24.9 C
Alger
samedi 5 juillet 2025
AccueilPolitiqueCrise au FFS : trois membres du présidium claquent la porte

Crise au FFS : trois membres du présidium claquent la porte

Date :

Dans la même catégorie

Décès en détention de Tarik Bouslama, ex-PDG d’IMETAL : une fin de parcours dans l’oubli  judiciaire 

 Tarik Bouslama, ancien président-directeur général du groupe public IMETAL,...

Mohamed Lamine Belghit condamné à 5 ans de prison ferme

La justice algérienne a tranché le cas de l'universitaire...

Corruption : l’ancien ministre Tahar Khaoua écope de 6 ans de prison

 L'ancien ministre des Relations avec le Parlement, Tahar Khaoua,...

Le FMI pointe les vulnérabilités budgétaires de l’Algérie

Malgré une conjoncture économique à court terme jugée favorable,...

Paris « déplore » la condamnation en appel de Boualem Sansal

Dans une déclaration rendue publique ce mardi 1er juillet,...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
EXPRESS

Crise au FFS : trois membres du présidium claquent la porte

Mohand Amokrane Cherifi, Sofiane Chioukh et Brahim Meziani, trois des cinq membres de l’Instance présidentielle (IP) qui dirige le Front des forces socialistes (FFS) ont démissionné de leur poste vendredi. 

Le parti du FFS plongé dans la crise depuis de quatre ans se voit encore une fois obligé d’aller vers un congrès à la faveur de cette démission. Après cette démission, il ne reste de cette direction mise en place à la faveur du congrès extraordinaire d’avril 2018 qu’Ali Laskri et Hayat Tayati. 

Cette initiative politique des trois membres de l’instance présidentielle se veut un coup d’accélérateur pour une sortie de crise, si l’on comprend bien leur communiqué.

Mohand Amokrane Cherifi, Sofiane Chioukh et Brahim Meziani justifient leur action avec l’objectif de « retrouver dans l’immédiat la stabilité et l’unité du parti garanties par l’IP, seule l’élection d’une nouvelle instance présidentielle permettra d’y parvenir, car la voie utilisant les structures actuelles pour organiser un conseil national puis un congrès national ordinaire est longue et ne réunit pas les conditions de sa réussite, en l’absence d’un large consensus ».

De fait, « «les trois membres de l’IP engagent leurs démissions respectives pour convoquer un congrès national extraordinaire au mois d’avril 2020, conformément à l’article 48 des statuts, sur la base de la composante définie par l’article 34 des statuts, avec pour ordre du jour unique : l’élection d’une nouvelle instance présidentielle ».

Auteur
L. M.

 




Dans la même catégorie

Décès en détention de Tarik Bouslama, ex-PDG d’IMETAL : une fin de parcours dans l’oubli  judiciaire 

 Tarik Bouslama, ancien président-directeur général du groupe public IMETAL,...

Mohamed Lamine Belghit condamné à 5 ans de prison ferme

La justice algérienne a tranché le cas de l'universitaire...

Corruption : l’ancien ministre Tahar Khaoua écope de 6 ans de prison

 L'ancien ministre des Relations avec le Parlement, Tahar Khaoua,...

Le FMI pointe les vulnérabilités budgétaires de l’Algérie

Malgré une conjoncture économique à court terme jugée favorable,...

Paris « déplore » la condamnation en appel de Boualem Sansal

Dans une déclaration rendue publique ce mardi 1er juillet,...

Dernières actualités

spot_img

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici