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mardi 16 septembre 2025
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Djaffar Ouahioune et Kamel Aït Hamouda : Ath Yenni n’a rien oublié

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Ils sont « tombés en héros » sur les terres d’Ath Yenni. Djaffar Ouahioune et Kamel Ait Hamouda ont sans nul doute payé de leur vie cet engagement qu’ils ont courageusement pris en faveur d’une Algérie débarrassée des démons du terrorisme islamiste et de l’obscurantisme religieux.

Oui, il s’agissait là d’un engagement qui ne pouvait nullement signifier, à leurs yeux, simplement et seulement courir un risque physique pour leur vie, mais plutôt et surtout supposait qu’ils s’engageaient à donner entièrement leur vie pour défendre la liberté, la démocratie et indiscutablement « el herma combien sacrée de leur Kabylie »
C’était face à un danger grave et imminent qui fut celui de voir le pays tomber dans le giron d’un régime théocratique que nos deux hommes si déterminés ont validé leur choix de compter dans les rangs de ces groupes d’autodéfense constitués pour contrer, sans attendre, les incursions incessantes des groupes armés islamistes dans les villages de Kabylie.
Le samedi 10 mai 1997, Djaffar Ouahioune , ce militant du Mouvement berbère de 1980, comme Kamel Aït Hamouda, son compagnon de lutte, sont tombés sous les balles assassines des barbares.
Ces derniers ont opéré, comme pour offrir l’horreur en spectacle, devant  ces élèves de ce lycée d’Ath Yenni à jamais traumatisés  par cette macabre scène d’exécution de leur professeur et de son ami du village, engagé auprès de lui pour servir la même cause.
 En cette triste date anniversaire de leur horrible assassinat, Ath Yenni qui s’en rappelle comme toujours appelle tous les patriotes du pays  à «honorer la mémoire» de nos deux héros dont les noms resteront à jamais gravés en lettres d’or sur tous les monuments dédiées aux martyrs de la démocratie.
Yazid Sadat

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1 COMMENTAIRE

  1. A mon avis, il faudras revisiter tous ces meurtres de Kabyles, car en fait personne ne peut etre sure que ce sont les zombies islamistes qui les ont tues. Il se peut que les tontons macroutes du regime soient derriere ces assassinats.

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