Arrestations, harcèlement judiciaires, intimidations policières, chômage, viols des foules par la manipulation de l’information, … le régime de Tebboune est une machine à reproduire le désespoir pour les Algériens.

Tebboune a définitivement douché les espoirs nés du 22 mars. La terreur gouverne le pays. C’est le règne de la verticale du pouvoir. L’armada policière, appuyée par une justice aux ordres et une toile médiatique des plus serviles, à l’image d’El Hayat, Ennahar, Echourouk, etc., s’emploient de concert pour tuer toute volonté de contestation des Algériens.

Nous assistons depuis plusieurs semaines à un énième tour de vis autoritaire. Rien ne doit transpirer désormais, selon les hommes au pouvoir. Les Algériens doivent entrer dans les rangs, accepter l’agenda sans rechigner ni moufter.

N’ayons pas peur des mots. Une démocrature brutale, cynique et fermée à tout espoir d’ouverture s’est installée d’autorité à la présidence et à tous les secteurs stratégiques de la décision.

Avec 65 détenus d’opinion, on ne peut pas prétendre diriger un pays démocratique !