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Questions sur l’autogestion en Algérie et dans le monde

Débat

Questions sur l’autogestion en Algérie et dans le monde

La contribution précédente dans ce journal a suscité des commentaires très intéressants ; ils appellent des éclaircissements et approfondissements.

Le lecteur « Pas totalement d’accord ! » écrit : « je ne suis pas contre la richesse des individus, au contraire je suis en parfait accord avec le libéralisme, mais toujours avec un état fort. »

De l’État fort

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Quand et où (dans les régimes « démocratiques », marxistes ou « populaires ») un État a été ou est au service de l’ensemble des citoyen-ne-s, sans distinction de condition économique ? Quand et où un État n’a pas été l’instrument de domination d’une caste minoritaire au détriment de la majorité des citoyen-ne-s ?

Quant à l’État « fort », où l’a-t-il été et où l’est-il actuellement sinon là où la même caste minoritaire se voit menacée dans ses privilèges par la majorité des citoyen-ne-s qui ne supportent plus les injustices dont ils-elles sont victimes ?

Les « libéraux » les plus honnêtes et lucides avaient déjà déclaré, en substance : moins il y a d’État, mieux les citoyen-ne-s se portent, parce qu’ils/elles gèrent eux/elles mêmes leur vie sociale.

Enfin, qui a déclaré et continue à déclarer que l’État fort est ce qu’il y a de mieux ?… Les autoritaires de tout acabit : Mussolini, Hitler, Lénine, Staline et autres plus petits dictateurs, mais, aussi, des « libéraux » tels De Gaulle, Bush, etc. Un-e citoyen-ne qui croit à la nécessité d’un État « fort » est une personne qui, consciemment ou inconsciemment, manifeste une mentalité d’esclave, de soumis-e, admet son incapacité à s’auto-gérer de manière solidaire avec ses concitoyen-ne-s.

L’État, tel qu’il est né et tel qu’il existe jusqu’à aujourd’hui, est un cancer social produit par une minorité de puissants (rusés, égoïstes et méchants) pour exploiter et dominer la majorité. L’humanité doit trouver une autre forme de gestion de son existence, d’où doivent être bannies toutes les formes d’exploitation de l’être humain par son semblable. C’est un idéal certes difficile à concrétiser, mais pas impossible. Il faut y croire et commencer, selon ses propres possibilités, à y contribuer.

Du libéralisme

Certes, pour un Algérien, comme pour toute personne subissant un régime autoritaire, le système « libéral » est plus vivable. Dans le premier, actuellement, la liberté d’expression et d’association est nettement plus consistante que dans le second système. Cependant, n’oublions pas que dans le « libéralisme », à ses débuts, les droits des citoyen-ne-s, y compris celui de vote, furent acquis au prix de luttes citoyennes multiples, prolongées et parfois sanglantes. Maintenant que ce système, après deux siècles et demi d’existence, a consolidé sa domination, il ne craint plus la liberté d’expression et d’association… sauf s’il est sérieusement menacé d’être aboli, alors intervient la répression policière et, si elle est insuffisante, l’armée sort ses chars. Exemples : la lutte pour les droits civiques aux États-Unis, le mouvement de mai 1968 en France.

Quant à l’Algérie et autres régimes autoritaires, ils le sont parce que le « libéralisme », autrement dit le capitalisme, en est encore à ses débuts, c’est-à-dire sauvage, nécessiteux de la limitation des droits citoyens et de la répression, car ce « libéralisme » débutant n’a pas su encore se forger les médias de conditionnement idéologique de masse, comme c’est le dans le « libéralisme » développé.

À sa naissance, le « libéralisme » a usé de deux moyens idéologiques : d’une part, « Enrichissez-vous ! » et, d’autre part, l’idéologie cléricale, catholique ou protestante : « Dieu fait les riches et les pauvres, ces derniers seront les premiers au Paradis ! » Quant au « libéralisme » des actuels régimes autoritaires, la même méthode est en cours : d’une part, le même « Enrichissez-vous » (en Chine, le dirigeant Deng Xiao Ping avait lancé : « Il n’est pas honteux de s’enrichir ! », sans préciser  par quels moyens et au détriment de qui, mais on l’a constaté par la suite), et, d’autre part, l’idéologie cléricale (islamiste,  chrétienne, juive) ou « morale » (confucianisme).

