La mort du citoyen tunisien Abdelkader Dhibi, tué le 2 septembre 2025 à Marseille par des policiers français aprèsplusieurssommations, a suscité une vive réaction des autorités tunisiennes, qui dénoncent un « meurtre injustifié » et exigent des explications rapides de la part de Paris.
Dès le lendemain du drame, et sur instruction du président de la République, le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères a convoqué le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade de France à Tunis. En l’absence de l’ambassadrice, actuellement hors du pays, le diplomate français a été destinataire d’une protestation ferme et solennelle. Tunis attend désormais que la France mène une enquête sans complaisance et identifie les responsabilités.
Le président tunisien a également mandaté l’ambassadeur de Tunisie à Paris pour transmettre le même message aux autorités françaises et travailler avec le consulat général à Marseille afin d’accélérer le rapatriement du corps du défunt.
En parallèle, le ministère des Affaires étrangères a pris contact avec la famille d’Abdelkader Dhibi pour présenter ses condoléances et l’informer des démarches entreprises pour garantir leurs droits.
Rappelons que ce Tunisien, selon les derniers éléments d’informations, a été expulsé d’un hôtel du quartier populaire de Belsunce qu’il ne payait plus et s’en est pris à des passants avec deux couteaux. Ses victimes sont essentiellement des Algériens. Après plusieurs sommations, l’invitant à deposer ses couteaux, la police a dû user de ses armes à feu pour le neutraliser.
Au-delà de l’émotion, Tunis souligne sa détermination à protéger ses ressortissants partout dans le monde et à défendre leur dignité face aux abus. Cette affaire intervient dans un contexte sensible marqué par des tensions récurrentes autour du traitement réservé aux immigrés maghrébins en France, souvent victimes de stigmatisation et de violences policières.
La position ferme de la Tunisie pourrait ouvrir une nouvelle séquence tendue dans ses relations avec la France, où la question du respect des droits des diasporas devient un enjeu central. Par ailleurs, rappelons qu’en ce moment même Kaïs Saied est à Alger, où il est reçu par son « ami », Abdelmadjid Tebboune dont le pays est en crise grave avec la France depuis 2024.
Mourad Benyahia
Il a cinq cas prévus pour la légitime defense par l’article L435-1 du Code de la sécurité intérieure et c’est # seulement # aux juges qu’il appartient d’apprécier les conditions de la légitime défense !
Je sais que le pouvoir Tunisien comme algérien ne sont pas au fait de la séparation des pouvoirs en France et qu’ils pensent que Macron, le gouvernement décident des enquêtes pour des affaires de justice !
# Tunis souligne sa détermination à protéger ses ressortissants partout dans le monde et à défendre leur dignité face aux abus. Cette affaire intervient dans un contexte sensible marqué par des tensions récurrentes autour du traitement réservé aux immigrés maghrébins en France, souvent victimes de stigmatisation et de violences policières. #
Cette personne souffrait de problèmes psychiatriques et a été inculpé pour avoir poignardé son neveu à la Rochelle ! N’était ce pas le moment à cette protectrice Tunisie de s’intéresser à son ressortissant et de le rappatrier pour des soins psychiatriques et de le libérer de cet hexagone inhospitalier !
D’autre part, c’est fatiguant ce discours victimaire sur les maghrébins qui seraient les victimes des violences policières,
1 – la police française n’est pas plus violente que d’autres et surtout que l’algérienne ou la Tunisienne !
2 –
cette idée gauchiste que la police pourrait constamment intervenir avec gentillesse et avec des fleurs, est un beau fantasme ! Les voyous ne sont pas des anges !
iDans notre cas, ce n’est pas adapté, heureusement que la police est intervenu sinon d’autres personnes seraient blessés et peut-être tués en plus des algériens !
Le Tunisien, identifié comme Abdelkader D., 35 ans, était en situation régulière en France et était connu pour «sa violence et ses problèmes d’addiction à la fois à la cocaïne et à l’alcool», a précisé le procureur. Il avait notamment été condamné à La Rochelle (ouest) pour des violences avec arme commises en 2023 sur un neveu.
