27.7 C
Alger
samedi 19 juillet 2025
Accueil360°De nouvelles mesures répressives en Kabylie

De nouvelles mesures répressives en Kabylie

Date :

Dans la même catégorie

Youssef Oueslati, une figure emblématique du journalisme tunisien disparaît

C’est avec une grande tristesse que la presse tunisienne...

Pour avoir dit qu’Okba n’est pas algérien, Zakia Mohamed victime d’une violente cabale

Depuis plusieurs jours, la chanteuse algérienne Zakia Mohamed fait...

Le refuge de Sales, un écrin préservé en Haute-Savoie

Il est situé au cœur de la réserve naturelle...

L’APN adopte des lois sur la lutte contre le blanchiment d’argent et la protection des données

Les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont adopté,...

Georges Ibrahim Abdallah, plus vieux prisonnier politique d’Europe, enfin libre

Il aura fallu quarante années de détention, treize demandes...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
Détenus d'opinion

Le régime poursuit ses arrestations de citoyens. La mécanique semble prise de folie répressive. Une attention maladive est placée dans la Kabylie d’où sont originaires plus de 200 détenus d’opinion.

Dimanche dernier, des arrestations arbitraires ont eu lieu dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Merzouk Kachi a été placé sous contrôle judiciaire par le juge d’instruction du tribunal de Draa El Mizan, dimanche 23 janvier. Le même jour, Menad Si Saïd a été aussi placé sous mandat de dépôt par le juge d’instruction du tribunal de Draa El Mizan.
Merzouk Kachi a été arrêté lundi 17 janvier 2022 par huit éléments de la BRI dans une cafétéria à Iferhounène aux alentours de 11h00. Et Menad Si Saïd a été arrêté deux jours plus tard dans une cafétéria à Imsouhal à 18h dans la même daïra d’Iferhounène.
330 citoyennes et citoyens sont détenus arbitrairement dans les prisons. Quatre journalistes, des universitaires, des opposants politiques, des étudiants figurent sur la liste de ces Algériens otages du régime.
L. M.

Dans la même catégorie

Youssef Oueslati, une figure emblématique du journalisme tunisien disparaît

C’est avec une grande tristesse que la presse tunisienne...

Pour avoir dit qu’Okba n’est pas algérien, Zakia Mohamed victime d’une violente cabale

Depuis plusieurs jours, la chanteuse algérienne Zakia Mohamed fait...

Le refuge de Sales, un écrin préservé en Haute-Savoie

Il est situé au cœur de la réserve naturelle...

L’APN adopte des lois sur la lutte contre le blanchiment d’argent et la protection des données

Les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont adopté,...

Georges Ibrahim Abdallah, plus vieux prisonnier politique d’Europe, enfin libre

Il aura fallu quarante années de détention, treize demandes...

Dernières actualités

spot_img

1 COMMENTAIRE

  1. Azul.

    La junte maffieuse ne désespère pas de pousser la Kabylie vers la violence, pour justifier, aux yeux de l’opinion nationale (si ça existe encore) et internationale, le classement du MAk comme organisation terroriste. Pour atteindre cet objectif, les sbires à Tchang-Riha humilient les familles, s’attaquent aux plus fragiles (les personnes âgées, les femmes), toute personne appréciée dans son village ou son quartier, … tout cela afin de pousser à bout la population, en jouant sur le principe « la patience a des limites ».

    Alors, moi je dirais : prudence! prudence! prudence!

    A leur folie répressive répondons par notre stoïcisme. Ne nous laissons entraîner, tels des idiots, vers la violence. Montrons que nous sommes plus intelligents qu’eux. Car, de toute façon :
    1 – ils ne pourront pas arrêter tout le monde;
    2- arrivera le jour/le moment où même les exécutants auront ras-le-bol;
    3 – l’arbitraire n’a jamais fait une nation et encore moins un état.

    Ilaq usirem ad yili!

    Ar tufat.

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici