19 mars 2025
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La boîte de Pandore américaine : l’ordre mondial au bord de la rupture

Le Président américain en formulant une proposition assortie de menaces pour l’intégration du Canada et du Groenland aux États-Unis, a ouvert une boîte de Pandore géopolitique aux implications incalculables.

L’histoire de l’humanité a toujours été un balancier oscillant entre l’ordre et le chaos, entre l’instauration de règles destinées à encadrer les rapports de force et leur subversion par des puissances aspirant à les remodeler à leur avantage. Aujourd’hui, nous assistons à une mutation profonde de l’ordre international, non pas une simple transition, mais un bouleversement radical.

Ce qui se profile à l’horizon n’est rien de moins qu’une ère de chaos et de confrontation, où la force primera sur le droit, où la diplomatie cèdera la place à la brutalité des rapports de puissance, et où les organisations internationales, si elles ne se réinventent pas, deviendront les témoins impuissants d’un monde en dislocation.

Cette dynamique rappellerait les grandes expansions impérialistes du XIXe siècle, où les grandes puissances s’appropriaient des territoires sans égard pour les droits des peuples concernés. Mais à l’ère moderne, cela déclencherait des réactions nationalistes violentes et de potentielles guerres asymétriques.

Le choix de l’affrontement au lieu de l’ordre

Les grandes puissances, aveuglées par l’illusion de leur toute-puissance et/ou la certitude de leur déclin imminent, se lancent aujourd’hui dans une fuite en avant où le chaos devient non pas un accident, mais un choix délibéré. Elles voient dans l’effondrement du multilatéralisme l’occasion de rebattre les cartes à leur avantage, de figer dans la violence ce que l’économie et la diplomatie ne leur permettent plus d’imposer. Confrontées à l’épuisement de leur modèle de croissance, à la montée des colères internes, à l’érosion de leur soft power et à l’inévitable basculement du centre du monde, elles préfèrent la confrontation au compromis, la force à la négociation, l’unilatéralisme au dialogue. Chaque crise devient un prétexte, chaque faiblesse adverse une opportunité, chaque frontière un pari.

La Russie voit dans le chaos la chance de rétablir son empire perdu, la Chine celle de précipiter l’effondrement de l’ordre occidental, les États-Unis celle de prolonger leur hégémonie en radicalisant l’affrontement avec leurs rivaux. L’Europe, tétanisée, hésite entre le suivisme et l’isolement. L’ONU, impuissante, se mue en spectateur.

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Un retour aux lois de la jungle ?

Depuis 1945, l’ordre mondial repose sur un socle fragile : la souveraineté des États, l’intangibilité des frontières, la coopération internationale et la régulation des conflits par des institutions supranationales. Ces principes ont été bafoués à maintes reprises, mais jamais de manière aussi assumée et généralisée qu’aujourd’hui.

Si aujourd’hui, une grande puissance – les États-Unis, la Russie, la Chine – s’arroge le droit d’annexer des territoires sous prétexte de nécessité stratégique, historique ou économique, alors plus aucun État ne pourra prétendre à la stabilité.

Un tel bouleversement risquerait de déclencher une réaction en chaîne incontrôlable, entraînant une escalade des conflits régionaux où chaque nation chercherait à redéfinir ses frontières, une intensification des rivalités géopolitiques menant à une bipolarisation du monde entre un bloc occidental dominé par les États-Unis et un axe Russie-Chine, ainsi qu’une instabilité économique majeure, alimentée par l’incertitude des marchés, la perturbation des flux commerciaux et la frilosité des investisseurs face à un environnement imprévisible.

Si l’annexion de territoires par la force devient une norme acceptée, alors la Russie pourra revendiquer l’ensemble des régions qu’elle considère comme faisant partie de son « monde russe », de l’Ukraine aux pays baltes, tandis que la Chine pourra s’emparer de Taïwan sans autre justification que sa volonté expansionniste. Israël, au nom de sa sécurité, pourra intégrer Gaza, la Cisjordanie, voire étendre son emprise au sud du Liban et au sud de la Syrie.