À présent, posons-nous une question. Jusqu’à aujourd’hui, partout dans le monde, où donc le libéralisme a-t-il créé l’égalité effective entre les citoyen-ne-s ? Pour y répondre, voici les domaines à considérer :

– droits économiques : une minorité de riches tire son profit de l’exploitation de la force de travail de la majorité ;

– droits idéologiques : la même minorité de riches détient les médias principaux pour conditionner la majorité, d’une part, à consommer des marchandises volontairement périssables au bout de quelques années, afin d’en acheter de nouvelles, et, d’autre part, à faire voter la majorité en faveur de représentants de cette même minorité ;

– droits politiques : la même minorité finance uniquement deux habituels partis politiques à se remplacer au pouvoir de l’État, parti « démocratique » et parti « républicain » (États-Unis), parti « socialiste » ou « social-démocrate » et parti du genre « En marche ! » de Macron (Europe). Cette situation empêche tout parti défendant réellement les intérêts de la majorité de parvenir au pouvoir.

Et qui est responsable de la dangereuse pollution de la planète, de l’exploitation périlleuse de ses ressources (telle, actuellement, le gaz de schiste), de la course aux armements jusqu’à militariser l’espace et le fond des mers, des guerres dans les pays de la « périphérie » de la planète, des remises en question des acquis de la majorité, tels l’augmentation de la durée du travail avant d’avoir droit à la retraite, la réduction de la pension de retraite, la privatisation de tout ce qui est du domaine public, l’impossibilité pour les pays moins développés de fabriquer des médicaments nécessaires à la population parce que les inventeurs de brevets (plus exactement les multinationales) l’interdisent, de l’émigration clandestine, etc.… qui donc est le premier et principal responsable de toutes ces injustices, sinon le « libéralisme », cette conception de la liberté légalisant une minorité des plus riches à réduire à « vache à lait » la majorité des êtres humains ?

Alors, quoi ?… Parce qu’une conception marxiste, « socialiste » a échoué lamentablement, il faudrait ne voir que le libéralisme, parce qu’il triomphe actuellement ?!… N’est-ce pas là une mentalité d’esclave sinon de profiteur ?… Mais pourquoi ne pas se soucier de faire le réel bilan des motifs de l’échec de cette expérience ? Le bilan réel, objectif, et non pas les prétendus bilans faits par les tenants du… libéralisme. Et non plus celui des marxistes qui s’entêtent à ne pas se rendre compte des carences de la conception marxiste comme projet d’émancipation sociale.

Je fus un marxiste convaincu. Et parce que ma boussole est toujours restée l’intérêt du peuple exploité-dominé, l’expérience concrète m’a démontré que la conception à laquelle je croyais avait des carences graves ; elle a permis l’émergence de nouvelles castes exploiteuses-dominatrices, encore plus exploiteuses-dominatrices que celles du libéralisme. Il me fut très dur de m’en rendre compte, de l’admettre, mais le courage intellectuel, l’honnêteté éthique et l’amour intransigeant des peuples m’a porté à voir clair. Et cela m’a mené à… l’autogestion.

D’abord, celle algérienne : j’eus, dans ma jeunesse, le bonheur infini de l’avoir connue personnellement. Ensuite, approfondissant ma formation, j’en suis arrivé aux initiateurs historiques de cette conception. On les appelle généralement anarchistes ; je préfère les nommer  autogestionnaires. C’est que le terme « anarchiste » a été et demeure l’objet d’incompréhension sinon de calomnie par l’emploi volontaire de l’amalgame (voir le premier ministre algérien qui accuse les grévistes d’ « anarchistes »).

