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Détenus du printemps noir : leur garde à vue prolongée

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Prison

La quinzaine de manifestants arrêtée lors de la commémoration du printemps berbère, le 20 avril, à Tizi-Ouzou sont maintenus en garde à vue dans un commissariat à Alger. Ils devraient être présentés devant le procureur mercredi 27 avril, annonce le CNLD.

Les personnes arrêtées le 20 avril 2022 à Tizi Ouzou puis transférés à Alger, sont toujours en garde à vue prolongée au commissariat de Sehaoula et un autre commissariat, depuis le 21 avril et seront présentés demain mercredi 27 avril devant le procureur du tribunal de Sidi M’hamed (pôle pénal spécialisé).
Il s’agit de notamment de Belaïd Abrika, Tahar Achiche, Mabrouk Hamoum, Ali Cherifi, Mohamed Berhoune, Youva Bouhaci, Jugurtha Berrahmoune, Hamid Itchir….. et des jeunes filles et même un lycéen âgé de seulement 18 ans.
Enfoncé dans sa folie répressive, le régime a empêché les commémorations du printemps noir et du printemps berbère en déployant d’importants renforts policiers dans les principales villes de Kabylie.
Droit dans ses bottes, le régime s’enferme dans sa logique répressive. Toutes les appels de l’ONU, des ONG comme Amnesty internationale, Humain Right Watch, Riposte internationale, La ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme… pour la libération des détenus sont restés sans suite.
Plus de 250 détenus d’opinion croupissent dans les prisons. L’un d’entre eux, Hakim Debazi, vient de mourir dans la prison de Koléa.
L.M.

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1 COMMENTAIRE

  1. Lounes Matoub se questionnait s’il avait le droit de « respirer l’oxygène de ce pays ». Les valeurs enfants de la Kabylie ont le droit de respirer l’oxygène dans les prisons de ce pays. Tristes temps. Mais quelle que soit la longueur de la nuit, le soleil se lèvera, comme on dit cet adage kabyle.

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