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mercredi 2 juillet 2025
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Migration : plus de 100 ressortissants nigérians rapatriés d’Algérie

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Image d'illustration OMI.

L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a annoncé le rapatriement de 104 migrants nigérians depuis l’Algérie vers Lagos, au Nigeria lundi 30 juin. Cette opération s’inscrit dans le cadre du programme d’Aide au retour volontaire et à la réintégration (AVRR), mis en œuvre par l’OIM en coordination avec les autorités algériennes.

Ce vol marque la troisième opération de rapatriement de ce type organisée entre l’Algérie et le Nigeria depuis le début de l’année 2025. Grâce au soutien de l’OIM, plus de 430 migrants nigérians ont pu regagner leur pays dans des conditions sûres et dignes.

Un personnel de terrain de l’OIM a accompagné les migrants durant le voyage. Une infirmière faisait également partie de l’équipe pour prendre en charge un migrant nécessitant une attention médicale particulière.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme de Protection et de Réintégration des Migrants en Afrique du Nord (MPRR-NA), financé par l’Union Européenne. Ce programme vise à apporter un soutien humanitaire aux migrants et à faciliter leur retour volontaire vers leurs pays d’origine, en garantissant leur dignité et en tenant compte de leurs besoins spécifiques.

Ce rapatriement souligne la collaboration continue entre l’Algérie, l’Union Européenne et l’OIM dans la gestion des questions migratoires, en privilégiant des approches humaines et inclusives.

L’OIM en Algérie : un partenaire clé pour une gestion migratoire humaine

En complément de l’opération de rapatriement de migrants nigérians, il est essentiel de comprendre le rôle fondamental que joue l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) en Algérie. Présente dans le pays depuis 2002, l’OIM est un acteur majeur dans la gestion des flux migratoires, travaillant en étroite collaboration avec les autorités algériennes et les partenaires internationaux, dont l’Union Européenne.

Un cadre d’action complexe et stratégique

L’Algérie, en raison de sa position géographique stratégique, se trouve au carrefour de plusieurs routes migratoires en Afrique du Nord. Ce contexte en fait un pays de transit crucial, où l’OIM intervient face à des mouvements migratoires variés, souvent influencés par des facteurs économiques, sociaux, environnementaux et géopolitiques. L’accord de siège signé en 2002 a jeté les bases d’une coopération structurée, permettant à l’OIM de déployer ses programmes dans un environnement dynamique.

Missions principales : protéger, faciliter, renforcer

L’action de l’OIM en Algérie s’articule autour de plusieurs objectifs clés, tous visant à promouvoir une gestion des migrations qui soit à la fois humaine et ordonnée :

Sauver des vies et protéger les migrants vulnérables

L’une des priorités absolues de l’OIM est la fourniture d’une assistance humanitaire essentielle aux migrants en situation de vulnérabilité. Cela inclut les personnes en situation irrégulière, les demandeurs d’asile déboutés, les victimes de la traite des êtres humains, ainsi que les individus nécessitant des soins médicaux, les personnes handicapées, les femmes enceintes et les parents isolés avec de jeunes enfants. L’OIM s’engage à garantir leur dignité, leur sécurité et leur protection, en particulier dans les situations de crise.

Faciliter le retour volontaire et la réintégration dans la dignité 

Comme illustré par le récent rapatriement des migrants nigérians, l’OIM est un acteur central du programme d’Aide au Retour Volontaire et à la Réintégration (AVRR). Ce programme permet aux migrants qui souhaitent rentrer dans leur pays d’origine de le faire dans des conditions dignes et sûres. L’OIM ne se contente pas d’organiser les vols humanitaires et d’assurer un accompagnement logistique et médical ; elle offre également une assistance à la réintégration dans le pays d’origine, qui peut prendre la forme d’un soutien à l’insertion professionnelle ou à la création d’activités génératrices de revenus.

Renforcer la gouvernance migratoire et les capacités nationales

L’OIM travaille activement avec les autorités algériennes pour améliorer la gestion globale des migrations, y compris la gouvernance des frontières. Elle organise des ateliers de formation pour les représentants gouvernementaux et les acteurs locaux, afin de renforcer leurs compétences et de promouvoir une approche holistique et basée sur des données probantes. L’Organisation encourage également la coopération aux niveaux national, régional et mondial, en ligne avec les cadres internationaux comme le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières.

