3 mai 2024
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La stigmatisation des Franco-Maghrébins annonce-t-elle une future guerre civile ?

Bien que durablement opposée à la double nationalité, Marine Le Pen assistera au recueillement national organisé le 07 févier 2024 dans la Cour d’honneur des İnvalides en mémoire à des Franco-İsraéliens ou İsraélo-Français assassinés par des commandos du Hamas capables de s’introduire sans difficulté aucune au centre de kibboutz implantés près des zones frontalières de l’État Hébreu.

Par sa seule présence, la présidente du Rassemblement national (RN) contredisait un principe basique susceptible néanmoins de redéfinir le jeu des allégeances en notifiant aux originaires du Maghreb, et assurément plus encore à ceux venus d’Algérie, qu’ils (ou elles) n’ont plus à se raccrocher à leur bi-nationalité mais à se fondre docilement au sein d’une collectivité française fière d’adopter les cocardières valeurs patriotiques ou souverainistes.

Aux yeux du philosophe Luc Ferry, l’incubatrice du néonationalisme-populiste n’est plus à affilier à une tendance fascisante puisqu’elle incarnerait « une droite populaire républicaine et souverainiste. Ni raciste, ni antisémite, elle n’est pas plus à droite que le RPR des années 70, pas contre-révolutionnaire et pas davantage contre l’héritage des Lumières».

Tenus le dimanche 07 janvier 2024 sur la chaîne d’information en continu LCİ, puis reformulés le lendemain sur les ondes de « RTL », les propos de celui qui réclamait au début de l’année 2019 que la police tire à balles réelles sur les virulents Gilets jaunes, en disent long sur l’état d’esprit de quelques biens pensants loin de saisir que les plus systématiquement fragilisés ne sont pas en France les Juifs mais bien celles et ceux portant un patronyme aux consonances arabo-musulmanes.

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Matérialisés par des fondamentalistes antioccidentaux, les attentats du 11 septembre 2001 susciteront une consternation planétaire qui exacerbera la méfiance envers des immigrés quiétistes n’aspirant qu’à vivre au mieux de leur labeur, qu’à bâtir sur l’échelle socio- professionnelle des trente glorieuses puis du postmodernisme la place au soleil permettant à leur progéniture d’échapper au statut peu envieux d’ouvriers OS. Seulement, d’origine modeste, et donc de facto privés des bagages cognitifs facilitant l’émancipation positive, ces éreintés des 3-8 verront avec amertume que l’ascenseur promotionnel a, au bout du compte, laissé en rade la première génération des « beurs ».

Leur grande marche de 1983 ne se traduisant pas en reconsidération sonnante et trébuchante, beaucoup d’entre eux perdront espoir et lâcheront prise. İls ne deviendront pas les modèles à suivre pour des gamins préférant finalement tenir les murs de la barre d’immeubles et servir de chouf (guetteur) à des dealeurs distribuant la dose du bonheur promis ou acquis.

Campant souvent aux abords de gares ferroviaires près desquelles trônent les semblables enseignes Kébab ou Café-Chicha, ces désœuvrés du déclassement diffusent un identique mal-être synonyme de démission ambiante, désenchantement global auquel s’est greffé l’antisémitisme d’atmosphère incitant les Français de confession israélite à quitter les cités autrefois radieuses de la banlieue parisienne.

C’est justement cette dérobade continue qu’aborde le film de Noé Debré Le dernier des juifs. Sorti le mercredi 24 janvier 2024, il s’attarde d’abord sur les inerties et incomplétudes religieuses de Bellisha (Michaël Zindel), flâneur désocialisé de 27 ans voué à fréquenter les cafés, à suivre les plans bidons du cousin ou à honorer des rendez-vous galants avec l’appétissante voisine.

Déconnecté des réalités environnantes, ce désaxé s’est détourné du poids des traditions dont il ne connait que de vagues rudiments, plane au-dessus des sollicitations originelles, ne souffre d’aucun raidissement identitaire inhérent au sceau de l’atavique judéité et demeure financièrement dépendant d’une mère (Agnès Jaoui) casanière car souffrante.

Lorsque celle-ci s’aperçoit que la fermeture de l’épicerie casher et de la synagogue résulte du départ de toute la communauté juive, une soudaine impression d’isolement l’envahit. Elle prend peur et tente dès lors de convaincre son fils de la nécessité de partir, de choisir entre la ville bourgeoise de Saint-Maurice, l’Alsace, où un poste de rabbin s’est libéré, et le grand saut en direction de la Terre promise d’İsraël.

Sur ce point, le journal The Times of İsraël assertait le 07 février 2024 que le long métrage traite de « La terrible alyah interne en France, d’un phénomène migratoire devenu obligatoire en raison de l’antisémitisme des cités qui voit certains Juifs déménager pour fuir l’insécurité ». Accusés d’être les instigateurs de la délinquance larvée, les arabo-musulmans seraient les principaux responsables de la fuite des populations juives, ou autres, supposées quitter les quartiers populaires non pas à cause de latentes incompatibilités d’humeur, de cohabitations ressenties nuisibles pour le développement éducatif de leurs progénitures, mais des incivilités d’irrécupérables sauvageons squattant dorénavant les « Territoires perdus de la République ».

L’extrême droite se délecte de ce genre de raccourci que le réalisateur dit avoir voulu éviter en zappant toute forme de violence physique ou verbale. Cependant, une de ses séquences exhibant des tags antisémites peints sur les murs de l’appartement cambriolé, l’intitulé Le dernier des Juifs laisse supposer que Bellisha serait lui-même l’ultime rescapé du « Grand remplacement », le dernier spécimen d’un irrémédiable ostracisme.

Bien que projeté le 11 janvier au Musée d’art et d’histoire du judaïsme, le film ne peut toutefois pas être tendancieusement rapporté à la solution finale qui transparaît uniquement sous-couvert des mobilités géographiques de foyers désertant les communes de Seine-Saint-Denis. Leur transmigration territoriale se concrétise en effet en court déplacement du côté de localités plus attractives d’Île-de-France, comme par exemple Charenton-le-Pont. Là, une dizaine de portraits d’otages du Hamas collés sur des panneaux furent déchirés mi-novembre 2023.

Le 16, l’éditorialiste politique Benjamin Duhamel introduisait complaisamment sur le plateau de « BFMTV » un plaignant juif révélant que le procédé provenait d’agents municipaux obéissant à un maire indocile vis-à-vis des affichages sauvages. Le même jour, Ruth Krief parlait, cette fois sur « LCİ », de pogrom au sujet des réactions anti-juives (cassages et pillages de boutiques) encouragées le 20 juillet 2014 à Sarcelles suite à une énième manifestation dénonçant, déjà à l’époque, les bombardements de Tsahal.

L’importation du conflit israélo- palestinien au sein de l’Hexagone a altéré des échanges interculturels auparavant plus cordiaux. Quelques observateurs assidus ont fait remarquer qu’ils se tendront nettement après que François Mitterrand ait décidé d’accueillir en France les militants du Front islamique du salut (FİS) privés de victoire électorale par des militaires algériens ayant interrompu en janvier 1991 le second tour des législatives.

Rétifs au concept de sécularisation ou de laïcité, ils inculqueront les préceptes du wahhabisme, soit les sources de l’İslam censé authentique, à des adolescents en décalage social, en perte d’idéal et en quête de repères transcendants. Ce noyautage idéologique accentuera le schisme culturel rendant encore plus courant l’expression « jeunes Maghrébins » que la journaliste Christine Ockrent réutilisera au moment de relater des émeutes déclenchées en 1981 aux « Minguettes » de Vénissieux. Tout juste tolérés par une frange réactionnaire s’en remettant à la Vraie souche française, ces exilés de l’intérieur font toujours l’objet d’un traitement ethnico-génétique également effectif en İsraël où une réinitialisation du sentiment d’appartenance s’est effectuée à partir de l’agence gouvernementale de l’identité nationale juive.

Prépondérante, la notion de foyer national juif appartient aux éléments de langage d’un sionisme essensialo-sacrificiel qui incite à la fabrique d’un monde d’émotions à sens unique. Quand, moins d’un mois après avoir été libérée, l’ex-otage du Hamas Mia Schem détaillait, le jeudi 28 décembre 2023, les conditions de sa détention, elle disait avoir « vécu l’holocauste». Probablement briffée en amont par les services israéliens de la propagande, la franco- israélienne se drapait de la sorte au sein de la conscience mnésique de la Shoah que le film homonyme (Shoah) de Claude Lanzmann décompose pendant 09 heures.

La chaîne France 2 le diffusera le mardi 30 janvier 2024, soit six jours après que la chaîne BFMTV se soit appliquée à poster au bas de l’écran le bandeau: « Antisémitisme en hausse de 1000% en France ». İnvérifiable, le taux ou chiffe délivré le 24 janvier 2024 par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRİF) fut le lendemain repris tel quel dans le journal de 07 heures de France-İnter. Le 07 févier 2024, la même radio parlait de Valentin, de ce Franco-Israélien de Montpellier engagé dans l’armée israélienne et victime quatre mois plus tôt des assaillants de la terreur.

Responsables de l’islamisation de la cause palestinienne, les leaders du Hamas se dédouanent du carnage en invoquant que tous les İsraéliens sont militarisés et à ce titre mentalement conditionnés pour s’approprier à jamais les « Territoires perdus de la Palestine ». İncités dès 1917 à abandonner leurs terres, 750.000 Palestiniens poussés dehors, expulsés ou menacés de mort (certains massacrés le 09 avril 1948 à Deir Yassin) prendront en 1948 le chemin de La Grande Exode (Nakba ou Catastrophe) et se réfugieront en Cisjordanie, dans la bande de Gaza (que gouvernait alors l’Égypte), en Jordanie, au Liban ou en Syrie.

Pour amortir le traumatisme, les Nations unies désignait le 20 juin 1948 un médiateur prévoyant comme sortie de crise « Le droit au retour des réfugiés palestiniens chassés de leurs terres, sans limite de nombre ». Jugée inadmissible par les sionistes radicaux du groupe Stern, cette résolution coûtera la vie à son auteur (le comte Folke Bernadotte tué le 17 septembre 1948) mais lui survivra car celle portant le numéro 194 (entérinée le 11 décembre 1948 par l’Assemblée générale de l’ONU) maintenait « qu’il y a lieu de permettre aux réfugiés qui le désirent de rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible ».

Les suprématistes ou maximalistes israéliens rêvant de pouvoir faire place nette, ils ne conçoivent aucunement de rétablir la justice onusienne ou le droit international, préfèrent au contraire créer les états de fait de divines coercitions poussant d’autres Olim’Hadachim (nouveaux immigrants) à coloniser la Cisjordanie et à se servir d’armes dissuasives. Par ailleurs, et notamment en France, une certaine intelligentsia monopolise le Cercle de la raison médiatique de façon à faire entendre la cause indiscutablement supérieure d’İsraël. Elle y proroge le sentiment de culpabilité en rappelant que des institutions françaises collaborationnistes ont envoyé des milliers de Juifs vers les camps de concentration. Récemment invités à visiter celui d’Auschwitz, plus d’une centaines d’athlètes se confronteront à la véracité crue du génocide.

Les plus affligés confieront ressentir une pesanteur temporalisée par le long métrage Zone d’intérêt. En salle depuis le mercredi 31 janvier 2024, il concentre l’attention sur le périmètre de 40 kms carrés entourant ledit casernement de palissades derrières lesquelles vivaient les familles de SS allemands.

Montée quant à elle à partir des archives du Mémorial de la Shoah, la pièce Vel d’Hiv (visible dès le 10 janvier au Théâtre Antoine) revient sur les rafles sélectives du 16 et 17 juillet 1942 conduisant femmes, hommes et enfants aux fours crématoires. Elles objectivent chez un peuple juif sur le qui-vive ce syndrome de la persécution victimaire apparue prépondérante dans l’affaire Mireille Knoll.

