«L’Algérie arabo-islamique, c’est une Algérie contre elle-même, une Algérie étrangère à elle-même. C’est une Algérie imposée par les armes, parce que l’islam ne se fait pas avec des bonbons et des roses. Il s’est fait dans les larmes et le sang, il s’est fait par l’écrasement, par la violence, par le mépris, par la haine, par les pires abjections que puisse supporter un peuple. » Kateb Yacine
Comment s’attaquer à l’itinéraire d’un monument inclassable qui a fait rentrer l’Algérie dans l’ère de la littérature moderne bien avant des écrivains de renom qui ont eu le prix Nobel ou les différents prix littéraires nationaux ? Comment aborder un mythe plus qu’un homme qui a vécu et que nous avons connu et qui nous a subjugués ? Comment escalader une légende qui, pour la majorité des Algériens, avait plus l’allure d’un Annapurna que d’un être humain qui ressemblerait à tous les êtres humains. Mohamed Kacimi a eu cette idée folle d’aborder le parcours de cet écrivain irréductible, Kateb Yacine, à partir de son éveil à la conscience révolutionnaire, précisément le 8 mai 1945 à Sétif lorsqu’il était au lycée Eugène Albertini, jusqu’à sa déclaration en forme de testament quelques temps avant sa disparition alors qu’il venait à peine de fêter son soixantième anniversaire.
De son arrestation lors des manifestations monstres de Sétif en passant par la folie qui s’est emparée de sa mère alors qu’elle le croyait mort jusqu’à son exil à Paris d’abord, à Hambourg ensuite, son combat au Vietnam aux côtés du général Giap et du président Ho Chi Minh pour lequel il a écrit L’homme aux sandales de caoutchouc. Kateb Yacine a, en effet, séjourné au Vietnam pendant trois ans, de 1967 à 1970, prouvant définitivement qu’il ne concevait de combat contre le colonialisme que par le truchement d’une lutte universaliste.
Dans Sur les pas de Kateb Yacine, Mohamed Kacimi s’est jeté à corps perdu à la poursuite d’un écrivain qui a d’abord écrit Nedjma, ce sommet de la littérature jamais atteint. Il a raconté les péripéties vécues par Kateb Yacine lorsqu’il a écrit et mis en scène sa pièce phare Mohamed, prends ta valise qui lui a valu toutes les vicissitudes du monde. Et Mohamed Kacimi a eu une belle inspiration : demander à la chanteuse à la voix d’or, Souad Massi, de l’accompagner sur scène et de procéder ainsi à une sorte de division du travail : à Mohamed Kacimi la lecture du parcours de Kateb Yacine, à Souad Massi de nous donner sa vision chantée de l’environnement katébien à travers ses propres chansons. Nous avons vécu une soirée enchantée à l’Espace Magh à Bruxelles grâce à ce duo d’exception formé par Mohamed Kacimi et Souad Massi.
Kateb Yacine, ce géant qui a dépassé son siècle, a mené une lutte sans merci contre toutes les injustices : le colonialisme français, d’abord, qui a fait du peuple algérien une entité exsangue, les colonels algériens qui se sont accaparés le pouvoir par la force et qui ne l’ont jamais lâché, les islamistes qui ont voulu faire de ce pays une banlieue saoudienne… «L’armée a fait entrer les loups islamiques dans la bergerie algérienne au premier jour de l’Indépendance. »
Mohamed Kacimi termine son plaidoyer et son amour pour Kateb Yacine par le dernier appel public du grand écrivain : « Si je devais laisser un testament, c’est ma haine des religions. Ce qui a esquinté le monde, ce qui m’a esquinté à moi et ce qui vous esquinte aujourd’hui, ce sont les religions. Ces trois religions monothéistes font le malheur de l’humanité. Le malheur de l’Algérie a commencé avec la religion. Nous avons subi les Romains et les chrétiens. Aujourd’hui, nous subissons la colonisation arabo-islamique ».
Kamel Bencheikh
« Comment s’attaquer à l’itinéraire d’un monument inclassable qui a fait rentrer l’Algérie dans l’ère de la littérature moderne bien avant des écrivains de renom qui ont eu le prix Nobel ou les différents prix littéraires nationaux ? »
Rouh enta tkoumenti ya Mes3oud après ça ! C’est une menace directe a Sidi. Moua je vais changer de Pseudo pour commenter.
Ayavava, vous nous l’avez tellement mystifié que personnen’a zozé commenter.
Je ne veux pas jouer les iconoclastes ni vous frelater votre idolâtrie , mais à ce que je vois soit vous avez subjugué les lecteurs soit vous n’êtes pas arrivé à vous faire un seul bigot parmi les lecteurs du Matin-Dized.