De l’autogestion en Kabylie et en général

La personne qui signe « sociéte’S » écrit :  «  L’auto-gestion Kabyle est en route ». Tandis que le lecteur « Pas totalement d’accord ! » nuance : «  ça reste marginal ».

Dans une Algérie si mal réduite socialement, savoir qu’environ 400 villages, en Kabylie, sont entrés en compétition solidaire pour assurer la propreté du territoire est une initiative magnifique ! Pour au moins ces motifs :

1) la capacité des citoyen-ne-s de se prendre en charge eux/elles-mêmes, sans attendre (vainement) ou dépendre (inutilement) d’un État absent, désintéressé ;

2) l’exemple donné par cette partie de la population au reste du pays, et même au-delà, dans le monde, car l’Algérie n’est pas, hélas !, le seul pays qui souffre de saleté territoriale ;

3) l’espoir que cette autogestion sociale dans le domaine de l’environnement public devienne un premier pas, un apprentissage et un encouragement afin que les citoyen-ne-s réussissent à auto-gérer également d’autres domaines de leur vie sociale, jusqu’à parvenir au domaine politique communal, puis provincial, puis régional, et, pourquoi pas, national. Évidemment, ce processus demande du temps, peut-être même des générations, mais l’essentiel est de commencer, de semer les premiers grains.

Pour le moment, concernant l’autogestion de la propreté des villages, il reste à assurer, dans cette activité, l’engagement paritaire des hommes avec les femmes, parce qu’elles sont « la moitié du ciel ». Sans elles, l’autogestion reste une affaire d’hommes, donc imparfaite parce que niant le droit des femmes à y participer à part entière.

De l’«incompatibilité» de l’autogestion

Mais, « Pas totalement d’accord ! » objecte : « Le socialisme ou l’autogestion comme vous défendez depuis quelques temps, je n’y crois pas vraiment, même si ils existent des foyers, surtout en Kabylie. Mais ça reste marginal et incompatible avec la réalité économique actuelle et mondiale. »

À cette objection, j’avais déjà répondu dans une autre contribution. Rappelons les éléments. Qu’est-ce qui détermine et justifie une « incompatibilité » ?

Durant la domination du système esclavagiste, aux personnes qui déclaraient la nécessité de la liberté de tous les êtres humains, que disaient les cerveaux les plus évolués, tels ceux de Platon et d’Aristote ?… « incompatible avec la réalité économique actuelle et mondiale ». De même, durant l’époque féodale, le même argument était évoqué. Et, pourtant, ce qui était considéré « incompatible » est devenu la norme. Certes ! Il a fallu beaucoup de temps, de larmes et de sang ! Hélas ! Mais qui étaient les personnes qui ne furent pas aveuglées par la prétendue « incompatibilité » ?… Une minorité de personnes. Et c’est grâce à elles que, finalement, les deux systèmes d’exploitation-domination qu’étaient l’esclavage et le féodalisme furent éliminés.

Mais on peut, également, évoquer la guerre de libération nationale algérienne. Se souvient-on que jusque la fin des années 1940, les représentants de l’ « élite » algérienne, laïque (Ferhat Abbas) et religieuse (Ibn Badis) considéraient l’indépendance du pays comme « incompatible avec la réalité économique actuelle et mondiale » ? Et que ce furent des jeunes, qui ne faisaient pas partie de cette « élite », qui ont refusé cette mentalité défaitiste, permettant ainsi l’émergence du mouvement qui réalisa l’indépendance ?… Certes, là encore, après tellement de larmes et de sang, hélas !

Alors, considérer la conception autogestionnaire sociale comme « incompatible avec la réalité », n’est-ce pas raisonner comme Platon, Aristote, Ferhat Abbas et Ben Badis de l’époque coloniale ?… Ne faut-il pas, en se basant sur l’expérience historique mondiale et algérienne, simplement dire : cette conception autogestionnaire a besoin de personnes éclairées qui la défendent, la mettent à l’ordre du jour, la répandent parmi le peuple, afin que celui-ci décide si elle est réellement « incompatible » ?