Partenariats et perspectives

L’OIM en Algérie participe activement à des initiatives régionales et spécifiques, telles que le programme de Protection et de Réintégration des Migrants en Afrique du Nord (MPRR-NA), financé par l’Union Européenne. Ses projets vont de l’assistance sanitaire aux migrants au soutien des communautés d’accueil, en passant par la réponse aux besoins urgents des personnes déplacées.

En somme, l’OIM s’efforce de répondre aux défis complexes de la migration en Algérie par une approche compréhensive et collaborative, axée sur la protection des droits des migrants, l’assistance humanitaire et le renforcement des capacités institutionnelles pour une gestion migratoire plus efficace et résolument humaine.

Samia Naït Iqbal

Source: site officiel de  l’OIM en Algérie 

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Affaires Christophe Gleizes et Sansal : Retailleau dénonce l’omerta de la France

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Bruno Retailleau.
Retailleau.

« On ne perd jamais à dire la vérité » : Retailleau dénonce l’omerta sur l’affaire du journaliste Christophe Gleizes et défend Boualem Sansal

Fermeté ou discrétion ? Le ministre Bruno Retailleau reconnaît l’échec de certaines stratégies françaises dans la gestion des dossiers sensibles avec l’Algérie. Invité de France Inter, il revient sur les cas de Boualem Sansal et du journaliste Christophe Gleizes, tout en critiquant la diplomatie du silence prônée par le Quai d’Orsay. Il plaide pour la justice et appelle à rétablir une véritable réciprocité dans les relations franco-algériennes. À quelques jours du 5 juillet, fête nationale algérienne, il place ses espoirs dans une grâce présidentielle en faveur de Boualem Sansal, qu’il décrit comme un « symbole » de la nation civique.

Invité du Grand Entretien de France Inter ce mardi matin, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau est revenu longuement sur la situation de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné en Algérie à cinq ans de prison pour « atteinte à la sûreté de l’État ». Alors que la justice algérienne doit rendre son verdict en appel, le ministre a exprimé un espoir prudent : celui d’une possible grâce présidentielle à l’occasion de la fête nationale algérienne, le 5 juillet prochain.

« J’espère qu’on arrive enfin au terme et au dénouement de cette affaire », a-t-il déclaré. Tout en rappelant qu’il avait été « le tenant de la ligne de la fermeté » à l’égard du pouvoir algérien, Retailleau ne cache pas sa volonté de ne « rien hypothéquer » : « Boualem, pour moi, c’est un symbole. Ce n’est pas quelqu’un qui est né en France, mais il sert la langue française. Il incarne ce que nous sommes : une nation civique. On peut s’attacher à la France non par le sang, mais par le cœur et par l’esprit. »

Il évoque notamment son dernier ouvrage, Le français, parlons-en, qu’il cite avec émotion, comme pour mieux souligner l’importance intellectuelle et morale de Sansal dans l’espace francophone. « Même une histoire tempétueuse ne doit pas justifier l’omerta », a-t-il insisté, en référence aux relations complexes entre Paris et Alger.

« Le silence ne paie pas »

L’entretien a aussi été marqué par une critique de la stratégie diplomatique dite de discrétion, appliquée notamment dans le cas du journaliste sportif Christophe Gleizes. Ce dernier, sous contrôle judiciaire pendant plus d’un an, vient d’être condamné par un tribunal algérien. « Cette stratégie n’a pas fonctionné. Personne n’en parlait. Moi, je n’y ai jamais cru. On ne perd jamais à dire la vérité », a affirmé Bruno Retailleau.

Interrogé sur la connaissance qu’il avait de l’affaire Gleizes, Retailleau a admis l’avoir apprise récemment, « par les médias, comme tous les Français ». Une réponse qui soulève des interrogations sur la coordination entre le Quai d’Orsay et l’Intérieur dans la gestion des dossiers sensibles impliquant des ressortissants français à l’étranger.

L’impasse diplomatique

Au fil de l’entretien, le ministre a également évoqué les limites du rapport de force engagé par la France ces derniers mois avec l’Algérie — notamment à travers la politique des visas ou la remise en question de l’accord de 1968 sur les flux migratoires. « On a été trop gentils avec l’Algérie », a-t-il dit, avant de concéder que les résultats escomptés n’étaient pas au rendez-vous.

