Une nouvelle tragédie de la migration clandestine s’est produite jeudi 4 septembre au large de Kristel, un village portuaire sur la côte oranaise, à l’ouest d’Algérie.
Une embarcation transportant douze personnes a chaviré dans les eaux territoriales algériennes, causant la mort ou la disparition de sept passagers. Cinq autres ont survécu au naufrage, selon des informations rendues publiques par l’activiste espagnol Fransisco José Clémente Martin (*) sur sa page Facebook.
Parmi les victimes figurent deux femmes et un nourrisson âgé de seulement sept mois. L’embarcation, une barque en fibre bleue de 4,80 mètres, équipée d’un moteur Yamaha de 40 chevaux, n’a pas résisté à la traversée périlleuse.
Ce drame s’ajoute à une longue liste de naufrages qui endeuillent régulièrement les côtes algériennes, témoignant de l’ampleur persistante du phénomène des harraga. Chaque naufrage rappelle la détresse sociale, économique et psychologique de ceux qui, malgré les risques mortels, choisissent de prendre la mer dans l’espoir d’un avenir meilleur de l’autre côté de la Méditerranée.
En Algérie, ces tragédies sont souvent minimisées ou interprétées par les autorités et les médias proches du pouvoir comme le résultat de campagnes de « manipulation » menées par des médias étrangers hostiles. Une lecture qui tend à occulter les causes profondes de ce phénomène : chômage massif, absence de perspectives, désenchantement de la jeunesse et perte de confiance dans les institutions.
La mort de ces anonymes, dont un bébé de sept mois, est pourtant le reflet cru d’une réalité sociale douloureuse. Elle souligne aussi l’écart abyssal entre les discours officiels sur la stabilité et la prospérité, et la réalité vécue par une partie de la population contrainte de fuir au prix de sa vie.
Une tragédie de trop, qui interroge sur le silence, les dénégations et l’incapacité des autorités à offrir à leur jeunesse une alternative crédible à l’exil.
La rédaction
(*) Francisco José Clemente Martin, militant espagnol membre du Centre international pour l’identification des migrants disparus (CIPIMD) et de l’ONG Heroes Del Mar
Va t’on nous dire que c’est Retailleau le responsable ? Non, le responsable c’est le duo de tyrans abjects et répugnants que sont Teboune et Chengriha. Teboune et Chengriha sont le cancer de l’Algérie. Ils ont bloqué le pays, ils l’ont asphyxié. On apprend aujourd’hui qu’une vingtaine de gardes côtes, ainsi que leur commandant et le commandant de la base navale de Tamentfoust ont été arrêté. Cela en dit long sur le cynisme et l’hypocrisie des répugnants Teboune et Chengriha. En effet, tout le monde sait que cela fait plusieurs mois que El Mouradia et Chengriha ont décidé de provoquer une crise migratoire vers l’Europe. Les gardes côtes ont donc reçu l’ordre de ne plus intercepter les bateaux ni d’enquêter sur la mafia des passeurs. On finira un jour d’appeler ça : la loi du chauffeur de bus et de son receveur. Ce ne sont pas les gardes côtes qui doivent être arretés, ce sont ceux qui leur ont donné l’ordre de rester passif face aux passeurs et à leurs bateaux. Ce ne sont pas les gardes côtes qu’il faut arrêter, c’est Teboune et Chengriha. C’est eux qui ont donné les ordres suivis par les responsable de la marine et les gardes côtes. Les algériens ne sont pas dupes. Nous ne sommes pas dupes ! Les algériens en ont marre de la politique suicidaire menée par Teboune et Chengriha. Ce n’est pas la presse internationale qui salit l’image du pays, c’est Teboune et Chengriha. Vous êtes soucieux de l’image du pys ? Dégagez, vous verrez l’image de l’Algérie s’en trouvera instantanément redorée. Dégagez ! Nous saurons nous défendre tout seul ! Dégagez nous sauront nous développer tout seul. Dégagez ! Le peuple algérien ne veut plus de régime militaire mafieux
WIzaratou al–Noyadatou. Vus remarquerez que personne ne porter une barbe. Celui a gauche, c’est mal rase’. Al-Barbaaaates ont tous sinon des passports, au mins des visas diblmatia.
C’est l’exode! La nouvelle Algerie est pire que l’ancienne Algerie
Entre le 1er janvier et le 31 juillet, 4 320 Algériens ont gagné le sud de l’Espagne ou ses îles, selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), principalement par les Baléares (+ 77 % par rapport à 2024 sur la même période). Ils constituent ainsi la deuxième nationalité la plus représentée, derrière les Maliens (5 551). Une tendance qui place 2025 sur le même rythme que 2024. L’an dernier, l’Agence espagnole de sécurité nationale avait comptabilisé 9 552 Algériens arrivés sur leur territoire, soit 36 % de plus qu’en 2023.