Le Service de lutte contre le trafic de migrants et la traite des êtres humains créé par la Gendarmerie nationale a démantelé deux réseaux criminels de trafic de migrants à Alger, arrêté dix individus et saisi sept embarcations, a indiqué samedi un communiqué de ce corps de sécurité.
« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, sous toutes ses formes, notamment en lien avec la migration clandestine, le Commandement de la Gendarmerie nationale a créé une unité spécialisée dans la lutte contre cette activité criminelle à travers l’ensemble du territoire national. Il s’agit du Service de lutte contre le trafic de migrants et la traite des êtres humains », a précisé le communiqué.
« Grâce à la coordination permanente et continue avec les autres structures et services opérationnels, notamment la brigade de recherche et d’investigation de Bir Mourad Raïs et les brigades territoriales de la Gendarmerie nationale d’Alger Plage et d’Aïn Taya, trois (3) affaires ont été traitées après des investigation et l’activation des renseignements, concernant l’organisation de traversées clandestines, la plupart dans le cadre du trafic de migrants puni par le Code pénal », selon la même source.
Ces opérations se sont soldées par « le démantèlement de deux (2) réseaux criminels activant dans la wilaya d’Alger (communes d’Alger Plage et d’Aïn Taya), l’arrestation de dix (10) individus entre candidats à la migration clandestine et passeurs et la saisie de sept (7) embarcations d’une valeur totale avoisinant les 700 millions de centimes, d’une voiture de tourisme et de plus de 400 millions de centimes », a ajouté le communiqué, précisant que « les mis en cause ont été déférés devant le procureur de la République ».
La Gendarmerie nationale a, par ailleurs, assuré qu’elle « mobilise tous ses moyens humains et matériels pour lutter contre ce phénomène aux répercussions sécuritaires et socioéconomiques ».
APS
Sofiane Ayache vous devez aller scribouiller au journal le point rejoindre votre collègue critiquer et 1 chose vilipender une autre . Bien contente que votre journal soit suspend et c est 1 pur hasard que j ai lue votre article
Je n’ai pas les moyens, sinon je mettrais un bateau de luxe au large a leur service… parce qu’il faut etre realiste . . . C’est les seuls Capables et decide’s a prendre le sort de leur vie entre leurs mains.
De quelle republique de chkoopi vous nous cassez les oreilles ? Haddok les bateaux de la hookooma Khriya n’ont qu’a prendre la direction EST et ils arriveront avec leur allah, mahamette la rasoulette et je paye le billet de tabToz ChengrKhra -> Gazzzza les attend… Plein de Khosher Hella a genoux, debout et a plat-ventre…
Durant les années 60, 70, les gens ne pensaient pas à émigrer si ce n’est pour des raisons économiques et temporairement. Ceux qui émigrent pour refaire leurs vie ailleurs représenteraient une fraction de centième. Rien de spécial, c’est comme partout ailleurs dans le monde, la où les gouvernements font tout pour favoriser le bien être de leurs peuples. Il n’est pas question de contraindre les gens à rester puisque tout est fait pour les inciter (pas contraindre) à rester.
Ce qu’on observe ces derniers temps est unique. On n’est pas en guerre, les gens de toutes les conditions économiques et sociales, d’âge, de croyances fuient.
C’est effrayant