On pourrait objecter : comparaison n’est pas raison, que la conception autogestionnaire est dépassée, archaïque. J’ai dit et répété dans plusieurs contributions , et je persiste à le souligner : avant d’affirmer que l’autogestion est une utopie « incompatible avec la réalité », que l’on prenne la peine de connaître ce que furent les diverses expériences d’autogestion sociale !(1) Mais combien de personnes ont pris ce soin ?… Personnellement, je n’ai pas connu une seule personne, je dis bien une seule personne, qui, en niant l’importance actuelle de la remise en chantier de la conception autogestionnaire, avait lu les ouvrages consacrés aux principales expériences autogestionnaires dans le monde. Il aurait suffit de lire peu d’ouvrages que j’ai, par ailleurs, déjà mentionnés (2).

Les rares personnes qui ont employé le temps nécessaire à étudier ces expériences ont des réponses ou, du moins, des pistes de réponse aux questions fondamentales que pose « Pas totalement d’accord ! » Les voici :

« Est-ce que l’autogestion va se faire une place dans un marché, très compétitif ? Est-ce que l’autogestion prend en considération, les mutations rapides des technologies et sciences? Est-ce que l’autogestion pourra satisfaire les normes de travail, les normes environnementales, éviter le gaspillage, avoir une meilleur approche client ? »

Dans le cadre de cette contribution, je me contente d’une réponse générale. Je la trouve dans le commentaire d’un autre lecteur, qui signe « On vient juste de sortir d… » : «Une règle pourtant simple est à appliquer : il suffit de démocratiser la vie des citoyens.»

C’est-à-dire que l’on permette aux citoyen-ne-s d’exprimer leur avis mais de manière réellement démocratique, et ils/elles sauront trouver les réponses concrètes aux questions concrètes posées. Réellement démocratique signifie :

– non pas les élections à la manière « libérale » : elles sont un conditionnement des électeurs-électrices pour élire des représentants de la caste minoritaire dominante, du genre François Hollande ou Emmanuel Macron, et Barack Obama ou Donald Trump ;

– non pas les élections où la caste dominante est incapable de produire ce genre de conditionnement, et donc recourt au ridicule traficotage du processus des élections, du genre pays du « Tiers-Monde », dont l’Algérie ;

– mais des élections où existe la possibilité de débats réellement libres, à part égale de possibilité de parler aux citoyen-ne-s, d’emploi des médias existants, où la possibilité de se réunir et de discuter ne dépende pas de l’argent (« libéralisme ») ni de la répression (régimes autoritaires).

Car, d’abord et en fin de compte, qu’est-ce que l’autogestion ? C’est la possibilité des citoyen-ne-s de se réunir librement et d’exprimer leurs problèmes et solutions de manière totalement libre. Les expériences historiques en sont la preuve. Certains (membres des castes dominantes) appellent cela du « désordre », de l’ « anarchie ». Mais la manière dont fonctionne actuellement le monde, et l’Algérie en particulier, n’est-ce pas du désordre et de l’ « anarchie », ce dernier terme entendu dans son acceptation vulgaire, et non pas originel ? Qui sont donc les fauteurs de désordre dans le monde et en Algérie ?… Les grévistes ou les détenteurs du pouvoir ? Les grévistes ne font-ils pas que réagir au désordre dont ils-elles sont victimes, après avoir vainement tenté de demander aux gérants de l’État de résoudre ce désordre ?

Il est malheureux que la conception autogestionnaire ait commencé par s’appeler « anarchie ». Ce terme signifie, comme on le sait, « non ordre ». Or, l’auteur même qui a introduit  ce mot, Joseph Proudhon, avait le plus haut souci de trouver un ordre convenable à la société humaine. Il eut le tort d’appeler sa conception par une négation (« an… ») et d’employer un terme inadéquat (« ordre »). Or, on ne définit pas un idéal par une négation. Et on ne devrait pas nier un « ordre », quand on vise à proposer un authentique ordre social, celui qui met fin à toute forme d’injustice (désordre) sociale. Voilà pourquoi le terme « compatible avec la réalité actuelle », pour employer l’expression du lecteur évoqué, devrait mettre dans les archives de l’histoire le terme « anarchie » (en reconnaissant ses mérites et ses faiblesses) et donner toute son importance au terme « autogestion », terme clair, sans ambiguïté et sans partie discutable de son histoire.

