirmés » dans le monde.

À propos de la deuxième vague, le 11 Septembre 2020 l’épidémiologiste Laurent Toubiana avait déclaré sur la station radio France Inter : « 97% des tests sur les 8 millions réalisés, ce qui est monstrueux, sont négatifs, globalement l’épidémie ne circule pas ! ». « Il n’y a pas de deuxième vague car l’épidémie est déjà passée ».

D’après un autre scientifique, le Dr Beda Stadler, immunologiste renommé de l’Université de Berne, : « ce soi-disant nouveau virus est très fortement lié au SRAS-1 ainsi qu’à d’autres bêta-coronavirus qui nous font souffrir chaque année sous forme de rhumes ». S’agit-il d’un nouveau virus ou de la mutation d’un virus existant, « semblable aux bêta-virus du rhume de type coronavirus ? », s’interrogent certains scientifiques.

En attendant, les spéculations sur la deuxième vague submergent le microcosme viral médiatique, sur fond de simplification des analyses abondamment noyées sous des données statistiques (tronquées) pour leur imprimer une validité scientifique.

En vérité, les analyses et les chiffres sont souvent manipulés pour justifier les décisions politiques antisociales et légitimer les diverses mesures totalitaires décrétées contre les populations. Selon certains experts honnêtes ostracisés par la corporation médicale vénale et la mafia médiatique corruptrice, aussi bien les concepts que les résultats des tests n’indiquent l’existence d’une pandémie mondiale de Covid-19.

En tout état de cause, ils ne justifient pas les mesures relatives à la distanciation sociale draconienne, au port du masque obligatoire en plein air, aux restrictions des libertés individuelles fondamentales, au droit de rassemblement et de réunion, au blocage (carnage) de l’économie mondiale, pour gérer une petite crise de santé publique. La preuve par la Suède et la Corée du Sud, entre autres, qui ont endigué le virus en quelques semaines avec des moyens technologiques massifs sans recourir au confinement ni à des mesures coercitives.

Force est de constater que la dépravation morale s’est propagée dans toutes les sphères gouvernementales et instances internationales. La majorité des institutions étatiques et « scientifiques » internationales, depuis l’État jusqu’aux grandes organisations intergouvernementales (OMS, OIT, UNICEF, FMI, Banque mondiale, etc.) est directement contrôlée et administrée par de puissants groupes financiers.

Quel est l’objectif de la mise en scène médiatique de la propagande sur la prétendue « deuxième vague » statistiquement amplifiée ? Freiner le retour à la normalisation de l’économie ? Entraver toute perspective de redémarrage normalisée des économies nationales ?

Tout semble indiquer que la programmation de la « deuxième vague » constitue la « deuxième phase » de la planification de la destruction de certains pans de l’économie, considérés comme obsolètes, devenus inutiles pour le grand capital. Cette programmation de la faillite de certains secteurs du tertiaire concerne l’économie des services, du transport aérien, de l’industrie du tourisme, du commerce, etc.

Cette propagande sur la deuxième vague vise à prolonger la politique du chaos impulsée au début de l’année 2020. Ce désordre apparent s’inscrit dans la stratégie de la théorie du « chaos constructif » (ou « destruction créatrice », selon l’expression de Joseph Schumpeter). Il a pour objectif la mise en œuvre accélérée de la gouvernance mondiale du grand capital financier (occidental), dans le cadre d’une économie dématérialisée, numérisée, « ubérisée », assujettie au télétravail et l’e-commerce (économes en coûts de locaux, en facturations diverses liées à l’entretien, électricité, eau, assurance, frais de repas et de transport dus aux salariés, etc.). L’ère de l’économie « physique » et réelle est révolue.

Bienvenue dans l’économie dématérialisée et virtuelle à entreprises évanescentes, à réglementations salariales disloquées, à avantages sociaux démantelés, à rémunérations drastiquement comprimées.

Toujours est-il que, sans faire de vagues ni soulever de tempêtes de révoltes sociales, le système létal capitaliste, lui, continue de provoquer des milliers fois plus de victimes que le coronavirus : les entreprises sont économiquement décimées par les lois infectes de ce mode de production irrationnel ; les travailleurs et les populations sont socialement immolées par des mesures incendiaires décrétées par les pyromanes gouvernementaux, édictées au nom de la reconfiguration de l’ordre mondial financier.

Auteur
Mesloub Khider

 




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