Dans une longue enquête publiée le 10 octobre 2025, le New York Times révèle que le président vénézuélien a secrètement proposé à l’administration Trump d’ouvrir largement les portes du secteur énergétique et minier de son pays aux États-Unis pour éviter une confrontation directe.
Selon plusieurs sources proches des négociations, Caracas offrait d’accorder aux entreprises américaines une part dominante de ses richesses pétrolières et aurifères, tout en réduisant ses liens économiques avec la Chine, la Russie et l’Iran. Cette proposition s’est accompagnée de gestes diplomatiques et économiques concrets, mais elle a été finalement rejetée par Washington, où la ligne dure prônée l’a emporté.
Cette stratégie de concessions économiques à visée politique n’est pas sans rappeler certaines orientations observées ailleurs.
En Algérie, le gouvernement d’Abdelmadjid Tebboune a ouvert le secteur minier à la participation étrangère jusqu’à 80 %, contre 20 % pour le capital national, traduisant une volonté affirmée d’attirer les grands investisseurs internationaux.
Dans le même esprit, l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Sabri Boukadoum, a déclaré devant des journalistes, au mois d’avril 2025, que « seul le ciel est notre limite », soulignant la détermination d’Alger à élargir sa coopération avec les États-Unis, notamment dans les domaines économique, énergétique et militaire.
Selon une étude du think tank émirati Interregional for Strategic Analysis, (voir Le Matin d’Algérie du 2 avril 2025), cette ouverture vise aussi à atténuer les tensions liées aux liens militaires avec Moscou et à prévenir d’éventuelles sanctions américaines.
Un virage notable pour une diplomatie algérienne traditionnellement prudente vis-à-vis de Washington, qui pose une question centrale : jusqu’où les États producteurs de ressources naturelles sont-ils prêts à aller pour préserver l’appui politique et économique des États-Unis — et à quel prix pour leur souveraineté ?
Samia Naït Iqbal
Lien vers le compte X du New York Times: https://x.com/Conflict_Radar/status/1976646316311585243
Mais de quelle souveraineté parlons-nous? Celle des armes? de l’industrie? de l’alimentation? sans parler de la vraie de vrai, celle des peuples.
Cette dernière, elle est passée en « soissa douye », mais elle ne s’est pas arrêtée et la « routourne », hélas, ne tourne plus.
C’est siderant, ce que vous ecrivez Madame !!! Votre conclusion, a chaque coup, est A COTE’ DE LA PLAQUE.
Je cite: « Un virage notable pour une diplomatie algérienne traditionnellement prudente vis-à-vis de Washington, qui pose une question centrale : jusqu’où les États producteurs de ressources naturelles sont-ils prêts à aller pour préserver l’appui politique et économique des États-Unis — et à quel prix pour leur souveraineté ? » – EFFACEZ LE MOT souveraineté des que le mot Algerie vous passe en tete, vraiment. –
Mais qui a delapide’ les ressources depuis 1965? Les Russes? Biensur que non. Ceux-la s’arrangent avec les Americains a faire peur et faire croire [CREER LA DEMANDE] et a ecouler leurs ferailles militaires. Ils ont abattus un « drone Malien » en 65 ans avec un missile d’un 1 Million de Dollars – on ne sait le prix du renseignement – alors qu’une tire-boulette aurait suffit pour endomager une helisse et faire tomber « presque intact pour analyse ».
Pas les Chinoix nonplus, ces derniers ont ete noye’s dans la pauvrete’ des decennies durant et ne viennent d’en sortir que dernierement. Les matieres qu’ils achetent d’Algerie sont paye’es avec une remise du prix en DOLLARS AMERICAINS de batiments en Bomboos… Fin de compte, les seuls qui auraient paye’ avec quelque chose de substentiel et transmis plus que de la matiere, mais du savoir-faire et de la culture digne de ce mot, se sont les FRANCAIS, meme pas la France.
Le POISON dans ce pays n’et meme pas « les Islamistes », les barbiches ne sont que des miserables corrompus, desoriente’s opportunistes – la misere abjecte oblige. Ils y auront ete’ conditionne’s par souk-al-fellah et le conditionnement a la banane – voir le chat de pavlov de si LeVert.
Tout cela dit, mon but et l’inttention de commentaire n’est PAS votre personne, mais la mise a nue de la realite’ que la bataille de la redaction(traduction mentale) et la crainte des repercutions, efface de votre recit. Ca rend obscurcit le deja flou… ca fait 63 ans de flou… ce qu’on peut a jutse titres des TENEBRES…