Si on souhaite véritablement intégrer l’idéal de l’Algérie Nouvelle, ou « El Djazair El Djadida », dans le discours architectural et urbain, il est impératif de le traduire à travers des projets audacieusement innovants et résolument futuristes.
Cela implique de transcender les méthodes traditionnelles et les pratiques archaïques qui ont, jusqu’à présent, sclérosé l’urbanisme et l’architecture en Algérie. « El Djazair El Djadida » ne doit pas se limiter à une formule rhétorique mais doit se manifester concrètement dans une nouvelle vision formelle et pratique, notamment dans les domaines que je maîtrise le mieux : l’architecture et la qualité urbaine des réalisations.
Le défi est de briser l’uniformité urbaine dominée par des tours impersonnelles et de repenser nos méthodes de conception et de construction. L’Algérie Nouvelle appelle à une rupture avec les schémas conventionnels, invitant les architectes et les urbanistes à explorer des solutions qui non seulement répondent aux exigences fonctionnelles et environnementales de notre époque mais qui célèbrent également l’identité culturelle unique de l’Algérie.
Dans cette perspective, l’architecture et l’urbanisme doivent se réinventer pour devenir des vecteurs de développement durable, d’innovation et d’inclusion sociale. Il s’agit d’adopter des approches holistiques qui intègrent les dernières avancées technologiques, les principes de l’éco-conception et une réflexion approfondie sur l’usage de l’espace urbain pour promouvoir le bien-être des habitants. Les nouveaux projets doivent aspirer à plus qu’une simple fonctionnalité ; ils doivent enrichir le tissu urbain, encourager la mixité sociale et offrir des espaces publics qui stimulent l’interaction et la cohésion communautaire.
En outre, l’Algérie Nouvelle doit favoriser une architecture qui respecte et valorise le patrimoine tout en se projetant audacieusement dans l’avenir. Cela implique de s’éloigner des réplications stériles du passé pour embrasser une créativité qui puise dans la richesse de l’histoire algérienne tout en étant résolument tournée vers l’innovation. Les nouvelles réalisations devraient être des emblèmes de modernité, reflétant une nation qui regarde vers l’avenir avec confiance tout en restant ancrée dans son riche héritage culturel.
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En somme, l’Algérie Nouvelle exige une transformation profonde de notre manière de concevoir nos villes et nos bâtiments. Cela nécessite une collaboration étroite entre tous les acteurs du secteur – gouvernements, architectes, urbanistes, citoyens – pour co-créer des espaces urbains qui célèbrent la diversité, encouragent le développement durable et reflètent les aspirations d’une société dynamique et progressiste. La vision de « El Djazair El Djadida » doit se traduire par des actions concrètes qui marquent une évolution significative vers une qualité architecturale et urbaine supérieure, signe d’une Algérie renouvelée et résolument tournée vers l’avenir.
Dans le cadre de la vision ambitieuse d' »El Djazair El Djadida », le projet que j’ai imaginé et mis en œuvre, centré autour du « Dôme de la Méditerranée » et dénommé le quartier « Oasis de lumières » à Alger, se veut être une incarnation éloquente de l’aspiration à une architecture audacieuse qui fusionne harmonieusement durabilité et innovation. Ce développement urbain, avec ses tours revêtues d’un matériau révolutionnaire évoquant l’aspect d’une éponge blanche dotée d’ouvertures délicates, représente une avancée majeure dans l’optimisation de l’efficacité énergétique, tout en offrant une silhouette résolument moderne à l’horizon algérois.
Loin de se contenter de rompre avec les pratiques obsolètes, cette initiative vise à revitaliser la biodiversité urbaine, grâce à l’intégration stratégique de jardins verticaux et de toitures végétalisées, transformant ainsi les façades en véritables havres de verdure.
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La conception de la « façade éponge » est une véritable prouesse technique, associant des composites légers pour une plus grande flexibilité de design et du béton cellulaire pour maximiser l’isolation. Les matériaux à changement de phase, au cœur de cette innovation, jouent un rôle crucial dans la régulation thermique de l’édifice, démontrant l’extraordinaire potentiel de l’alliance entre technologie de pointe et architecture pour relever les défis environnementaux contemporains.
Le processus de création, depuis la conception assistée par ordinateur jusqu’à l’utilisation de techniques de fabrication avancées telles que l’impression 3D et le moulage, souligne l’importance capitale d’une approche intégrée. Cette méthodologie garantit non seulement une performance énergétique optimale mais aussi un impact environnemental minimal.
Au cœur de cette vision se trouvent les jardins verticaux, qui réinventent l’essence même de la façade urbaine. Ces espaces verts ne se limitent pas à embellir l’environnement bâti ; ils constituent des éléments vitaux d’un écosystème urbain résilient, contribuant significativement à la purification de l’air et à la création d’une biodiversité riche et variée au sein de la métropole.
La sélection rigoureuse des plantes, adaptée au microclimat algérois, des luxuriantes fougères aux diverses herbes aromatiques, met en lumière la nécessité d’harmoniser ces espaces verts avec les conditions environnementales spécifiques de l’Algérie, faisant de chaque jardin vertical un symbole vibrant de l’union entre nature et progrès.
La réalisation de « Oasis de lumières » et son intégration autour du « Dôme de la Méditerranée » transcendent le slogan « El Djazair El Djadida », le matérialisant dans une dimension concrète et palpable. Ce projet illustre avec force comment une architecture résolument innovante peut catalyser le changement social et environnemental, propulsant l’idéal d’une Algérie Nouvelle au-delà des mots pour en faire une réalité ancrée dans le paysage urbain.
