La Cour constitutionnelle a fait le pompier. Alors que le scandale rongeait la présidentielle, cette institution est chargée de venir au secours pour éteindre l’incendie. Sans surprise, elle valide la victoire d’Abdelmadjid Tebboune à la parodie présidentielle. Une victoire saluée, par anticipation, par plusieurs chancelleries étrangères, car instruites des coulisses du système politico-militaire qui dirige d’une main d’airain l’Algérie.
En Algérie, la chose est entendue. Cette présidentielle ne fut qu’une piètre pièce de théâtre dont le clap de fin était connu de tous. «Il était temps d’en finir avec cet imbuvable skeach», soupire un journaliste. «Ils agissent comme si le printemps 2019 ne s’est jamais produit, regrette un universitaire.
«Nos dirigeants n’ont pas le sens de l’Etat, leur aveuglement risque d’entraîner celui du pays et la matière nous ne sommes pas aidés à l’étranger quand je vois comment nombreux pays dits démocratiques se sont empressés à envoyer leurs félicitations, malgré le foin produit par les résultats contradictoires de l’Anie… je crains sérieusement pour l’avenir car les failles apparues dans les annonces des résultats sont symptomatiques d’une fragilité périlleuse de nos institutions», appréhende un universitaire algérois.
La curiosité n’est donc pas dans ce second mandat acté dès son annonce en mars dernier. Elle est d’abord dans le scandale qui a entouré les annonces des taux de participation et des suffrages exprimés. Les chiffres de la Cour constitutionnelle prêtes à sourire. Non seulement ils viennent remettre en cause ceux de l’Anie, une autre institution qui avait par le passé encadré plusieurs élections.
Comment est-ce possible que cette dernière ait pu ne pas voir près de 3 millions de voix (de 5 329 253 à 7.976.291 voix), comme le montrent les nouvelles de la Cour constitutionnelle ? En vrai, la vox populi regarde amusée le jeu des deux institutions.
«Personne n’est dupe, le scandale des annonces de Mohamed Charfi a fait beaucoup jaser. Les chiffres présentés sont une sacrée humiliation pour Tebboune. En revoyant les chiffres, la Cour constitutionnelle a tenté de donner quelque vraisemblance à cette élection auquelle personne ne croit», constate un militant politique.
Coup double donc de la part de la Cour : faire porter le chapeau du scandale à l’ANIE et partant crédibiliser l’élection. En la matière, le régime a missionné ses télégraphistes pour relayer la petite musique pour la vendre à l’opinion. Le reste c’est le temps qui fera son oeuvre.
Sofiane Ayache
S’il ne lui reste, ne serait ce qu’un petit peu de dignité, cet imposteur de président, devrait présenter sa démission au peuple algérien, car il demeure illégitime. Plus de 80% des gens l’ont rejeté en boycottant les urnes. Alors que les kabyles ne représentent même pas un pourcent de ceux qui ont voté. Donc c’est très claire, les kabyles te rejette. Cet imposteur de président est l’ennemi des kabyles. La Kabylie n’oubliera jamais les incendies qu’il a commandités, les décès que ces incendies ont entraîné. La Kabylie n’oubliera jamais, les condamnations de ses enfants, dont certains à mort, dans la mascarade entourant le décès de Djamel Bensmail, provoqué par les chiens des services répressifs du pouvoir colonial algérien. Ce pouvoir assassin qui continue à répandre sa haine du kabyle, en prenant les jeunes kabyles comme bouc émissaire. Il continue à nous envoyer ses chiens de garde du régime, à venir nous faire leur discours en arabe en plein coeur de la Kabylie profonde juste pour nous humilier. On veut être respecté. On veut que chez nous, on nous parle dans notre langue, en kabyle. On a une langue. Alors si ce régime arrogant, fasciste et assassin et voleur, veut nous parler, qu’il ait au moins la décence, de nous parler dans notre langue.
« Comment est-ce possible que cette dernière ait pu ne pas voir près de 3 millions de voix (de 5 329 253 à 7.976.291 voix) … ». Ce n’est pas près de 3 millions de voix que la Cour constitutionnelle n’a pas vus mais bien près de 6 MILLIONS. Les 3 millions représentent uniquement les voix « volées à Tebboune par l’ANIE » et que Zorro (Omar Belhadj) a récupérées en un tour de magie constitutionnelle dont lui seul a le secret. Une véritable cour des miracles que cette Cour constitutionnelle!
«En revoyant les chiffres, la Cour constitutionnelle a tenté de donner quelque vraisemblance à cette élection auquelle personne ne croit». Au contraire! Faire passer allégrement le taux de participation de 5,6 millions de votants à 11,2 millions de votants sans explication ni justification aucunes ne fait en fait que réduire à néant le semblant de crédibilité donné à ce sketch électoral par les chiffres énoncés par Charfi. Qui faut-il croire? Omar Belhadj et ses complices (46,10%) ou les sources gouvernementales françaises de l’Opinion (10%)? Boune quistiou comme dirait l’autre! Poser la question c’est y répondre.
Ce n’est pas le roe d’une cour de compter ou investiguer. Son SEUL job dans cette affaire est de statuer si les resultats sont legitimes ou entache’s. Quelle resultats? Ceux fournis par l’ANIE et remis en cause par quelqu’un d’autre. Absence de conditions necessaires ces elections sont NULLES, comme en temoigne l’opinion publique. Ou pour faire plus court, on ne vote pas avec des pieds, ce que les Algeriens ont fait. Donc, il n’y a pas eut d’elections !!!
« Au contraire! Faire passer allégrement le taux de participation de 5,6 millions de votants à 11,2 millions de votants sans explication ni justification aucunes … »
Enfin ils ont ouvertement démontré qu’ils ne sont que des tricheurs qui peuvent improviser n’importe quoi.
Ont ils honte ? La honte ne peut pas avoir honte.
Qui les croit et qui va les croire encore quand tout le monde sait que le pays est nourri par une machine a mensonges ?
Le pays est entre les mains de voyoux !
Aucune institution n’est légitime dans ce pays …..
La présidence et toutes les assemblées élues sont entachées de fraises massives, grossières, obscènes ….
Tous ceux qui sont nommés ou désignés, l’ont été par des responsables illégitimes, mal élus ou eux-mêmes désignés par les militaires (a l’exemple du chef de l’état toujours désigné depuis Benbella).
La seule légitimité en Algérie est celle que confèrent les chats et les baïonnettes.
FRAUDES au lieu de fraises
FRAUDES au lieu de fraises
CHARS au lieu de chats
Ce pouvoir a touché le fond, c’est le grand guignol, il ne reste plus qu’un grand éclat de rire !
ou peut-etre Wagner et tous les fauves qui rodent dans les environs.
Leur travail est la tricherie, les fourberies et le mensonge sans relache.
Sinon s’il y a des gens qui les croient encore ou qui les prennent au sérieux, ils peuvent rever.
Nous sommes entre les mains d’amateurs qui utilisent la corruption, l’improvisation et la machine a mensonges.
Leur travail est la tricherie, les fourberies et le mensonge sans relache.
Sinon s’il y a des gens qui les croient encore ou qui les prennent au sérieux, ils peuvent rever.
Nous sommes entre les mains d’amateurs qui utilisent l’improvisation et la machine a mensonges.
Un pouvoir perdu en plein désert sous 60° sans boussole, et appuie sur l’accélérateur du camion Algérie sans voir l’énorme vent de sable qui pointe à l’horizon !