« Quand deux pays ont des accords, ils doivent être réciproques. C’est ce manque de réciprocité que je conteste », a-t-il martelé, dénonçant une relation déséquilibrée et marquée par des blocages structurels.

Entre les principes de fermeté et les nécessités de la diplomatie, l’État français semble aujourd’hui dans une position inconfortable, naviguant entre les gestes d’apaisement espérés de la part d’Alger et la pression d’une opinion publique de plus en plus sensible à ces dossiers.

À quelques jours du 5 juillet, date hautement symbolique pour l’Algérie, l’espoir d’une grâce présidentielle en faveur de Boualem Sansal reste suspendu à une décision politique qui dépasse le simple cadre judiciaire. Attendons donc de voir jusqu’où peut aller Tebboune?

Samia Naït Iqbal

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Boualem Sansal condamné en appel à cinq ans de prison

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Boualem Sansal
Sansal Condamné à 5 ans de prison

L’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné en Algérie depuis novembre dernier , a été condamné en appel, mardi 1er juillet, à cinq ans de prison et 500 000 dinars (3 270 euros) d’amende.

Cette terrible sentence confirme la peine en première instance du 27 mars. « Le verdict du tribunal de première instance a été confirmé. Vous avez huit jours pour introduire un pourvoi en cassation », a déclaré en français la présidente à l’attention de M. Sansal, après avoir lu l’énoncé du verdict en arabe.

L’innommable s’est encore une fois produit. La justice sous Tebboune s’est montrée fidèle à ses verdicts arbitraires et insensés.

Droit dans ses chaussures, Boualem Sansal avait répondu point par point aux question ahurissante de la juge. L’auteur a souligné que son procès était surtout celui de la littérature. Il lui est aussi notamment reproché notamment son voyage, il y a quelques années, pour un salon du livre en Israël. Seul hic c’est qu’il y a des conseillers actuels de Tebboune qui ont fait eux aussi un voyage en Israël sous l’ère Bouteflika. Faut-il les démettre et les jeter en prison ?

Interrogé par l’Agence France-Presse (AFP), le nouvel avocat français de l’écrivain, Me Pierre Cornut-Gentille, arrivé ces derniers jours à Alger, n’a pas voulu se prononcer sur cette éventualité. « Je n’ai pas de déclarations à faire, je dois rendre visite à mon client pour discuter avec lui d’un éventuel pourvoi », a-t-il dit. Le défenseur de M. Sansal, âgé de 80 ans et atteint d’un cancer, a expliqué l’avoir « rencontré hier [lundi] » et déclaré : « Il va bien ».

Le parquet avait requis dix ans de prison. Il est notamment reproché à Boualem Sansal des déclarations en octobre 2024 au média français d’extrême droite Frontières, dans lesquelles il estimait que l’Algérie avait hérité sous la colonisation française de territoires appartenant jusque-là au Maroc.

Boualem Sansal (80 ans) a été accusé d’« atteinte à l’unité nationale », « outrage à corps constitué », « pratiques de nature à nuire à l’économie nationale » et « détention de vidéos et de publications menaçant la sécurité et la stabilité du pays ». L’auteur a été arrêté à sa descente d’avion à Alger le 16 novembre 2024.

Avec AFP

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Algérie: « L’ère Tebboune ou le retour d’un leadership algérien »

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Tebboune

Depuis son investiture à la magistrature suprême en décembre 2019, le président Abdelmadjid Tebboune a engagé l’Algérie dans une mue profonde, à la hauteur des espérances d’un peuple longtemps en quête de renouveau.

Dans un contexte marqué par une crise de confiance inédite entre gouvernants et gouvernés, et par un déclassement de l’Algérie sur le plan international, l’arrivée du chef de l’Etat a marqué le coup d’envoi d’une transformation que d’aucuns n’hésitent plus à qualifier de «transformation radicale», tant sur le plan politique, diplomatique qu’économique.

Reconstruire la confiance, priorité nationale

Héritier d’un pays réveillé par le mouvement populaire de 2019 et la léthargie institutionnelle des années précédentes, Abdelmadjid Tebboune a, d’emblée, posé les jalons d’une refondation politique : dissolution du Parlement, élections législatives anticipées, intégration accrue de la jeunesse dans la vie publique. En l’espace de six ans, il a su retisser le lien distendu entre l’Etat et ses citoyens, redonnant une place centrale au peuple dans l’édifice institutionnel. «Le citoyen est une ligne rouge», martèle le président de la République pour une reconquête de la dignité nationale et internationale tant sapée par les pratiques d’un ancien régime.