L’Inde et le Pakistan pourraient raviver leur confrontation sur le Cachemire, et des puissances comme la Turquie ou l’Iran, ainsi que d’autres acteurs régionaux, se sentiraient en droit de remodeler les frontières à leur avantage, déclenchant ainsi une reconfiguration chaotique de l’ordre mondial. Cette dynamique, une fois enclenchée, ne connaîtra aucun frein. Car ce qui est légitime pour l’un le deviendra pour tous.

L’histoire nous enseigne que lorsque le droit est remplacé par la force, les guerres deviennent la seule monnaie d’échange entre nations.

L’ONU en ruines : le spectre de la Société des Nations ?

L’ONU, née sur les cendres de la Seconde Guerre mondiale, n’a jamais été un véritable gouvernement mondial, mais un espace de dialogue et de régulation des conflits. Déjà affaiblie par le blocage du Conseil de sécurité, elle risque de devenir un fantôme institutionnel, réduit à la simple gestion des conséquences humanitaires des guerres qu’elle ne pourra plus prévenir.

Ce n’est pas la première fois qu’une organisation internationale s’effondre sous le poids de son impuissance. La Société des Nations avait succombé à son incapacité à stopper l’expansionnisme de l’Allemagne nazie et du Japon impérial. L’ONU pourrait connaître le même sort si elle ne parvient pas à se réinventer.

L’avenir de l’ONU repose sur un dilemme : soit elle se réinvente en un véritable arbitre doté de pouvoirs coercitifs effectifs, ce qui nécessiterait une refonte radicale de sa gouvernance et l’abandon du droit de veto des grandes puissances, soit elle sombre dans l’inefficacité et disparaît de facto, laissant place à une diplomatie fondée sur les rapports de force, où seules les alliances militaires, les blocs de puissance et les jeux d’influence dicteront l’ordre mondial. L’option intermédiaire, celle d’un statu quo où l’ONU subsiste en tant que caisse de résonance des conflits mondiaux, ne fera qu’accélérer sa marginalisation.

Vers un monde fragmenté ?

L’ère de chaos et de confrontation qui se dessine ne se limitera pas aux sphères militaires et diplomatiques. Elle marquera également la fin d’un certain modèle économique.

Depuis la fin de la Guerre froide, le monde s’est construit sur l’illusion d’une interdépendance économique qui garantirait la paix. Or, cette interdépendance est désormais une arme. La Russie, la Chine et les États-Unis ont compris que le commerce, l’énergie, la technologie et les infrastructures financières sont autant d’instruments de pression que de prospérité.

Si la logique de confrontation venait à s’imposer, les échanges commerciaux ne seraient plus guidés par la rentabilité mais par des impératifs stratégiques, entraînant une multiplication des sanctions économiques et une fragmentation accrue du commerce mondial. Face à cette dynamique, les grandes puissances se replieraient sur des blocs régionaux, marquant la fin de la mondialisation ouverte au profit d’un protectionnisme agressif, où chaque acteur chercherait avant tout à sécuriser ses intérêts face à un environnement international de plus en plus hostile.

Ce monde ne sera pas seulement plus instable, il sera aussi plus pauvre. Les innovations technologiques ralentiront, les chaînes d’approvisionnement seront perturbées, la croissance mondiale s’essoufflera.

Le chaos, terreau de l’innovation ou de l’effondrement ?

Faut-il pour autant voir dans cette ère de chaos une fatalité absolue ? L’histoire nous enseigne que les périodes de grande instabilité sont aussi celles où émergent les idées les plus révolutionnaires.

Si les États ne parviennent plus à garantir la stabilité, d’autres acteurs prendront le relais. Les entreprises multinationales, les réseaux numériques, deviendront des pôles d’influence capables de remodeler l’équilibre des pouvoirs. L’intelligence artificielle, les crypto-monnaies, les nouvelles formes de gouvernance décentralisée pourraient, à terme, supplanter les institutions en déclin.

