23.2 C
Alger
samedi 17 mai 2025
AccueilPolitiqueDétenus du printemps noir : leur garde à vue prolongée

Détenus du printemps noir : leur garde à vue prolongée

Date:

Dans la même catégorie

Visa obligatoire pour les diplomates algériens en France

Nouvelle étape dans la "riposte graduée" de la France...

Sommet arabe sur Gaza ou la faillite morale du monde arabe

Alors que les bombes continuent de pleuvoir sur Gaza...

La fille de Boualem Sansal s’exprime : « Mon père est isolé, sans information »

Les deux filles de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné à cinq...

Sommet arabe à Bagdad : Tebboune ne fera pas le déplacement !

Après plusieurs jours de suspense à couper le souffle...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
Prison

La quinzaine de manifestants arrêtée lors de la commémoration du printemps berbère, le 20 avril, à Tizi-Ouzou sont maintenus en garde à vue dans un commissariat à Alger. Ils devraient être présentés devant le procureur mercredi 27 avril, annonce le CNLD.

Les personnes arrêtées le 20 avril 2022 à Tizi Ouzou puis transférés à Alger, sont toujours en garde à vue prolongée au commissariat de Sehaoula et un autre commissariat, depuis le 21 avril et seront présentés demain mercredi 27 avril devant le procureur du tribunal de Sidi M’hamed (pôle pénal spécialisé).
Il s’agit de notamment de Belaïd Abrika, Tahar Achiche, Mabrouk Hamoum, Ali Cherifi, Mohamed Berhoune, Youva Bouhaci, Jugurtha Berrahmoune, Hamid Itchir….. et des jeunes filles et même un lycéen âgé de seulement 18 ans.
Enfoncé dans sa folie répressive, le régime a empêché les commémorations du printemps noir et du printemps berbère en déployant d’importants renforts policiers dans les principales villes de Kabylie.
Droit dans ses bottes, le régime s’enferme dans sa logique répressive. Toutes les appels de l’ONU, des ONG comme Amnesty internationale, Humain Right Watch, Riposte internationale, La ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme… pour la libération des détenus sont restés sans suite.
Plus de 250 détenus d’opinion croupissent dans les prisons. L’un d’entre eux, Hakim Debazi, vient de mourir dans la prison de Koléa.
L.M.

Dernières actualités

spot_img

1 COMMENTAIRE

  1. Lounes Matoub se questionnait s’il avait le droit de « respirer l’oxygène de ce pays ». Les valeurs enfants de la Kabylie ont le droit de respirer l’oxygène dans les prisons de ce pays. Tristes temps. Mais quelle que soit la longueur de la nuit, le soleil se lèvera, comme on dit cet adage kabyle.

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici