Le président Macron a recadré le chef du gouvernement François Bayrou et son ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, dans la presse sur les relations avec l’Algérie.
Le chef de l’État refuse toute dénonciation unilatérale des accords de 1968 et appelle à un dialogue « exigeant et respectueux » quand Matignon menace de rompre les accords si l’Algérie refuse de reprendre ses ressortissants expulsables. Mardi soir, les relations franco-algériennes étaient débattues au Sénat et chacun se positionnent entre le chef de l’État et le gouvernement.
Le président a plus les faveurs de la gauche. Le communiste Fabien Gay le dit à sa manière : « Entre la peste et le choléra, je suis plus proche des propos d’Emmanuel Macron que de ceux de Bruno Retailleau. Nous avons le rapport à la colonisation. C’est un sujet pour beaucoup qui est encore extrêmement douloureux 60 ans après. »
Incompréhension chez les sénateurs Les Républicains. Max Brisson conteste la position présidentielle entre l’attentat de Mulhouse et l’échec d’expulsions d’influenceurs algériens. L’heure est au bras de fer. « Nous sommes constamment dans la discussion et nous recevons un coup de pied au derrière sur coup de pied au derrière. Donc il faut de la fermeté. Je rappelle au président de la République que dans la Constitution, il n’y a pas de domaine réservé.
Façon encore de contester ce qu’Emmanuel Macron rappelle ses derniers jours. Seul lui peut décider de la politique étrangère. Le socialiste Patrick Kanner approuve et appelle à la retenue : « On veut un conflit généralisé ? Une rupture diplomatique ? Ça n’a aucun sens. Si les accords de 1968 doivent être révisés. C’est à deux. »
Premiers responsables politiques à avoir mis sur la table la fin des accords de 1968. Édouard Philippe, aujourd’hui candidat déclaré pour 2027, l’un de ses proches, le sénateur Claude Malhuret : « Il faut que l’on rediscute de ces accords de 1968 qui n’ont plus lieu d’être. Il faut le faire de façon raisonnable ou en tout cas essayer. En ce qui nous concerne, les Français. »
Seul point d’accord de droite à gauche, demander la libération de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, toujours emprisonné en Algérie.
RFI
L’equation c’est: Ce dont a besoin fransa c’est de reconstruire une industrie d’armement. Ca coute cher. Macron veut le Fric d’Alger !
La question est une d’entubage:
Dans une kilotte en soie apres la salate a la mosquee de Paris
ou dans une robe blanche apres la zalate a al-mouradia ?
Le reste c’est du khorti, c.a.d. qu’il va falloir aux Franchies vider leur economies… sinon les fortunes de france risquent de se sauver en Amerique…au secours !
C’est tout ce que savent produire les politiciens europeens . . . de la literature patriotique et le support de dictateurs sur papier, tv et radio.
Si le monde a de la chance Trump aura le temps de nettoyer tous les appareils de khortis internationaux… qu’il ne reste plus que le reel… c.a.d. Marche ou Creve ! ou mettre des jupes a toutes les merdes generatrices de misere !
Comme le zelynski, les brebis Europeennes et bientot celles d’Amerique du sud.