L’Algérie a décidé de mettre fin aux fonctions de son ambassadeur au Liban, Kamel Bouchama (82 ans), quelques jours après ses propos controversés sur le président américain Donald Trump.
Lors d’un événement culturel à Beyrouth, l’ambassadeur avait qualifié Trump de « cowboy » et de « malade mental », affirmant que sa place se situait davantage dans un hôpital psychiatrique que dans la conduite d’une grande puissance mondiale.
Le ministère des Affaires étrangères a précisé que ces déclarations constituaient un dérapage personnel et ne reflétaient en aucun cas la position officielle de l’Algérie. Selon les sources diplomatiques, cette décision s’inscrit dans la volonté de préserver les codes de prudence et de neutralité qui régissent la diplomatie algérienne.
Cet incident met en lumière la sensibilité des propos tenus par des représentants officiels, même à titre personnel, et les conséquences rapides qui peuvent en découler sur le plan institutionnel et diplomatique.
Mourad Benyahia
Le pays est en état de délabrement inoui… On n’a même plus d’ambassadeurs dignes de ce nom. Teboune ne nomme que ses amis ou de sa famille. Les principaux dirigeants, ambassadeurs ont plus de 80 ans, sont malades chroniques. Autrement dit, ils sont toujours bloqués dans les années 50/70. Kamel Bouchama était ambassadeur en Syrie. C’est lui qui a induit en erreur le régime sur la situation en Syrie. Sérieusement, quelle est la capacité de travail d’un homme de 82 ans ? Combien d’heures par jour peut travailler un homme de 82 ans ?
Je suis heureux que ce Kamel Bouchama , ce zélé , ce zbibeurs de tous les clans successif du pouvoir depuis 1962, reçoive une gifle de celui qui l’a nommé Ambassadeur. Ce zélé du FLN de l’après 62 n’a fait qu’adulé Kaïd Ahmed, Cherif Messadia les dirigeants du FLN post 62 et bien sur son seul et unique grand héros de l’Algérie coloniale l’Emir Abdelkader. Ainsi, ces livres, si on peut les appelés ainsi, se limitent au FLN post 62 et une maigre biographie de l’Emir Abdelkader. Vous le sortez de ces sujets là, il ne lui reste que son slip !
Avant Bouchama il fallait limoger Tebboune qui a traité Sansal de bâtard et Drareni de khabardji. La diplomatie n’a rien à voir dans cette décision. Ils ont reçu un coup de fil de Mme Moore Aubin et ils ont tous fait dans leur froc. La suite on la connaît: Bouchama out en espérant calmer Oncle Sam. Bande de pleutres!