En rompant définitivement avec les conventions du passé, « Oasis de lumières » propose une vision rafraîchie et dynamique de l’urbanisme algérien, affirmant l’engagement de l’Algérie à adopter des pratiques architecturales et urbaines qui non seulement répondent aux impératifs actuels mais aspirent également à remodeler l’identité spatiale de la nation.
Le quartier « Oasis de lumières », avec ses innovations telles que la façade éponge et les jardins verticaux, ne se contente pas de démontrer l’engagement de l’Algérie envers le développement durable ; il sert d’inspiration pour une nouvelle façon de concevoir la vie urbaine, en parfaite harmonie avec notre héritage culturel et dans le respect de notre environnement.
Toufik Hedna
Architecte, Urban-Designer, Éditeur
Franchement. Vous n’avez pas trouvé des images plus réalistes pour illustrer votre propos.
Avec de tels immeubles, de tels quartiers, de telles villes et une telle qualité de vie sur terre, comment nos imams continueront à nous faire rêver du Paradis? Il faut laisser sa part au rêve.
un autre Batard arabe TAIWAN algérien,un Khoroto au service du colonialisme arabe en Algérie qui essaye de nous fourguer une de ces idées moribonde au service de la glorification du colonialisme arabe ,de l’aliénation et de la Batardisation du peuple AMAZIGH.
vive la Kabylie libre et indépendante.
Colonialisme français= Colonialisme arabe.
C’est ça le mococco; les kabyles n’insultent jamais, surtout pas de façon aussi grossière et vulgaire. Va aboyer sur les sites de ton bled.
@ Ali,
Ne penses tu pas que tu perds ton temps sur ce site. Ici on est libre de dire que l’Anegerie est une étable. On est libre de dire que vos houkams c’est des chiens galeux. On est libre de dire qu’à cause des gens comme vous que les kharabes nous mangent la laine sur le dos. Je ne vais pas être vulgaire, mais vaut mieux que tu ailles dans des sites kharabes, je suis sûr que tu as largement ta place.
Ici je suis chez moi. Pour le reste, tu n’es pas meilleur que ces « kharabes » que tu insultes à longueur de commentaires. Si au moins tu n’en faisais pas partie! Vous essayez de vous faire passer pour des Kabyles, sauf que votre manque de repères, surtout en matière d’éducation, vous trahit. Allez voir ailleurs, sur vos sites où l’insulte et l’inculture sont reines ; pour sûr que vous y trouverez votre compte les mococcos.
@ Ali
En tout les cas tu prouve que tu. n’es en rien Kabyle, car un vrai Kabyle n’a jamais eu de haine viscérale pour nos amis les Marocains..
Je préfère de loin un Marocain, qu’un zigoto comme toi, nourrit à la haine de la terre entière en glorifiant des mafieux séniles et incontinents.
Vive la Kabylie et Thamezgha.
@ loco…. si c’est toi qui décide de qui est qui… ce site s’appelle matin d’Algérie. Tu es libre de créer un Matin de Kabylie et de filtrer les sujets et les coms. Pour les mococcos, il existe le Matin du Maroc, ex Sahara, où ils peuvent déverser leur fiel. J’aime bcp le Maroc et les Marocains où je compte de nombreux ami-e-s. Je connais ce pays sur le bout des doigts et je lui souhaite le meilleur pour ses enfants. Par contre, j’habore le maxzen et sa clientèle, sangsues suceuses de sang. Je ne glorifie aucun mafieux où que ce soit. Tu prends des raccourcis parce que incapable d’élever ton niveau en croyant que toi et tes pairs, vous êtes détenteurs de la vérité absolue. Ceux qui ne pensent pas comme sont systématiquement contre vous. vous les traitez de traîtres comme s’ils s’étaient engagés avec vous. vous êtes des gens stériles à votre cause, si tant que vous en avez une, à votre pays – votre nationalité est indiquée sur vos papiers, vous êtes nuisibles y compris pour vous mêmes. si j’ai un conseil à te donner c’est de continuer à t’instruire pour ne pas rester abruti. De la part d’un homme Libre. PS: Une question : Tu finis par un Vive Tamezgha. Soit. Donc, je suppose que tu es content de voir que les rifains ont créé un mouvement indépendantiste et ouvert un bureau à Alger. Dis- nous ce que tu en penses, sans verser dans l’insulte stp
Que Lanjiri assure d abord de l eau potable à ces SUJETS et aux rarrissimes touristes dans les pseudo hotels infectés de cafards et de draps sals et on verra aprì …
E»n attendant tous et toutes pour une Kabylie LIBÉRÉE !
L’urbanisme ce n’est pas juste une question d’architecture ayant travailler dans ce domaine en Europe, je peux vous assurer que c’est une affaire bcp plus complexe car j’ai participé à des études multidisciplinaires qui regroupent des architectes, des ingénieurs btp, des paysagistes, parfois même des anthropologus etc…sans parler des enquettes publiques et autres banques de données en un clic sur la population, le cadastre, le plan d’urbanisme etc…
Votre projet est certes joli mais loin d’être réaliste, pour arriver à ce stade d’urbanisation il faut un peuple approprié, éduqué pour ce type d’environnement car il est flagrant que vous oubliez le sacré des Algériens, à savoir la mosquée voir plusieurs, des endroits pour égorger le mouton entre voisins, des balcon sèche-linge , des hits ( murs ) pour les jeunes etc…