 l’origine ils n’étaient que de pauvres hères plus proches des hyènes, que de leurs congénères humains.
Et dans l’indifférence générale, ils parcouraient bruyamment monts et vaux, à la recherche d’une chimérique notoriété, de proies faciles à duper, et surtout les mains des présents magistraux à lécher, et ce, dans le proche espoir, de bientôt les mordre ; comme veulent leurs natures, cultures et philosophies.
 leurs approches les braves gens s’éloignent pour s’éviter l’exhalaison nauséabonde morale et physique qu’ils émettent. Que ne voit-on pas surgir récemment dans l’arène pour les pourfendre, en usant du même abruti outrancier verbiage, usé dans ces endroits qui leurs sont communs que seraient les fosses septiques ?
Ces terribles et effrayants anonymes « Dons Chiottes » avaient réussi à susciter autour de ces piaillards une solidarité intéressée et soutenue par des inconséquents haineux, pour briser cet élan citoyen, unificateur autour d’une juste cause, et qui pourrait dangereusement menacer certaines certitudes.
Et d’une façon quasi orchestrée nos belligérants usant d’une méthode quasi identique, apprise dans des mêmes bouges, ont pendant une période occupé les devants de la scène et réussi à susciter auprès de certains naïfs et quelques sympathisants chauvins une gluante entente.
Et la cause fut entendue, tous les braves gens pour ne pas être confondus avec ces pervertisseurs, la mort dans l’âme avaient quitté l’arène de ce noble combat, qui pourtant, était précédemment le leur.
Mohammed Aouli