C’est vrai que Kateb est l’un des rares écrivains à être conséquent. Son courage intellectuel est incontestable.Ce qui me fait réagir c’est cette phrase :
Moua, concernant, l’immense, l’indépassable, que dis-je : l’inégalable, Kateb , je n’ai pas la même oupignou que vous. Je le dis avec toute la modestie qui m’étouffe et sans complexe , malgré mes nombreuses lectures , je n’ai jamais réussi à atteindre le niveau requis pour lire le Grand Kateb. Et j’ajouterai qu’en dehors du milieu universitaire, chez seulement certains lecteurs férus d’exotisme, je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui m’ait parlé de Kateb. Ce qui ne le diminue en rien évidement.
Et je dirai même que ceci splike cela. Etant un écrivain à l’écriture scrogneugneusement particulière et ésotérique, il n’est pas sorti du milieu universitaire. Avouez kamim que Nedjma et Abouligoun At Wa3li c’est sacrément chié à comprendre pour le lecteur lambda.
Ontoulika moua je ne l’ai même pas compris après avoir lu ses exégètes. Kateb est pour moua un écrivain mystérieux et surtout impénétrable. Impénétrable à la lecture et à l’écriture.
Moua je me demande comment les gens lisent. Ils rentrent dans le livre?Dans le cerveau de l’auteur ? Ils compatissent ? Qu’auraient dit tous ses bigots à Kateb, si celui-ci était harki ? Za3ma j’écris Nedjma, bessah je suis pour la koulounizasyou. Là ce serait istitik . C’est un harki mais qu’est-il écrit bien a Sidi !
Haaaa :!!!! Ousk jidi que Kateb n’était pas un grand écrivain ? D’abord sipaça la kistyou !
Encore que si c’était un sujet de thèse je ne dirais pas que ce n’est pas bien retourné. Comme thèse c’est défendable . Mais comme article dans un jarnane , c’est kamim un peu risqué. Alla khati pas seulement à cause de Hend Uqaci.
Je ne dis pas que sans le pathos de koulounizi , on ne l’aurait pas tant adulé. Le texte, le contexte, le paratexte , l’intertexte oukda. C’est fouillé kamim. Ah si ! Il me semble qu’il faisait descendre les Keblout du Yémen , dans Nedjma , non ? Ipi si ma mémoire est bonne il n’y a aucune allusion à l’islamisation dans Nedjma. Je dis ça parce que je peux y aller , pour les quelques kamikazes qui l’ont lu, je ne risque pas de me faire lapider. Mais je ne le dénoncerai pas en révélant que ce n’est que plus tard qu’il s’est attaqué à nos bienfaiteurs arabes.
Je ne suis ni révolutionnaire ni même nationaliste et pourtant je me suis fait un tour de rein en essayant de le suivre dans ses contorsions nedjamatiques. Et sinon pourquoi Le Matin-Dized n’a t-il pas mis la photo d’Augustin Ibazizen pour illustrer l’article ? Nagh, alors, il n’est pas révolutionnaire son qamum à Augustin, waqila ? Nagh c’est parc’ Augustin Ibazizen il a dit que c’est pas vrai qu’on a volé le butin de guerre à Fafa, et qu’elle a fait exprès de le laisser tomber de son kamiou pendant le grand diminajma de swassatdou ?
Comment fait Kateb pour t’arabiscoter son butin de guerre pour y faire rentrer ses personnages dans leurs postures de réfractaires , si c’est captivant ? Et comment je pourrais dire le contraire , ya Boundyou avec tous ces héritiers de Tahar Ou3ettar? Moua qui ne suis pas capable d’aligner correctement trois mots dans une phrase .
Donc Kateb a replacé les keblout dans le panorama , alors que Camus les en a exclu . Même dans « la peste » où pourtant il aurait pu. Avec toutes les ratonnades, ih ! Kateb adore Faulkner, l’esclavagiste qui lui a fait de la place a ses « négrillons » dans des rôles de nègres dans ses romans. Moua je trouve qu’il y plus d’humanisme chez Camus qui a épargné à ses z’Arabes cette avanie.
Tikouni Augustin Ibazizen a Kichi ? Il a écrit : « le pont de Bereq ‘Mouch « . Ou : « le pathos de koulounizi assumé ». Un chef d’oeuvre de la littérature révolutionnaire. Et aussi « le testament d’un berbère » Lis-les tu vas voir si c’est pas du butin-de-guerrisme , c’est pas du tekfir.
Ipi d’abord , il ne s’agit pas d’écrire. Ma bartatlich la tambouille de celui qui écrit. Safi kamim plus de swassata que je lis , et on veut me faire croire que je ne sais pas lire.