Mais ce futur demeure incertain. Soit l’humanité trouve dans le chaos l’énergie de se réinventer, soit elle s’y engloutit. La clé réside dans notre capacité à anticiper les fractures et à bâtir de nouveaux équilibres avant qu’ils ne s’imposent dans la violence.

Il est aujourd’hui clair que le XXIe siècle ne sera pas une simple continuité du précédent, il sera soit celui de la fragmentation et de la survie, soit celui de la refondation et de l’innovation. Tout dépendra de notre capacité collective à comprendre que le chaos n’est pas une fatalité, mais une alerte.

L’histoire n’est jamais écrite à l’avance. Mais elle n’attend jamais longtemps ceux qui tardent à en prendre la mesure.

Enfin, l’humanité se trouve une fois encore entre l’effondrement et la réinvention, entre le repli sur des logiques belliqueuses et l’audace de repenser un nouvel ordre mondial fondé sur autre chose que la seule loi du plus fort. Si le chaos semble aujourd’hui l’option privilégiée par les grandes puissances, il n’est pas une fatalité. L’histoire a prouvé que l’instabilité peut être le terreau de grandes mutations, pour peu que les acteurs politiques, économiques et intellectuels sachent en tirer les leçons et proposer de nouveaux modèles. Face à la déliquescence des institutions, à la fragmentation des alliances et à la montée des confrontations, le choix n’est plus entre statu quo et conflit, mais entre la construction d’un nouvel équilibre global et l’abandon progressif à l’anarchie internationale.

L’enjeu n’est pas de préserver un passé révolu, mais d’imaginer un futur où la puissance ne serait plus l’unique critère de souveraineté et où la coopération, loin d’être un vœu pieux, redeviendrait une nécessité vitale. Si les États échouent à saisir cette opportunité, alors l’histoire se chargera, une fois de plus, de redistribuer les cartes à leur place, dans une tempête dont personne ne ressortira indemne.

Ould Amar Yahya, économiste, banquier et financier

9 Commentaires

  1. Decidemment, vous avez la follie des grandeurs… Les Americains depense en moyenne quelques 200Milliards en faveur des Canadiens plus la protection Militaire… Autant dire qu’ils sont notre copine. Il est temps qu’elle passe la nuit !
    Trudeau a courut vite jusqu’en floride et trump lui a dit « alors tu vas passer la nuit hein ? » – le gamin a pleure’ !
    Ils professe la loyaute’ au Roi Anglais et attewndent une prise en charge et protection Americaine !

    Decidemment, vous reflechissez…ooops correction REVASSEZ comme des zeroPeens et pensez que les Americains sont des cons… Comme vous les dites bien en franchie… rira bien qui rira le dernier !
    C’est comme cette histoire du hamas et gaza… Ils font un ravage et attendent que les Israeliens leur disent merci peut-etre… Bla rabi a la place de netanyahu… que ca continuera jusqu’a la derniere cartouche, de gaza au liban et partout au alentours ou il y a quelque chose qui bouge bang bang bang !!!!

