Le tribunal correctionnel de Sidi M’hamed (Alger) a condamné, mardi 16 mai, le directeur général de la télévision privée Al-Ajwa TV, à 3 ans de prison ferme suite à la diffusion, en novembre 2022, de scènes jugées « indécentes et immorales ».
Le même tribunal a également rendu une décision d’emprisonnement d’un an à l’encontre du rédacteur en chef et d’une journaliste de la station, dans le cadre de la même affaire.
Après le scandale qui avait provoqué un tollé, notamment sur les réseaux sociaux, l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) a décidé de fermer définitivement cette chaîne.
L’ARAV avait justifié sa décision à l’époque par la diffusion par la chaîne des images qui « contredisent les valeurs de la société »
La station avait publié à l’époque un communiqué dans lequel elle présentait ses excuses au peuple algérien, expliquant qu’il s’agissait d’une « erreur ».
Voilà l’honneur est sauf ! Les journalistes jetés en prison, les citoyens sont contents de leur effarouchement, l’Arav a fait le gendarme de la morale et tout le monde pourra ainsi continuer à zyeuter sur internet les sites les plus hard en toute discrétion !
A part ça, le journalisme se porte comme un charme en Algérie !
Yacine K.
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… et ceux qui l’ont condamné continueront à regarder les films X chez eux, heureux d’avoir sauvé la société hypocrite de la perversion. Heureusement que nos femmes, presque toutes, sont enhidjabées ou en voie.
De là où je vous observe, je ne vous vois même pas!