Woullah ya Si ! Faut-il que le lecteur s’oublie quand il lit pour s’identifier totalement à celui qui écrit ? Iben non ! Moua je trouve que les livres ne sont achevés que quand et comme je l’ai ai lus Irouh ibezeg l’auteur qui se cache derrière sa fiction.An 3am ih, oucharifouhoum bi qiraati ! Kistikrwa ?
Sansal et KD ont tenté un semblant d’escapade, sans s’émanciper totalement de leur pathos de koulounisi, malgré qu’eux aussi sguerg3ou l’écriture à la gloire de leur piyé, de leur société, c’est quoi comme littérature ?
Pour moi, un vrai écrivain révolutionnaire c’est celui-là qui n’écrit pas. Za3ma il fait la révolution mais il n’a pas lta d’ikrir. Céline lui , ce n’est pas un révolutionnaire ni un résistant. Mais, ah putain ! Qu’est-ce que c’est un grand écrivain . Pendant que ses compatriotes sortaient de la paille les grenades, les fusils, la mitraille, pour bouter hors de France le Teuton, Céline ,lui, D’un château l’autre festoyait avec eux. Et comment on va appeler sa littérature ? La littérature réactionnaire ?
Hassoun jipalta mitna, sinon je vous aurais fait un topo sur la littérature réactionnaire. Et pourquoi un bon écrivain révolutionnaire devrait être d’abord un un écrivain réactionnaire.
Moua je me demande comment les gens lisent. Ils rentrent dans le livre?Dans le cerveau de l’auteur ? Ils compatissent ? Qu’auraient dit tous ses bigots à Kateb, si celui-ci était harki ? Za3ma j’écris Nedjma, bessah je suis pour la koulounizasyou. Là ce serait istitik . C’est un harki mais qu’est-il écrit bien a Sidi !
Haaaa :!!!! Ousk jidi que Kateb n’était pas un grand écrivain ? D’abord sipaça la kistyou !
Encore que si c’était un sujet de thèse je ne dirais pas que ce n’est pas bien retourné. Comme thèse c’est défendable . Mais comme article dans un jarnane , c’est kamim un peu risqué. Alla khati pas seulement à cause de Hend Uqaci.
Je ne dis pas que sans le pathos de koulounizi , on ne l’aurait pas tant adulé. Le texte, le contexte, le paratexte , l’intertexte oukda. C’est fouillé kamim. Ah si ! Il me semble qu’il faisait descendre les Keblout du Yémen , dans Nedjma , non ? Ipi si ma mémoire est bonne il n’y a aucune allusion à l’islamisation dans Nedjma. Je dis ça parce que je peux y aller , pour les quelques kamikazes qui l’ont lu, je ne risque pas de me faire lapider. Mais je ne le dénoncerai pas en révélant que ce n’est que plus tard qu’il s’est attaqué à nos bienfaiteurs arabes.
Je ne suis ni révolutionnaire ni même nationaliste et pourtant je me suis fait un tour de rein en essayant de le suivre dans ses contorsions nedjamatiques. Et sinon pourquoi Le Matin-Dized n’a t-il pas mis la photo d’Augustin Ibazizen pour illustrer l’article ? Nagh, alors, il n’est pas révolutionnaire son qamum à Augustin, waqila ? Nagh c’est parc’ Augustin Ibazizen il a dit que c’est pas vrai qu’on a volé le butin de guerre à Fafa, et qu’elle a fait exprès de le laisser tomber de son kamiou pendant le grand diminajma de swassatdou ?
Comment fait Kateb pour t’arabiscoter son butin de guerre pour y faire rentrer ses personnages dans leurs postures de réfractaires , si c’est captivant ? Et comment je pourrais dire le contraire , ya Boundyou avec tous ces héritiers de Tahar Ou3ettar? Moua qui ne suis pas capable d’aligner correctement trois mots dans une phrase .
Donc Kateb a replacé les keblout dans le panorama , alors que Camus les en a exclu . Même dans « la peste » où pourtant il aurait pu. Avec toutes les ratonnades, ih ! Kateb adore Faulkner, l’esclavagiste qui lui a fait de la place a ses « négrillons » dans des rôles de nègres dans ses romans. Moua je trouve qu’il y plus d’humanisme chez Camus qui a épargné à ses z’Arabes cette avanie.
Tikouni Augustin Ibazizen a Kichi ? Il a écrit : « le pont de Bereq ‘Mouch « . Ou : « le pathos de koulounizi assumé ». Un chef d’oeuvre de la littérature révolutionnaire. Et aussi « le testament d’un berbère » Lis-les tu vas voir si c’est pas du butin-de-guerrisme , c’est pas du tekfir.
