15.9 C
Alger
vendredi, 7 novembre 2025
AccueilIdéesLettre ouverte à Nouria Benghebrit, ministre de l'Education nationale

Lettre ouverte à Nouria Benghebrit, ministre de l’Education nationale

Date :

Dans la même catégorie

Abed Abidat : « Montrer la vie qui nous entoure, qui nous touche »

Nous avons rencontré Abed Abidat pour la première fois...

Tamazight langue officielle, dites-vous ?

On s’en doutait bien, cette histoire de tamazight langue...

France–Algérie : Alain Ruscio dénonce « le retour du refoulé colonial»

Dans une analyse lucide, l’historien français Alain Ruscio estime...

Mme Lila Somé : « Aux jeunes qui doutent, il n’est jamais trop tard pour rebondir »

À l’occasion du Festival Vivacité, grand rendez-vous marseillais dédié...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
APPEL DESESPERE

Lettre ouverte à Nouria Benghebrit, ministre de l’Education nationale

Je viens par le biais de cette lettre Mme la Ministre de l’Education nationale, attirer votre attention sur mon cas. Après 40 ans de loyaux service au sein du Ministère. J’ai été responsable du Centre d’Accueil Mogador où j’ai habité aussi comme logement de fonction (pendant 23 ans).

Après ma sortie en retraite, je me vois menacé d’expulsion, on ne m’a même pas prévenu ou essayé de se pencher sur mon cas. On m’a envoyé un huissier et depuis j’ai désigné un avocat pour suivre mon cas.

La semaine passée encore une fois j’ai eu la visite de l’huissier avec un document que je devais sortir du logement. Je ne sais plus quoi faire, ni quoi penser, je n’ai vraiment pas où aller, bien qu’à l’époque on m’a promis de se pencher sur mon cas et que je devais m’installer dans ce centre provisoirement. Et depuis on m’a tout simplement oublié.

Au lieu d’être dans mon logement après ma retraite, je me vois traîner dans les tribunaux.

Est-ce juste ? C’est là la récompense ? Je pense qu’il y a des enquêtes pour voir que je n’ai pas où aller, je me retrouverai dans la rue avec mes enfants. Pour cela, je viens vous demander de bien vouloir vous pencher sur mon cas. Car je ne sais plus à quelle porte frapper, je suis vraiment désespérer.

Je sais que vous êtes une femme d’honneur et j’ai entièrement confiance en vous et à l’aide que vous apporterez à mon cas.

Veuillez croire, Madame la Ministre, à l’expression de mes salutations respectueuses.

M. Kamel Larouci

Responsable du Centre d’Accueil Mogador du Ministère de l’Education Nationale (en retraite).

Auteur
M. Kamel Larouci

 




Dans la même catégorie

Abed Abidat : « Montrer la vie qui nous entoure, qui nous touche »

Nous avons rencontré Abed Abidat pour la première fois...

Tamazight langue officielle, dites-vous ?

On s’en doutait bien, cette histoire de tamazight langue...

France–Algérie : Alain Ruscio dénonce « le retour du refoulé colonial»

Dans une analyse lucide, l’historien français Alain Ruscio estime...

Mme Lila Somé : « Aux jeunes qui doutent, il n’est jamais trop tard pour rebondir »

À l’occasion du Festival Vivacité, grand rendez-vous marseillais dédié...

Dernières actualités

spot_img

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici