Par décret présidentiel publié dans le dernier Journal officiel, le président de la République et ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune, a fixé les attributions de son ministre délégué, Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’armée.
En effet, l’article 1 du décret n°24-389, publié en date du 12 décembre, délimite et précise les pouvoirs du chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, en tant que ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale,
Le deuxième article du décret stipule que « le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’armée, assiste le ministre de la Défense. Il exerce par délégation, et sous la supervision et le contrôle l’autorité du ministre de la Défense, les pouvoirs qui lui sont attribués et de lui présenter les résultats de ses activités ».
Il est également autorisé, en vertu de ce décret, à signer tous documents et décisions, ajoute le décret.
« Le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale assume les pouvoirs résultant de la délégation de signature et qui sont précisés dans des textes spécifiques en la matière », est-il stipule, en substance, dans l’article 3 du même décret présidentiel.
Précisant, à ce titre, que : « Le ministre délégué auprès du ministre de la Défense recueille et traite toute correspondance adressée au ministre de la Défense nationale, qui concerne les questions réglementaires et administratives. Il communique, au moyen de son sceau, les réponses qui lui sont adressées. Le ministre de la Défense nationale leur confie et supervise (à l’égard du ministère de la Défense) les études intéressant l’activité gouvernementale et garantit la représentation du ministère de la Défense. »
En plus d' »assurer les relations du ministère de la Défense avec les institutions de l’État et avec tout autre organisme national extérieur à l’armée, le ministre délégué à la défense collecte et traite, pour le compte du ministre de la Défense, les questions économiques et financières, ainsi que les questions liées au budget, et coordonne. les travaux d’élaboration du plan de développement du ministère de la Défense nationale et de son budget, dont il est le principal responsable des décaissements.
Chanegriha assure également, pour le compte du ministre de la Défense, le Comité sectoriel des achats, ainsi que la présidence du Conseil national de la sécurité des systèmes d’information. En plus d’organiser et de gérer les réserves ministérielles.
Le ministre délégué supervise également « l’identification des axes de recherche scientifique et technique dans le domaine de la technologie, de l’industrie militaire et de l’armement, les active et veille à leur mise en œuvre, après accord du ministre de la Défense ».
Il peut également « suivre et coordonner les accords, traités et conventions multilatéraux internationaux sur les armes nucléaires, biologiques et chimiques, les armes conventionnelles, les mines, l’espace, les télécommunications, les systèmes embarqués d’aéronefs sans pilote et les équipements sensibles ainsi que leurs études ».
Abdelmadjid Tebboune a également confié à son ministre délégué les missions de « définir les axes de coopération militaire et de politique des relations extérieures, de les activer et de veiller à leur mise en œuvre, après approbation du ministre de la Défense ». Il prépare et met également en œuvre, sur la base de ses directives : « La politique générale des ressources humaines et supervise l’élaboration de la politique de gestion et de promotion du personnel ; et recueille et traite les propositions de plans de mutation et de mouvement des salariés cadres et cadres assimilés ».
À l’article 4 du décret, il est précisé que « le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, est responsable du bon fonctionnement des structures du ministère de la Défense ».
Pour exercer ces attributions, il est précisé dans le décret que « le ministre délégué est assisté du secrétariat général du ministère de la Défense nationale et d’un bureau qui lui est rattaché ».
L’article six précise également « l’organisation du Secrétariat général du ministère de la Défense et du Bureau prévu à l’article cinq ainsi que leurs missions conformément à une décision du ministre de la Défense nationale ».
Voilà donc les limites dans lesquelles le chef d’état-major pourra louvoyer et manoeuvrer. Le cadre fixé, on verra si l’entente va bien durer !
Yacine K.
En gros tebtoub devient vice président !
Le karnaval fi dechra continu de plus belle.
La gabegie, l’incompétence, le déni de démocratie,et la déchéance de cette junte pourrie jusqu’à la moelle des os continue. Ne reste pour le Ghachi que de faire une manifestation de soutien pour toutes ces avancées.
Le Cancer s’est métastasé, et la junte utilise ces dernières cartouches, mais ils créveront tous pas de belles morts, loin de là, mais comme tout les autres apprentis dictateurs.
Ils ne seront nulle part tranquille en occident si l’idée de fuir leurs vient.
Et vous remarquerez qu’il n’y a aucune comptabilite’ envers celles charge’es de rouler le couscous, c.a.d. APN. C.a.d. la Protection des Militaires des malversations des « services » et du dit ministre de la defense, c.a.d. al-barzidanoo. Dun cote’ c’est une necessite’ pour les Militaires de mener leurs affaires avec la rigueur qui leur propre et surtout d’enguager une dynamique de competition dans le developement de leurs capacite’s, comme par example a contracter de la recherche et developement avec des entreprises Algeriennes deguage’es du khorti civil. Mais comme ca, les choses sont claires, les accusations de faiseurs de Rois, tromper le doigt dans les elections etc. Cela epargnera peut-etre les militaires de la responsabilite’ des malversations des civils.
La question alors est: Qui va surveiller les barbouses civiles et leur pietinnement des civiles. Une commission Parlementaire a la Prorogative de mener des Consultations Secretes directement avec un Conseil Militaire, regroupant les chefs des differentes Arme’es(Terre, Air, Mer et « paradis » en attendant l’espace) est necessaire, afin d’assurer les moyens d’action du Parlement contre un Barzidan qui abuse de ses fonctions, moyennant les forces de securite’ civiles dont il dispose, c.a.d. la Constitution.
Enfin, je suppose qu’ils ont fini par comprendre que les khawteks et leur vice a siphoner la rente, ne les equipe pas contre une defaite assure’e et mort certaine en cas de conflit arme’ aux frontieres. Il y a, a supposer aussi, que la khrabisation ne menera l’armee et ses moyens NULLE-PART sonon la DEFAITE.
FInalement, je suppose que ce divorce, n’est point a attribuer a tabtoz, mais a Chengriha, qui doit s’etre pose’ la question: Pourquoi les Algeriens competants dans les Disciplines utiles et surtout NECESSAIRES, ne rentrent meme plus en vacance ?
Et ce dernier point, il ne s’agit pas que de Kabyles, mais de tous les autres groupes et Ethnies. A titre d’example, les BOURSIERS privilegie’s de Boukharouba !