Ipi d’abord , il ne s’agit pas d’écrire. Ma bartatlich la tambouille de celui qui écrit. Safi kamim plus de swassata que je lis , et on veut me faire croire que je ne sais pas lire.
Woullah ya Si ! Faut-il que le lecteur s’oublie quand il lit pour s’identifier totalement à celui qui écrit ? Iben non ! Moua je trouve que les livres ne sont achevés que quand et comme je l’ai ai lus Irouh ibezeg l’auteur qui se cache derrière sa fiction.An 3am ih, oucharifouhoum bi qiraati ! Kistikrwa ?
Sansal et KD ont tenté un semblant d’escapade, sans s’émanciper totalement de leur pathos de koulounisi, malgré qu’eux aussi sguerg3ou l’écriture à la gloire de leur piyé, de leur société, c’est quoi comme littérature ?
Pour moi, un vrai écrivain révolutionnaire c’est celui-là qui n’écrit pas. Za3ma il fait la révolution mais il n’a pas lta d’ikrir. Céline lui , ce n’est pas un révolutionnaire ni un résistant. Mais, ah putain ! Qu’est-ce que c’est un grand écrivain . Pendant que ses compatriotes sortaient de la paille les grenades, les fusils, la mitraille, pour bouter hors de France le Teuton, Céline ,lui, D’un château l’autre festoyait avec eux. Et comment on va appeler sa littérature ? La littérature réactionnaire ?
Hassoun jipalta mitna, sinon je vous aurais fait un topo sur la littérature réactionnaire. Et pourquoi un bon écrivain révolutionnaire devrait être d’abord un un écrivain réactionnaire.
C’est pour te dire que @Hend Uqaci @Hmimich Ivarwaken sont sans doute la même personne.Sa particularité c’est de se moquer des pauvres analphabètes qui déforment la langue française.Il se permet même de critiquer l’auteur de Nedjma l’immense Kateb Yacine mort à l’hôpital de la Tronche à Grenoble en France.Lui au moins est resté fidèle à ses principes,à ses origines et n’est jamais soumis au chant des sirènes de l’arabo-islamisme totalitaire et négateur de la liberté de l’homme malgré les menaces et tout le reste…
Personnellement je reconnais à tout un chacun la liberté de croire ou ne pas croire en une religion! On est pas obligé de partager les assertions de Kateb Yacine, pour beaucoup de gens la religion est un élément structurant de leur vie! la haine est destructrice elle met en évidence chez celui qui l’éprouve un problème psychologique avec l’objet de cette haine! toute les conquêtes militaires se font par la violence depuis la nuit des temps! et non le malheur de l’Algérie n’a pas commencé avec la religion, la réflexion métaphysique a de toute éternité animé l’être humain! tout dépend comment on pratique sa religion! mille pèlerinages à la Mecque ne valent pas le cœur d’un être humain! dit un dicton Alévi! le père de Kateb lui demande de n’écrire qu’en français ! que c’est dommage! le monolinguisme est une infirmité guérissable ! personnellement je n’ai pas de problème d’identité! je suis musulman et arabe et je parle six langues! quel bonheur! hamdullilah!!!
dans le texte Kacimi prend bien soin de ne pas citer nommément le judaïsme, or c’est là que ça pose problème! je vous invite à lire dans le Talmud (la loi juive) les articles relatifs à la façon dont doivent se comporter les juifs avec les non-juifs ( les Goyims) c’est hallucinant! c’est inacceptable tout comme la lapidation et les amputations dans l’Islam!
moi la religion musulmane ne m’a pas « esquinté » au contraire elle m’a bonifié! elle a donné un sens à ma vie et elle m’a permis de supporter moult épreuves! Parlez pour vous mr Kateb ne prenez pas votre cas pour une généralité!
S’il était encore vivant j’aurais conseillé à Kateb Yacine d’aller consulter un psychiatre, parce que la haine de soi est une maladie mentale, une forme de schizophrénie dont le processus de guérison peut être très long ! quant au communisme on sait où cette idéologie délirante à mener les pays qu’elle a dévorés, la privation de liberté pour le peuple qu’elle prétendait défendre, les meurtres de masse, les goulags où ont croupi des dizaines de millions de personnes des décennies durant! La postérité n’apprécie jamais justement les héros! en aucun je ne peux m’identifier à Kateb Yacine et Kacimi parle de Kateb Yacine d’un Annapurna comme en Roumanie on parlait de Ceausescu du »Danube de la Pensée » ou de « Génie des Carpates »! il se fait le thuriféraire d’un écrivain que presque personne ne lit! un écrivain ne peut prétendre représenter un pays s’il n’écrit pas dans une des langues vernaculaires de sa patrie, et surtout il doit aimer tous ses compatriotes et non cirer les pompes de l’ancien colonisateur!
