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Nabil Bousekkine, une victime de l’arbitraire

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Prévu initialement le 16 juin à la cour de Ruisseau (Alger), le procès en appel de Nabil Bousekkine est renvoyé au 6 octobre 2022. Le jeune Nabil Boussekine a fait un terrible témoignage sur les violences  qu’il a subi au commissariat, informe le CNLD.

Un certificat médical initial d’arrêt de travail de 21 jours a été établi pour ce jeune détenu d’opinion. Il a déclaré au procès qu’il a été victime de violence et de coups au commissariat.

Nabil Bousekkine a été arrêté vendredi 26 mars 2021 à la marche d’Alger. Il a été présenté deux jours devant le procureur du tribunal de Sidi M’hamed (Alger), rapporte le Comité national pour la libération des détenus (CNLD). Programmé pour le 28 avril 2021 en citation directe, son procès a été renvoyé une première fois au 26 mai 2021. Le supplice de la justice du jeune Nabil ne faisait que commencer.

Le 2 juin 2021, Nabil Bousekkine a été condamnation à 6 mois de prison ferme assorti d’une amende de 50 000 Da. Il était accusé d’incitation à attroupement non armé, rébellion, ajoute la même source.

Cependant, eu égard à ce nouveau renvoi, le jeune Bousekkine n’en a pas fini avec l’arbitraire.

A deux semaines de la célébration du 60e anniversaire de l’indépendance, plus de 260 détenus d’opinion croupissent dans les prisons. Il faut croire que cette libération du peuple algérien du joug colonial n’en est pas tout à fait une puisque depuis l’aube de la fin de la guerre d’indépendance, l’arbitraire, la brutalité et l’ordre autoritaire sont une pratique de gouvernance ordinaire des dirigeants qui se sont succédé.

L.M.

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