Lardée de plusieurs coups de couteau donnés le 23 mars 2018 à son domicile du 11ème arrondissement de Paris, l’octogénaire rescapée de la vague d’arrestations citée plus haut fut selon le rapport de nécropsie corporelle initialement la cible d’un crime crapuleux manigancé par deux repris de justice multirécidivistes atteints de troubles psychiatriques avérés. La conclusion ne satisfaisant pas le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRİF), le verdict final retiendra le caractère antisémite du meurtre, cela sous la pression des satellites mainstreams proches de l’avocat de la défense Gilles-William Goldnadel.

Survenu une année après celui de Sarah Halimi, le forfait apportera de l’eau au moulin des comptables apprêtés à relever la courbe haussière des actes visant la communauté juive de France, à valider quelques chiffrages chocs fonctionnant tels des algorithmes de recommandation ou de persuasion.

Les contester, c’est d’emblée être soupçonné d’antisémitisme, vocable repoussoir auquel les messianistes israéliens accolent, par doses homéopathiques, les vidéos du 07 octobre 2023 (la dernière a tactiquement émergé le mardi 20 févier 2024) et acclimatent les formules réductrices de la nazification.

Puisqu’il s’agit en la circonstance de déshumaniser l’Autre, et de donner corrélativement du crédit à l’expédition punitive de Benyamin Netanyahu, leur lexique et visuels justificateurs vulgarisent les doxas que des spécialistes triés sur le volet affutent en radio ou à la télévision. Pendant que Georges Bensoussan et David Khalfa (respectivement historien et chargé des « Rencontres géopolitiques » à la Fondation Jean-Jaurès) occupaient, trois semaines durant, diverses sphères cathodiques, Ophir Lévy, spécialiste des images de la Shoah, décryptait le 14 novembre 2013 sur France culture le montage des vidéos montrées ce jour-là aux élus de l’Assemblé nationale française.

À la fin d’un visionnage normalement réservé aux enceintes judicaires, Meyer Habib se larmoyait devant les caméras. Le député Les Républicains (LR) de la 8e circonscription des Français de l’étranger renouvelait le surjeu émotionnel lors de l’hommage rendu, le 07 février 2024, au cœur des İnvalides. Posté encore aux avants postes de la lamentation, il sermonnait Manuel Bompard, le coordinateur de La France İnsoumise (LFİ) puis embrassait affectueusement le président du Rassemblement national (RN), Jordan Bardella.

Assumée sur la chaîne « CNews », le rapprochement entre des chroniqueurs juifs donneurs de leçons et quelques porte-paroles porteurs des doctrines xénophobes de l’ex-Front national augure des collaborations contre nature néfastes à l’intégration démocratique d’arabo-musulmans continuellement discriminés. Maintenus aux marges lorsqu’il est question de briguer un poste au sein des convoitées institutions d’art moderne ou contemporain, d’analyser le champ politique, sociologique et anthropologique français, d’apporter de l’indispensable contradiction, les chercheurs ou universitaires historiquement associés aux anciennes colonies n’ont pas davantage droit au chapitre des plateaux télés.

Là, des relents racistes (délivrés le 09 novembre 2023) autorisaient Mattieu Bock-Côté à remettre en cause le choix du chanteur Slimane, lequel ne pourrait pas, selon le chroniqueur de CNews, incarner l’image de la France lors de l’Eurovision prévue au printemps 2024. Adressée à un interprète juif, la remarque dépréciative aurait probablement valu un blâme, voire causé la démission de Bock-Côté. Elle visait en la circonstance le représentant d’une manifestation d’envergure perfidement ramené à la communauté décriée des Franco- Maghrébins, ces catégorisés hors circuit dont la visibilité agissante risque de s’exprimer ultérieurement en émeutes, voire en guerre civile, surtout avec l’arrivée en 2017 de Marine le Pen à l’Élysée.

