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Le militaire selon Einstein : une entité dépourvue de cerveau !

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REGARD

Le militaire selon Einstein : une entité dépourvue de cerveau !

Ce ne peut être que par erreur qu’il a reçu un cerveau : une moelle épinière lui suffirait amplement.

Ce ne peut être que par erreur qu’il a reçu un cerveau : une moelle épinière lui suffirait amplement.

Ainsi avait parlé Albert Einstein du militaire : « Pour moi, l’élément précieux dans les rouages de l’humanité, ce n’est pas l’État, c’est l’individu, créateur et sensible, la personnalité ; c’est elle seule qui crée le noble et le sublime, tandis que la masse reste stupide de pensée et bornée de sentiments. »

Ce sujet m’amène à parler de la pire des créations, celles des masses armées, que je ne supporte pas ! Je méprise profondément celui qui peut, avec plaisir, marcher en rangs et formation, derrière une musique : ce ne peut être que par erreur qu’il a reçu un cerveau : une moelle épinière lui suffirait amplement.

On devrait, aussi rapidement que possible, faire disparaître cette honte de la civilisation. 

L’héroïsme sur commandement, les voies de fait stupides, le fâcheux esprit de nationalisme, combien je hais tout cela ! combien la guerre me paraît ignoble et méprisable ! J’aimerais mieux me laisser couper en morceaux que de participer à un acte aussi misérable. En dépit de tout, je pense tant de bien de l’humanité que je suis persuadé que ce revenant aurait depuis longtemps disparu si le bon sens des peuples n’était pas systématiquement corrompu, au moyen de l’école et de la presse, par les intéressés du monde politique et du monde des affaires.

La plus belle chose que nous puissions éprouver, c’est le côté mystérieux de la vie. C’est le sentiment profond qui se trouve au berceau de l’art et de la science véritable. Celui qui ne peut plus éprouver ni étonnement ni surprise est pour ainsi dire mort ; ses yeux sont éteints. »

À propos de cerveau, nous savons déjà qu’à l’exemple de Gaïd Salah, le militaire algérien était dépourvu de sens désintéressé du service pour la patrie. Tout affaire de prébende et de pouvoir pour lui. « Son Généralissime » Khaled Nezzar n’avait-il pas traité son homologue de cervelle de pois-chiche ? Comme si son propre QI était d’ordre supérieur !

Einstein aurait certainement été fier du peuple algérien qui s’est égosillé deux ans durant avec un pacifisme exemplaire : « Dawla Madania Macci 3askaria ! ». 

En résumé, il serait grand temps de mettre un cerveau à la tête du pays ! Tout le reste n’est que blablas subjectif.

Auteur
Kacem Madani

 




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