à quoi ça sert de lancer des diatribes venimeuses de cette nature? au lieu d’insulter le peuple algérien et son histoire, les intellectuels arabes seraient mieux inspirés de défendre des causes nobles! on ne les a pas entendu lorsque plusieurs centaines de milliers de civils irakiens étaient assassinés par la soldatesque US, la famine provoquée par MBS et ses complices au Yémen, lorsque le peuple de Gaza emprisonné est régulièrement massacré par les sionistes, le racisme décomplexé dans les pays occidentaux, défendre les libertés dans le monde arabe etc… leur silence dans les grands problemes que traverse le monde arabe est un aveu de veulerie et lâcheté!
Allah hibou al mohsinin!
Pour moi cette religion est d’abord une calamité pour les musulmans qu’elle réduit à l’état de robots qui doivent exécuter sans réfléchir des commandements débiles.D’où ces aberrations en plein 21° siècle où le croyant mohamétan croit au djihad(terrorisme),au ramadhan,au sacrifice du mouton entre autres pour « plaire à dieu » et aller au paradis tandis que l’enfer est réservé à ceux qui ne se soumettent pas à cette religion.Le résultat,on le voit:nous sommes les plus arriérés de la planète bleue.Les autres religions monothéistes se sont beaucoup adaptées à leur temps mais la notre est restée figée au 7°siècle n’admettant aucune amélioration pour ses adeptes,d’où ce que nous subissons.
il faut se garder de ces jugements lapidaires, le sujet est complexe! mais effectivement il faut une réforme de l’Islam, pour ce faire il est nécessaire de faire preuve d’ouverture d’esprit! il faut un environnement politique et culturel favorable ce qui n’est pas le cas dans la plupart des pays arabes! un bel exemple de réformateur est celui de Zakia Adnani! (et d’autres d’ailleurs)!
Rien n’est pas su complexe que ça,il faut appeler un chat,un chat et dire la vérité même si elle est amère.Les apprentis sorciers de l’arabo-islamisme se cachent derrière les mots et derrière Dieu pour faire passer la pilule de leur criminelle idéologie.Ils se disent anti-sionistes mais le sionisme qui est d’ailleurs leur frère jumeau colonise,tue mais ne se cache pas derrière Dieu.
les sionistes invoque Dieu pour coloniser la terre de Palestine car selon eux c’est Dieu qui leur a promis cette terre, donc oui ils se cachent derrière Dieu pour justifier leurs comportements criminels contre les palestiniens!
Indéniablement Kateb Yacine est un monument algérien et universel. Son oeuvre-phare reste Nedjma mais son théâtre compte aussi pour beaucoup dans son parcours d’auteur qui,mieux que quiconque, a inscrit l’histoire de l’Algérie dans toute sa complexité et sa richesse ,tant culturelles qu’historique et religieuse.N’oublions pas que Kateb a beaucoup fait pour la reconnaissance de la langue berbère qui n’a été reconnue comme deuxième langue officielle qu’en 2002 !
Personnellement je suis très heureux ,voire,fier d’avoir écrit un essai , »La dimension poétique dans le théâtre de Kateb Yacine : du délire au mythe » ,essai qui a été à acheté par une vingtaine d’universités américaines.
Pied-noir oranais, en France depuis 1962, je n’oublie pas d’où je viens .Mon pays natal me manque toujours autant et j’éprouve beaucoup de peine de voir dans quel état se trouve le peuple algérien, 60 ans après cette indépendance qui lui a été confisquée, volée par une bande de mafieux.
pourquoi n’a-t-il pas écrit en berbère alors! quant à la bande de mafieux c’est surtout en France et en Suisse qu’ils blanchissent l’argent volé au peuple algérien mais là c’est le silence complet des autorités receleuses d’argent sale, de la presse et des associations anticorruption!
n’oubliez pas aussi les incommensurables souffrances que vos aïeux ont infligées pendant 130 ans à ceux qu’ils appelaient avec beaucoup de mépris » les indigènes », à l’indépendance de l’Algérie 90% des algériens de souches étaient analphabètes toutefois le peuple algérien n’est pas rancunier, il est même très généreux vous pouvez retourner vivre dans votre pays natal si vous le souhaitez et vous y serez très bien accueilli! quand bien même il fût un grand écrivain Kateb Yacine peut dire des bêtises, les conquérants arabes de l’Algérie n’ont pas commis les atrocités de Bugeaud, de Pélissier, Saint Arnaud etc.…
Lol, du n’importe quoi!