  2. L’ordre mondiale vous dites :
    – avec une ONU qui n’a jamais réglé un quelconque conflit, ce qui me fait rire le plus c’est son conseil des droits de l’homme présidé souvent par des dictatures, comme l’Algérie récemment alors que des millions d’Algériens sont privés de liberté d’expression ou de liberté tout court
    – l’OMS aux mains des Chinois qui s’amusent à créer des virus dont l’un s’est échappé comme par hasard dans l’un de leurs laboratoire.
    – le CICR , comme dit un proverbe Chinois  » Si vous voulez aidez quelqu’un , ne lui donnez pas de poissons, apprenez lui à pécher  » . Combien d’hôpitaux sont construit en Afrique par exemple ou d’écoles etc…
    Je ne vais pas citer toutes les organisations internationales mais toutes ou presque sont des machines à corrompre, ou des machines à influence surtout celles où l’argent coule à flot en particulier celles financées par les états essentiellement par l’occident avec une très grande part à la charge des Américains érigées en institutions internationales.
    Heureusement que ce sont pas les pays totalitaires comme les pays du monde musulman qui dominent le monde avec les moyens de l’occident ?….je sais que c’est loin d’être parfait mais preuve visuelle à l’appui, » lorsque des gens quittent leurs pays pour des raisons politiques ou économique , ils vont en occident et certainement pas dans les pays des BRICS ….Je n’ai pas vu bcp d’occidentaux émigrés encore moins Américains alors les peuples des BRICS, si…L’explication est simple, l’occident, c’est des siècles de philosophies, de révolutions sociales, de révolutions industrielles etc… les droits de l’homme ne sont pas nés dans les BRICS
    Mr Trump est une bénédiction pour le monde entier car il est entrain de démanteler toutes ces organisations criminelles
    – toutes les finances publiques vont passées au peigne fin avec le DOGE, et je peux vous que c’est déjà la panique à bord de gauche et toute la smala wok , tout y passe le trésor publique, l’USAID etc….
    A ce que je sache, on ne vit pas dans un monde bisounours pour regretter son désordre. Je pense que c’est le moment ou jamais pour tous les autres peuples de se libérer et de s’assumer en changeant les pratiques politiques souvent corrompues en place comme le fait le peuple Américain avec Trump.

    • Là où tu te trompes, c’est de croire que Trump est la solution aux problèmes que tu as cités. Bien au contraire, Trump chamboulera tout. Chambouler, c’est bien de temps en temps. Ça secoue les choses et les remet en question. On rase tout et on recommence à zéro. Mais Trump, lui, il veut tout raser et tout refaire pour son propre bénéfice, pas pour celui de son pays, encore moins celui de l’humanité. Il veut tout détruire afin d’en profiter personnellement.
      Je l’ai dit plusieurs fois sur ces colonnes: Si Trump réussit à faire de son pays et du monde ce qu’il a fait de sa propre vie, que les dieux nous aident tous. Son paternel lui a laissé 400 millions de dollars en 1983 ou 1984. S’il avait “parqué” son fric dans un fonds d’investissement raisonnablement performant, aujourd’hui il serait 20 ou 30 fois plus riche, et s’il avait choisi les meilleurs fonds, il serait 500-600 fois plus riche aujourd’hui. Ce sont des faits vérifiables.
      400 millions de dollars – en dollars de 1983 – et après toute une série de faillites énormes et de vantardises publicitaires, il lui reste à peu près ce que son père lui a légué. Encore chanceux qu’il n’ait pas tout perdu.
      Trump, pour reprendre une expression du Sud, “is like a bullfrog: all that isn’t belly is head, and that is mostly mouth.”

      • je cite: « … Il a souligné que le défunt Premier ministre était un homme de compromis et de dialogue, mais qu’il n’a pas été autorisé à créer un parti politique pour faire avancer sa cause, et qu’il était modéré dans ses idées, mais qu’il a été marginalisé politiquement et boycotté par le système médiatique national… »

        La question est: ou as-tu capte’ tout ca, dans une grotte avec une bougie a la ghazali ou avec la parabole ?

        Retrouvez les resultats des elections, c’est toujours en ligne.
        Decidemment, vous faites parti de ceux qui crachent dans la soupe « populaire » au passage.

        Pour ce qui est des 400 Millions de dollars, il est temps de mettre ca au clair:

        Le pere de Donal Trump a fait sa fortune en construisant des « logements sociaux » au compte du Gouvernement de l’Etat de NY. Des Democrates et les pot-de-vin etent la technique. Ca marche a merveille avec les Democrates.

        Le jeune Donald trouvait que les marges de benefice etaient moindre, puisque pour les democrates construisait du « cheap » et « bas-de-game » pour les pauvres. Bref c’est tout l’interet des Democrates dans la surpopulation et la pauvrete’… plus il y en a plus ca genere des mega-projets et plus la lessiveuse marche…
        Donald voulait propose a son pere de racheter un immeuble place’ dans Manhattan, a cote’ des quartiers riches et le transformer en Hotel de Luxe. Son pere n’y croyait pas. Le raisonnement de Donald est « Vu que le systeme est corrompu, POURQUOI PRENDRE DE CEUX QUI N’ONT RIEN PLUTOT QUE DE CEUX QUI EN ONT TROP – C’est tous des voleurs apres tout ! » – Sa logique tient la route. Ceux qui ont guagne’ ce qu’ils ont se battront pour, mais pas les voleurs ! Ils iront voler davantage c’est tout ! Ils ne se plaindraient meme pas, car aller fouiller dans ces transactions-la mettra a l’evidence tous ce qu’ils ont vole’.