Selon les premiers éléments rapportés par le procureur, le «périple criminel» d’Abdelkader D. mardi a commencé après son expulsion d’un hôtel pour défaut de paiement. D’après les autorités françaises, il a poignardé plusieurs personnes avant d’entamer une errance menaçante dans les rues, qui l’a mené à quelques centaines de mètres de l’emblématique Vieux Port, armé de deux couteaux et d’une barre de fer. D’après le procureur de Marseille, il «n’apparaissait pas radicalisé mais souffrant de troubles psychiatriques».
C’est avec ces armes, selon la même source, qu’il a menacé une patrouille de policiers en civil qui, alertés par «la rumeur publique», l’ont mis en joue. L’homme les menaçant, les fonctionnaires ont ouvert le feu à six reprises alors qu’il faisait des mouvements vers eux. Touché de cinq balles, Abdelkader D. n’a pas pu être ranimé et est décédé sur place.
Selon les premiers éléments rapportés par le procureur, le «périple criminel» d’Abdelkader D. mardi a commencé après son expulsion d’un hôtel pour défaut de paiement. D’après les autorités françaises, il a poignardé plusieurs personnes avant d’entamer une errance menaçante dans les rues, qui l’a mené à quelques centaines de mètres de l’emblématique Vieux Port, armé de deux couteaux et d’une barre de fer. D’après le procureur de Marseille, il «n’apparaissait pas radicalisé mais souffrant de troubles psychiatriques »
C’est avec ces armes, selon la même source, qu’il a menacé une patrouille de policiers en civil qui, alertés par «la rumeur publique», l’ont mis en joue. L’homme les menaçant, les fonctionnaires ont ouvert le feu à six reprises alors qu’il faisait des mouvements vers eux. Touché de cinq balles, Abdelkader D. n’a pas pu être ranimé et est décédé sur place.
C’est un comble ! Le président tunisien demande des comptes à la France sur les conditions de la mort d’un de ses ressortissants alors que dans le même temps, le journal tunisien Nawaat livre un article sur l’indifférence des autorités tunisiennes sur le sort des disparus en mer, des décès dans les prisons et/ou dans les centres de rétention italien, je vous invite à le lire car c’est déchirant pour les familles.
Cette communication est faite uniquement à l’intention des tunisiens de l’intérieur, même comportement que son homologue algérien qui devrait lui aussi demander à la France : pourquoi n’a-t-elle pas protégé ses ressortissants car ce sont les premières victimes ?
Une enquête a été lancée pour savoir qui a pu lui octroyer une carte de séjour avec de tels antécédents et je vous certifie que le ou la fonctionnaire va payer très cher car moi-même ancienne cadre sup de l’Etat à la retraite, la réglementation est sans âme et très dure, j’ai eu le cas d’un facteur très bien noté depuis 30 ans, qui ne faisait jamais grève, qui était toujours disponible pour faire des heures supplémentaires, discret et affable et pourtant: il volait ! rien d’extraordinaire juste des petites babioles, ces cadeaux minables qu’offrent La redoute et les 3 suisses dont la valeur marchande ne dépasse pas les 2 euros, il a tout perdu: licencié pour fautes lourdes, il a perdu ses droits à la retraite bien qu’il ait cotisé durant 30 ans, pas de droit au chômage, sa femme l’a quitté et il a fini sdf ! Notre administration est intransigeante contrairement aux vôtres.
Cet homme avait un casier judiciaire conséquent, il a poignardé son neveu car homosexuel, violenté sa femme, cocaïnomane, qui n’a jamais travaillé vivant des prestations sociales généreuses !
Si notre pays est si horrible si raciste mais alors pourquoi y venir ?
Mais que dire de ce président tunisien comme son homologue de la manière dont ils traitent les subsahariens ?
La tunisie vient de rentrer dans le club très fermé des pays qui « EXIGENT » . ça s’appelle pêter plus haut que son c.l