Campus France et l’Ambassade de France en Algérie ont annoncé que 8 351 étudiants algériens ont obtenu un visa d’études pour la rentrée 2025, soit plus de 1 000 de plus qu’en 2024. 87 % de ces visas ont été délivrés via la procédure Études en France.
Cette progression contraste avec un climat diplomatique tendu, marqué par des différends mémoriels, la question migratoire et le gel de certaines coopérations. Elle met en évidence la force d’un lien académique qui résiste aux crispations politiques. La France demeure la première destination des étudiants algériens, autant pour son offre universitaire que pour la reconnaissance internationale de ses diplômes.
Pour Paris, cette dynamique relève du soft power. Un paradoxe apparaît toutefois : alors qu’Alger a réduit la place du français au profit de l’anglais — introduit dès le primaire en 2022 et désormais présent dans l’université, tandis que le cursus français est interdit dans le privé depuis 2023 —, les étudiants continuent de plébisciter les campus français.
Cette mobilité traduit à la fois les limites du système universitaire algérien et l’aspiration d’une jeunesse nombreuse à chercher ailleurs de meilleures perspectives économiques et sociales, ainsi qu’un espace plus ouvert en matière de libertés.
La rédaction
Le dépouillement de l’élite algérienne continue année après année. C’est des contingents de futurs médecins, ingénieurs, chercheurs, enseignants Pas 0.01 % des futurs cadres ne remettront les pieds en Algérie, qui gardera Tebboune et Chengriha pour enfoncer encore et encore le pays dans un futur sombre. Le plus grand crime commis depuis l’indépendance… pour perpétuer cette chienlit au pouvoir !
Combien iront en Egypt a Al-Azhar ou a son competiteur en Arabie Saoudite? Ca mouhmouh et hadith a fond et ont meme des bourses, et meme droit a un sac poubelle vide…