        Ainsi, pour commencer son projet, il aura besoin d’un Pret Bancaire pour la construction – ce que les banques comme son pere lui ont refuse’. Et c’est la qu’il reclame sa part de son heritage. Il a decide’ de pas perdre sa vie a jouer au « play boy » comme son frere ou a guaspiller sa vie a attendre. Il confrontera son pere qui evaluera la part actuelle si le pere venait a mourir demain. Sa part s’avere de 400 Millions. Le pere lui cede un million de dollars directement sur son compte et le document qui explique que c’est 25% de sa part d’heritage. Il obtient son premier projet qu’il reussit et devient independent de son pere…

        Une chose est sure . . . Tous les politiciens, surtout de la cote Nord-Est, ont recu des cheques « Trump », incluant les CLINTONs.

    • Clair est net !
      Rien a ajoutrer pour expliquer les pseudo-roles de toutrs ces organisations qui n’ont jamais résolu aucun problème.
      Par contre en terme de finance elles sont toutes des éponges d’argent.
      On espere que les dictatures, particulérment arabeo-islamiques vont tous etre toutes demontelées pour qu’enfin les peuples vont enfin retrouver leur libertés.
      S’il y avait a choisir entre 2 dictatures je prefereai un dictateur américain qu’un arabo-islamiste dont la tete est vide et dont seuls deux organes fonctionnnent: Le ventre et le bas-ventre.
      Pour ce qui est de notre pays, ou nous a mené le « nationalisme » a deux balles ?
      Certainement pour faire perdurer des dictateurs et toute sa issaba, pire que le colonialisme.
      Si en 2025 on ne peut pas dire ce que l’on pense que reste t il de « nationalisme » ou de khorotisme dans les cervelles des gens – dont la plupar t ne mangent pas a leur faim ?
      RIEN.
      Vivement une Kabylie indépendante, loin de de tous ces monstres, qui prendra son destin en main sans oukssimou billah ou machallah !

      • Ces organisations comme celle de Gates et l’Industrie Pharmaceutique – se servent du Continent Africain et et les pays recemment Independents, de LABORATOIRE. Les dites « Aides » sont des reductions de prix POUR TESTER DES MEDICAMENTS et ramasser des DATA SETs, pour ainsi prettendre que les medicaments sont « SAFE » sans ou a risque Minimal.
        Vous avez tous suivi ou lu sur les reclames du neveux de JFK, que Trump a nomme’ Secretaire(Ministre) de la Sante’.

        Bref, ainsi les medicaments sont teste’s sur des souris, puis sur le tiers-monde(moyennant corruption) avant d’etre introduits/permis dans le monde civilise’ !!!

        Une des actions majeures qu’il vient d’entamer et vous pouvez me remercier pour est l’ecartement des Organisations Religieuses qui servent de sous-traitants aux « Services Sociaux » qui sont sous la tutelle du Ministere de la Sante’. A titre d’example, les « Charite’s Catholiques » sucent toute l’aide destine’e aux Pauvres Americains pour servir de support logistique aux Migrants d’Amerique du Sud, Haiti et ailleurs… L’argent des Taxes sert a financer le recrutement de « fideles »… Mais pas que !!! Il y en a dans toutes les religions !!!

        La franchise et l’honnetete’ c.a.d. INTEGRITE’ sont lourdes a porter !

  3. Lamentables vos commentaires….
    Je ne reconnais plus ce journal que je lisais jadis sur format papier et qui ouvre desormais ses colonnes à des commentateurs incultes.

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