Les impasses du débat sur la torture en Algérie
Quand Tocqueville légitimait les boucheries
par Olivier Le Cour Grandmaison
Le Monde diplomatiqueQuand Tocqueville légitimait les boucheries↑
La guerre d’Algérie a une longue histoire. Elle commence le 31 janvier 1830 lorsque Charles X décide de s’emparer d’Alger. Officiellement, il s’agit de venger une offense faite au consul de France par le dey Hussein et de détruire la piraterie qui sévit dans la région. Officieusement, l’objectif est de restaurer le prestige de la royauté et de prendre pied en Afrique du Nord pour éviter de laisser le champ libre à l’Angleterre. La monarchie de Juillet hérite du fardeau.
L’« aventure » coûte cher, elle mobilise des effectifs militaires importants et elle rapporte peu. Des voix nombreuses s’élèvent à l’Assemblée pour exiger le retrait des troupes françaises, d’autres pour leur maintien et une occupation limitée, d’autres enfin préconisent la domination, la guerre à outrance indispensable pour détruire la puissance d’Abd el-Kader et ruiner les tribus qui le soutiennent. A la fin de l’année 1840, les partisans de cette politique l’emportent.
Le 29 décembre, le général Thomas Bugeaud, qui vient d’être nommé gouverneur de cette colonie, arrive en Algérie. La véritable conquête débute avec massacres, déportations massives des populations, rapt des femmes et des enfants utilisés comme otages, vol des récoltes et du bétail, destruction des vergers, etc. Louis-Philippe d’abord, Louis-Bonaparte ensuite récompenseront les officiers par de prestigieuses promotions. Les monceaux de cadavres kabyles et algériens (1) permettent aux généraux de l’armée d’Afrique de faire de brillantes carrières.
« J’ai souvent entendu en France des hommes que je respecte, mais que je n’approuve pas, trouver mauvais qu’on brûlât les moissons, qu’on vidât les silos et enfin qu’on s’emparât des hommes sans armes, des femmes et des enfants. Ce sont là, suivant moi, des nécessités fâcheuses, mais auxquelles tout peuple qui voudra faire la guerre aux Arabes sera obligé de se soumettre », écrit Alexis de Tocqueville avant d’ajouter : « Je crois que le droit de la guerre nous autorise à ravager le pays et que nous devons le faire soit en détruisant les moissons à l’époque de la récolte, soit dans tous les temps en faisant de ces incursions rapides qu’on nomme razzias et qui ont pour objet de s’emparer des hommes ou des troupeaux (2). »
Ainsi s’exprime celui qui a écrit de la démocratie en Amérique lorsqu’il rédige, en octobre 1841, après avoir séjourné dans le pays, son Travail sur l’Algérie. La colonisation en général et celle de l’Algérie en particulier lui tiennent à cœur. Deux lettres, plusieurs discours sur les affaires extérieures de la France, deux voyages, deux rapports officiels présentés, en mars 1847, à la Chambre des députés, à quoi s’ajoutent de nombreuses observations et analyses disséminées dans sa volumineuse correspondance. Tocqueville théorise l’expansion française en Afrique du Nord.
Fidèle à sa méthode, il rassemble une documentation importante, car il projette de rédiger un ouvrage sur l’Inde et la colonisation anglaise pour la comparer à celle menée par les Français dans la Régence d’Alger comme on disait alors. Enfin, il étudie le Coran et, au terme de ses lectures, conclut que la religion de Mahomet est « la principale cause de la décadence (…) du monde musulman ». Il faut donc tenir Tocqueville pour une figure importante de la colonisation moderne à laquelle il a consacré beaucoup de temps et d’énergie entre 1837 et 1847.
Qu’en disent les spécialistes français ? Peu de choses. Soit ils feignent d’ignorer ce corpus fort riche, soit ils euphémisent les positions de leur idole afin de ne pas nuire à son image de libéral et de démocrate (3). Il est vrai que la fréquentation assidue de De la démocratie en Amérique et de L’Ancien Régime et la Révolution est plus propice aux canonisations académiques que l’examen précis des textes qui portent sur l’Algérie. Ces textes, pourtant tous publiés, ne hantent pas les membres de l’honorable république des lettres qui explorent la pensée de Tocqueville, et s’émerveillent de la subtilité de ses analyses. On y apprend pourtant beaucoup sur certaines de ses conceptions et, plus largement, sur les premières années de la conquête, sur les origines et l’organisation de l’Etat colonial. On y découvre le Tocqueville apôtre de la « domination totale » en Algérie et du « ravage du pays (4) ».
