Considérant que l’événement de Yennayer comme une opportunité de renforcer l’unité nationale, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCF) a exprimé son inquiétude face à la poursuite de ce qu’il a qualifié de « politiques d’exclusion et de marginalisation ciblant l’identité amazighe »
Le communiqué du RCD, rendu public à la veille de la célébration du Nouvel An amazigh est venu en réponse à « des événements récents, tels que le retrait de la statue du grand leader Aksel de son emplacement à Bouhamama, dans la wilaya de Khenchela », considérant que le déposition de cette statue représente un mépris flagrant pour les symboles historiques qui font partie intégrante de la mémoire nationale.
Il a également souligné les décisions d’interdire les activités culturelles, comme la conférence du professeur Ahamna Douak, sont le reflet d’une volonté politique visant » à restreindre la libre pensée et la marginalisantion de la culture nationale. »
« Ces pratiques menacent non seulement la diversité culturelle et linguistique de l’Algérie, mais affectent également l’unité nationale », estime le RCD, soulignant que « la diversité culturelle n’est pas une source de division, mais plutôt la base de cohésion et de force ».
Il a ajouté que « la célébration du nouvel an amazigh Yennayer est une opportunité de renforcer cette conscience nationale, soulignant la symbolique de l’occasion rappellera aux Algériens la profondeur de leur histoire commune et leur identité nationale.
Dans ce contexte, le RCD a appelé à prendre des mesures pratiques pour protéger les symboles historiques et de l’identité amazighe, notamment tels que le monument du résistant amazigh à l’invasion arabe Aksil (Koceila) et l’application effective du caractère officiel de la langue amazighe dans les domaines éducatif, administratif et médiatique et de l’administration.
Il a également appelé à ouvrir les espaces publics aux activités culturelles et intellectuelles sans restrictions ni censure, soulignant que la liberté d’expression et de pensée est la base de la construction d’une société démocratique.
Le RCD a souligné que la véritable unité nationale ne sera réalisée qu’en respectant et en valorisant toutes les composantes de l’identité nationale, estimant que les tentatives d’exclusion ou d’effacement de la mémoire culturelle ne feront que renforcer l’insistance des algériens à la défense de leurs s droits à la dignité et à la justice.
En conclusion, le parti dirigé par Atmane Mazouz a appelé à faire de la célébration de Yennayer une occasion de réfléchir et d’œuvrer à la construction d’une patrie unifiée basée sur les fondements de la justice, de l’équité et du respect de la diversité culturelle.
Yacine K.
Il est impératif de rétablir la laïcité qui a toujours rythmé notre approche à la cité. L’éthique est un choix individuel et le droit, le lien qui tisse comme un tissu connectif, consolide des liens entre les personnes.
Le religieux gagnerait en qualité en séparant les dimensions, la cité de l’homme de celle de dieu, comme dirait Saint Augstin, cet Algérien nié au nom du déterminisme badisien.
Nous n’avons pas à convaincre personne, la nation et l’oumma sont antinomiques. En effet, les islamistes, les arabisés, sont unis par le refus de l’Amazighité. En découdre en paix est placer le pays dans le sillon solide de l’histoire. Feindre l’alchimie arabislamique, qui par magie, ne fait que la reproduction de cette approche fatalité lue comme harmonie. En effet, en 1963, au nom de la supériorité de l’oumma sur la démocratie, algériens les oulémas algériens avaient soutenu le massacre en Kabylie par boumediene et benbella. Pour n’avoir pas compris la cause sémantique et politique, le régime exposera le pays au massacre de la décennie noire. Les tensions continuent cycliquement avec 2001 et le refus des scrutins qui suivront.
Placer le pays dans son sillon naturel aurait épargné tant de souffrances. Yung avait prévenu » Tant que vous n’aurez pas rendu l’inconscient conscient, il dirigera votre vie et vous appellerez cela le destin.
Le déboulonnage de la statue d’Aksel ne doit pas rester au stade d’un fait divers. C’est un acte extrêmement grave, qui en saccageant le socle de cette statue, compromet celui de la Nation et son avenir. On ne peut construire un roman national sur des bases pourries.
Mille fois Toz au RCD , devenu une coquille vide. Les bulletins du RCD c’est du chatouilles moi , j’ai envie de rire.
Cette « coquille vide » dit merde et pisse à la raie du lâche « Cagoulard de la Toile » que vous êtes.
Le RCD est un collectif humain, un collectif militant qui active contre vents et marées,
sous interdits,chape de plomb et climat de terreur.
Si votre apport « militant » est plus bénéfique à la collectivité nationale que celui du RCD,
il gagnerait à être connu ….
Sinon taisez-vous et arrêtez de jouer au « Maquisard du Clavier » qui se cache perfidement derrière un pseudo.
Vous devriez avoir honte.