Au fond, comment définir ce qu’un lecture a qualifié comme étant ma « persévérance » à évoquer l’autogestion ?… Je ne fais qu’imiter mes compatriotes de la génération précédente : ils-elles ont persévéré à mettre à l’ordre du jour l’indépendance nationale jusqu’à la voir se réaliser. Malheureusement, ils-elles n’ont pas pu la mener de manière à ce que l’autogestion qui, tout de suite après l’indépendance nationale, surgit, – à la surprise totale des « experts » -, que cette autogestion ne fut pas étouffée par le premier chef de l’État, prétendu « socialiste », puis éliminée par le second chef de l’État, prétendu « révolutionnaire », sous prétexte de gestion « socialiste » (encore !), et, enfin, depuis 1989, complètement occultée au profit de la privation rampante générale. Dans ce dernier cas, au moins, n’existe plus l’impudente imposture de parler de « socialisme ». Enfin, les dirigeants actuels parlent ouvertement de « libéralisme », bien qu’une partie parmi eux tienne, sous prétexte de défendre l’ « intérêt national », à maintenir un capitalisme d’État pour ne pas perdre ses privilèges.

Dès lors, hier, indépendance nationale, aujourd’hui, autogestion sociale, il est question – toutes proportions gardées – de la même espérance, du mêmes genre d’adversaires, de la même nécessité de lutte, de patience, de dévouement, de sacrifices (hélas !). C’est le prix à consentir  pour la dignité citoyenne. Nous espérons l’apparition des Abane Ramdane et des Larbi Ben Mhidi de l’émancipation sociale du peuple algérien. Ben Mhidi avait dit : « Jetez la révolution dans la rue, le peuple s’en emparera ». Aujourd’hui ce peuple a appris, à son détriment, que son mouvement social ne doit plus être accaparé par les profiteurs s’érigeant en nouvelle caste dominatrice se prétendant « populaire », « révolutionnaire », « socialiste » ou « libérale ». Voilà la pertinence actuelle de l’autogestion sociale. Les villages de Kabylie représentent, actuellement, une belle renaissance, du moins ils sont non pas une hirondelle, mais quatre cents villages-hirondelles qui annoncent le printemps de l’autogestion solidaire. Et l’autogestion du mouvement des grévistes de l’enseignement a pris une force sociale telle qu’il a eu la solidarité de la part d’autres secteurs de la population, ce qui a contraint la ministre de la (mal) éducation nationale à renoncer à son arbitraire et illégal licenciement des grévistes. Et on continue à penser que l’autogestion ça n’existe pas, est une lubie du passé, et on continue à éviter d’employer ce terme !… Et, pourtant, une partie du peuple, malgré le conditionnement idéologique massif (« libéral » et/ou clérical) et malgré la répression, parvient à s’auto-gérer, comme le montre les villages de Kabylie et les grèves des syndicats autonomes.

K. N.

Email : kad-n@email.com

Notes

(1) Voir

http://www.lematindz.net/news/23652-belle-comme-un-comite-dautogestion.html

http://www.lematindz.net/news/25399-la-revolution-inconnue.html

http://www.lematindz.net/news/25423-la-meconnue-plus-importante-revolution-du-xxe-siecle.html

https://lematindalgerie.compour-un-mouvement-dautogestion-sociale

http://www.lematindz.net/news/24278-ce-quon-ne-dit-pas-a-propos-du-moyen-orient-la-commune-de-rojava.html

(2) « La révolution inconnue » de Voline, « L’Espagne libertaire, 1936-1939 » de Gaston Leval, les rares témoignages sur l’autogestion yougoslave et celle algérienne.

 

Auteur
Kadour Naïmi

 




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