L’importance qu’accorde Tocqueville à la conquête de ce pays s’appuie sur des analyses de la conjoncture internationale et de la place de la France dans le monde, d’une part, et sur l’évolution des mœurs nationales, d’autre part. L’écrivain n’a que mépris pour la monarchie de Juillet qu’on découvre, sous sa plume, médiocre et pusillanime. Néfaste pour les affaires intérieures du pays, ce régime l’est plus encore pour les affaires extérieures en une période où la crise de l’Empire ottoman, en Afrique et au Proche-Orient notamment, bouleverse la situation dans les régions concernées et crée des occasions nouvelles pour les puissances européennes. Encore faut-il, pour s’en saisir, faire preuve d’audace et ne pas craindre l’Angleterre.
Mettre un terme au déclin de la France, restaurer son prestige et sa puissance, telle est l’obsession de Tocqueville qui est convaincu que, en l’absence d’une vigoureuse politique de conquêtes, le pays sera bientôt relégué au second rang et la monarchie menacée dans son existence même. Dans ce contexte, se retirer d’Algérie serait irresponsable. Il faut y demeurer, et le gouvernement doit encourager les Français à s’y installer pour dominer le pays et contrôler aussi la Méditerranée centrale, grâce à la construction de deux grands ports militaires et commerciaux : l’un à Alger, l’autre à Mers El-Kébir.
La réalisation de ces desseins est propre à restaurer l’orgueil national qui est attaqué par « l’amollissement graduel des mœurs » d’une classe moyenne dont le goût des « jouissances matérielles » se répand dans l’ensemble du corps social en lui donnant « l’exemple de la faiblesse et de l’égoïsme (5) ». La guerre et la colonisation se présentent donc comme des remèdes aux maux sociaux et politiques qui affectent la France. C’est pourquoi Tocqueville se prononce pour des mesures radicales qui doivent permettre de s’emparer sans coup férir de l’Algérie et de rompre avec dix ans d’atermoiements.
« La guerre d’Afrique est une science »
Dominer pour coloniser et coloniser pour assurer la pérennité de la domination, telles sont les orientations qu’il n’a cessé de défendre. Quant aux moyens, il sont dictés par les fins… Abd el-Kader se déplace constamment dans le pays en s’appuyant sur de nombreuses tribus qui lui procurent des hommes, des armes et de la nourriture ; il faut traquer le premier sans relâche et, surtout, anéantir les structures économiques et sociales des secondes afin d’atteindre les fondements de la puissance de ce chef et de ruiner son prestige.
Après s’être prononcé en faveur de l’interdiction du commerce pour les populations locales, Tocqueville ajoute : « Les grandes expéditions me paraissent de loin en loin nécessaires : 1° Pour continuer à montrer aux Arabes et à nos soldats qu’il n’y a pas dans le pays d’obstacles qui puissent nous arrêter ; 2° Pour détruire tout ce qui ressemble à une agrégation permanente de popu lation, ou en d’autres termes à une ville. Je crois de la plus haute importance de ne laisser subsister ou s’élever aucune ville dans les domaines d’Abd el-Kader (6). »
L’auteur de De la démocratie en Amérique approuve sans réserve et défend, publiquement et à plusieurs reprises, les méthodes de Bugeaud. Elles consistent à mettre le pays à sac, à s’emparer de tout ce qui peut être utile pour l’entretien de l’armée en « faisant vivre ainsi la guerre par la guerre », comme l’affirme le général Lamoricière, et à repousser toujours plus loin les autochtones de façon à s’assurer de la maîtrise complète des territoires conquis. Ces objectifs une fois atteints par l’emploi d’une terreur de masse autoriseront l’implantation et le développement de nombreuses colonies de peuplement, qui rendront impossible le retour des anciennes tribus.
Tocqueville ne compte pas uniquement sur la puissance du sabre, il entend couvrir ces usurpations et les étendre par le recours à la force du droit. Il prévoit la mise en place de tribunaux d’exception qui, au moyen d’une procédure qu’il qualifie lui-même de « sommaire », procéderont à des expropriations massives au profit des Français et des Européens. Ainsi pourront-ils acquérir des terres à bas prix et faire vivre des villages que l’administration coloniale aura pourvus de fortifications, d’une école, d’une église et même d’une fontaine, précise le député de Valognes, soucieux du bien-être matériel et moral des colons. Regroupés en milices armées dirigées par un officier, ils assureront la défense et la sécurité de leurs personnes et de leurs biens cependant que le réseau formé par ces villages permettra de tenir efficacement les régions conquises. Quant aux populations locales, repoussées par les armes puis dépouillées de leurs terres par les juges, elles décroîtront sans cesse, affirme Tocqueville.
