Le spectre de la guerre civile plane encore sur la Libye. Le bruit de bottes se fait entendre à l’est. Des unités du maréchal Khalifa Haftar, font mouvement en direction de zones du Sud-Ouest contrôlées par le gouvernement rival installé à Tripoli et néanmoins reconnu par l’ONU.
« L’adjoint du chef d’état-major (…) a donné des instructions aux unités de l’armée d’être en état d’alerte et d’être prêtes à repousser toute éventuelle attaque » dans le Sud-Ouest, a annoncé une source de l’état-major des forces du « gouvernement d’union nationale » (GUN) à la chaîne Libya Al-Ahrar. La chaîne privée avait rapporté dès mercredi 7 août que des forces pro-Haftar « se dirigeaient vers le Sud-Ouest » libyen, sans donner d’autres précisions. Certaines sources avancent la destination de Ghadamès, située à la frontière avec l’Algérie.
La Libye est plongée dans des violences fratricides depuis la chute et la mort du dictateur Mouammar Kadhafi. Deux exécutifs rivaux se déchirent la dépouille d’un pays riche mais largement fracturé par des milices affiliées et armées par des pays comme les Emirats arabes unis, le Qatar, la Turquie, l’Egypte… L’un à Tripoli, dans l’Ouest, dirigé par Abdelhamid Dbeibah ; l’autre dans l’Est, incarné par le Parlement et affilié au maréchal Haftar, dont le fief se trouve à Benghazi.
Jeudi, le Haut Conseil d’Etat (HCE), sis à Tripoli et qui fait office de Sénat, a dit « suivre avec grande inquiétude les mobilisations militaires des forces d’Haftar dans le Sud-Ouest ces deux derniers jours, visant clairement à renforcer son influence et étendre son contrôle sur des zones stratégiques communes avec nos voisins ». « Ces mouvements [de troupes] sont susceptibles de nous renvoyer aux affrontements armés et sont une menace directe pour le cessez-le-feu » de 2020, sapant tout « effort visant à réunifier l’institution militaire » et causant « l’effondrement du processus politique », a ajouté le HCE dans un communiqué.
Le maréchal Haftar a tenté par le passé de prendre le contrôle de toute le pays, en vain. Ses attaques ont buté sur la résistance de milices acquises au gouvernement d’Abdehamid Dbeibah.
Avec AFP
Peut-etre qu’ils vont reprendre leur territoire confisque’ par boukharouba dans les anne’es 60-70. Chengriha et teboune vont s’accroupir a al-mouradia pour s’assurer qu’aucun gamin adolescent ne rejoigne les mains de l’etranger. Si le haftar change de tenue, c.a.d. met une longue robe blanche, un turban sur la tete avec un anneau dessus… vous savez ce qu’ils feront… A Plat-Ventre … Vous pouvez faire le tour des frontieres, et cmpter le nombre de brbq qui se preparent… avec un peu de chance, le Macron va se mettre a la Harraga et arrivera eventuellement a sidi-frej.Il n’y a que ca qui pourra peut-etre liberer les algeriens de cette arme’e d’occupation, dirige’e par un nouveau magot(singe atlassien).
tout le pays suffoque sous 45 degre’s et des coupures d’eau a repetition – une semaine sur 2.