Saâdi-Leray Farid, sociologue de l’art et de la culture

12 Commentaires

  1. La montee de tels zigotos est un indicateur, une mesure de degre’ de degradation de la societe’ dans laquelle ils apparaissent. Enfin, Macron durcit le ton justement pour vider ce parti de substance, d’arguments et de raisons d’etre. Cependant, ces raisons, faut bien le reconnaitre, lui sont fournies par les khortis , genre le zombie tunisien qui vient d’etre renvoye’…

  2. Franco-maghrébins , yek ? Maghrébo-français , plutôt non ?

    Vous partez d’un constat réel pour charrier complètement à la fin. Vous extrayez de votre constat uniquement la stigmatisation et l’amalgame qui est fait dans les médias pour minimiser des faits pas moins vrais aussi : comme la communautarisation d’une partie des maghrébins souvent nés en France. Votre parti pris ici malgré tous vos contorsions langagière en est la plus fidèle des illustrations. Et la sortie de l’imam tunisien n’est qu’une caricature d’un malaise plus sournois et plus profond. Je mets dans le même sac ceux qui focalise là-dessus et ceux qui voudraient ignorer le mal encore plus sournois que des gens en toute apparence intégré distillent avec raffinement.

  3. Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde, disait Albert Camus. Pareillement reprendre le vocabulaire assimilationiste des gouvernements nords africains qui arabisent islamisent même les païens nos parents et grands parents, c’est contribuer gonfler les tenants de cette idéologie sordide

    • P.ost scriptum,
      Mon commentaire ci dessus concerne le titre de l’article non le corps du texte qui n’a aucun lien avec le sujet annoncé. On dirait que l’auteur appâte avec un titre accrocheur pour nous ramener à ce qu’il a vraiment dans le ventre : la cause du proche orient.
      Mal nommer les choses, amalgamer, on est en plein dedans. De berbères, on veut nous passer à musulmans, de musulmans à maghrébins, cher à canon de l’arabisme et de l’islam, avant post de l’islamisme en Occident. L’auteur, sans finesse et sans préliminaires, nous ramène comme ça le moyen orient dans un sujet sensé parler des problèmes des nord africains en Europe.

  4. Se définir d’abord comme musulman dans un pays européen c’est donner dans la provocation et c’est porteur de menaces sur la République et de fractures dans la société. Musulman dans ton for intérieur ou dans ta salle de bain, sur le siège de tes toilettes, passe encore. Nous sommes suffisamment armés intellectuellement, scientifiquement pour ne plus suivre ces fables.

  5. Je vis dans un pays européen. Originaire d’Algérie, je ne suis pas musulman, ni chrétien ni autre chose. Pourtant, je suis discriminé et exclu., en butte à des difficultés inouïes. Je n’ai rien à prouver, mais on me considère comme un étranger. C’est à dire un être inférieur.

  6. Marine n’est pas ma tasse de thé ,mais la réalitè est sous nos yeux , les maghrébiens veulent coloniser la France d ‘une façons sournoise , en utilisant l’islam comme vecteur identitaire . Les fréres musulman ont fini leurs travail d’abrutissement de la sociétè algérien et ils le continuer d’une façons insidieuse en Europe . vivent de l’argent des kouffars cela ne les gêne pas du tout  » toute sorte de subventions » . Obtenir la nationalité Française pour leur confort , cela ne les dérage pas , mais craché dans la soupe non plus . Nous avons obtenu notre indépendance ; nous devons rester chez nous pour construire notre pays ; mais un quarterons de génèreaux  » kabranette  » ont usurper cette indépendance sur le dos d’un sacrifice énorme . 1,5 millions de martyres . La France défend son identité et elle a bien raison . La nôtre Tamazighte elle a était foulé au pied . Alors messieurs arrêter de vous victimiser . décolonisons d’abord notre terre et nos esprits après on peut philosopher sur la France . Azul

      • Sur 10 lignes , tu t’arrête à un chiffre . c’est le chiffre que les algériens prennent comme référence vraie ou faux c’est pas important , c’est le contenu de mon poste . J’ai donné un coup de corne aux islamistes ; j’ai défendu notre Amazighité . Tu me déçois , tes prècédents posts étaient plus cohérent ;allez sans rancune .Azul .

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