Tel qu’il le conçoit, tel qu’il s’est structuré aussi, l’Etat colonial se présente d’emblée comme un double Etat d’exception par rapport au régime qui prévaut dans la métropole : il repose sur deux systèmes politico-juridiques de nature différente qui s’organisent, en dernière analyse, sur des fondements raciaux, culturels et cultuels. Celui qui est applicable aux colons leur permet de jouir seuls de la propriété et de la possibilité d’aller et venir mais d’aucune des libertés politiques, car toutes doivent être suspendues en Algérie, selon Tocqueville. « Il doit donc y avoir deux législations très distinctes en Afrique parce qu’il s’y trouve deux sociétés très séparées. Rien n’empêche absolument, quand il s’agit des Européens, de les traiter comme s’ils étaient seuls, les règles qu’on fait pour eux ne devant jamais s’appliquer qu’à eux (7). »
C’est clair, précis et concis. Les hommes venus de cette Europe glorieuse et éclairée ont droit aux droits ; quant aux autres, aux « barbares », ils ne sauraient goûter aux plaisirs de l’égalité, de la liberté et de l’universalité de la Loi. Ni aujourd’hui ni demain puisque Tocqueville ne fixe aucun terme à cette situation. Aussi n’est-il pas surprenant que le second système, celui qui est applicable aux Kabyles et aux Arabes, ressortisse à un état de guerre permanent destiné à les maintenir sous le joug brutal des colons et d’une administration dotée de pouvoirs exorbitants.
En 1847, après plusieurs années de conflits impitoyables, Tocqueville écrit avec emphase : « L’expérience ne nous a pas seulement montré où était le théâtre naturel de la guerre ; elle nous a appris à la faire. Elle nous a découvert le fort et le faible de nos adversaires. Elle nous a fait connaître les moyens de les vaincre et (…) d’en rester les maîtres. Aujourd’hui on peut dire que la guerre d’Afrique est une science dont tout le monde connaît les lois, et dont chacun peut faire l’application presque à coup sûr. Un des plus grands services que M. le maréchal Bugeaud ait rendus à son pays, c’est d’avoir étendu, perfectionné et rendu sensible à tous cette science nouvelle (8). » Les crimes de l’armée et de l’Etat français en Algérie, les discriminations érigées en principe et inscrites dans le droit : des exceptions ? Une longue histoire.
Olivier Le Cour Grandmaison
Auteur de Coloniser. Exterminer. Sur la guerre et l’Etat colonial, Fayard, Paris, 2005.
cette façon de faire la guerre s’appelle un génocide!
tu as manqué une occasion de te taire! tu oses dire lol! après les crimes monstrueux perpétrer par les colonisateurs de l’Algérie de 1830 à 1850! où la moitié du peuple algérien a été exterminé ! as-tu jamais entendu parlé des « Enfumades de Bugeaud » connais tu seulement l’Histoire de l »Algérie!
En 1400 années d’occupation, les arabe-musulmans ont tout détruit en Algérie jusqu’à en faire une nation bâtarde. La preuve !
tes propos rageurs et délirants sont symptomatiques d’une souffrance psychique! tu devrais suivre une thérapie! va consulter un psychiatre ça te fera le plus grand bien!
Akli : Faute d’argument vous essayez de dénigrer un participant au débat qui énonce un fait historique facilement vérifiable, ne pas l’admettre serait du déni. Et du coup, votre commentaire pourrait très bien s’appliquer à vous.
Je ne dénigre personne! je constate des propos bêtes et méchants! traiter la population de son pays de bâtard est une infâmie! mes arguments tu peux les lire dans les écrits de Tocqueville qui incite les militaires français à exterminer les algériens Kabyles et Arabes pour y implanter des colons! vous êtes des ignorants! vous ne connaissez rien à l’Histoire de l’Algérie et vous vous permettez de parler ! tu peux lire aussi les récits des militaires français Bugeaud, Cavaignac, Pélissier, Saint Arnaud ect … sais tu ce que sont les Enfumades de Bugeaud! vous me donnez la nausée!
visiblement c’est surtout la haine anti-arabe forcenée qui vous anime! vous avez bien l’esprit dérangé!
quand on est en manque d’arguments on utilise l’insulte! c’est ce que fait ce prétendu katébien! il ferait mieux de la fermer!
Tu peux dire BARBARE.
Je dis ça, je ne dis rien.
https://www.rfi.fr/fr/emission/20180127-jours-tranquilles-jerusalem-mohamed-kacimi-theatre
https://www.tribunejuive.info/2022/10/30/kamel-bencheikh-pour-se-souvenir-a-jamais-de-kateb-yacine/