La révision de la Constitution, adoptée par référendum, a consacré de nouveaux équilibres de pouvoir, consolidant les droits et les libertés, tout en affirmant le principe de la souveraineté populaire comme clef de voûte du projet national. Une démarche qui, pour beaucoup, réhabilite le serment du 1er Novembre 1954 et l’esprit d’une Algérie fière de ses racines révolutionnaires, sacralisant les combats héroïques d’hier, mais résolument tournée vers l’avenir.

Diversification et ambition économique

Le pari de l’après-hydrocarbure est sans conteste l’un des chantiers majeurs de l’ère Tebboune. Dans un pays longtemps prisonnier de la rente pétrolière, la relance de l’industrie, la modernisation de l’agriculture et le soutien aux exportations hors hydrocarbures témoignent d’une volonté claire : asseoir une économie diversifiée, génératrice de richesses et d’emplois.

Aujourd’hui, l’Algérie affiche un taux de croissance du PIB de 4,2 %, une performance saluée par de nombreux analystes et d’institutions financières internationales qui voient là un signe tangible de résilience et de redressement.

Parallèlement, les exportations hors hydrocarbures poursuivent leur essor, atteignant près de 7 milliards de dollars, une première historique qui confirme la capacité du pays à amorcer un véritable virage économique et à édifier une économie qui va profiter aux futures générations.

La stratégie ferroviaire nationale, érigée en symbole de la bataille pour la relance industrielle, illustre cette ambition. Car gagner la guerre du rail, c’est tracer la route vers l’émergence, la conquête de nouveaux marchés, renforcer la profondeur africaine et tisser une géopolitique de l’interdépendance entre partenaires.

Le président Tebboune mise aussi sur le savoir et l’innovation comme leviers incontournables du développement durable. La création d’écoles nationales dédiées à l’intelligence artificielle et le soutien accru à la recherche et à l’auto-entrepreneuriat viennent ancrer cette orientation dans le concret, préparant une génération capable de répondre aux défis technologiques de demain. La start-up a été au cœur de ce dispositif comme un levier de reconquête pour les jeunes talents algériens.

Un retour affirmé sur la scène internationale

Sur le plan diplomatique, la voix de l’Algérie a retrouvé sa portée. Fidèle à ses principes immuables, défense de la justice, attachement au règlement pacifique des conflits, respect du droit international, affirmation des souverainetés nationales au détriment de la guerre prédatrice, le pays s’affirme de nouveau comme un acteur de paix et de médiation, une puissance de conciliation dans un monde où les certitudes vacillent et où les grands principes s’érodent.

Du Sahel à la Méditerranée, de la question palestinienne à la défense des causes africaines, l’Algérie assume pleinement son rôle de puissance régionale, libre de ses choix et de ses positions. Une posture et un positionnement qui dérangent parfois, car la fermeté du principe secoue le discours ambiant, mais qui consolide sa crédibilité et son image auprès des peuples qui voient en elle un partenaire fiable, constant et respectueux des engagements.

Un nouveau cap

Bien entendu, le chemin reste semé de défis, mais force est de constater qu’en moins de six années, l’Algérie a renoué avec l’espoir. Elle avance, portée par la foi d’une jeunesse encouragée à prendre part à l’édification de son propre destin. Le Président reconstruit un Etat en intégrant le citoyen comme acteur de sa propre prospérité.

L’Algérie est forte de ses femmes et de ses hommes. Un adage simple, mais qui trouve aujourd’hui un écho tangible dans chaque pas posé sur la voie du renouveau. Dans un environnement international instable, l’Algérie s’affirme, et c’est sans doute là, la plus grande réussite d’un leadership qui se veut à la fois ferme, moderne, pragmatique et profondément ancré dans les valeurs d’un peuple épris de liberté et de dignité.

APS

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Gaza : « Sans accord sur les otages, nous réduirons tout en poussière » menace un responsable israélien

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Gaza
Gaza rasée par l'armée israélienne.

Sans un accord avec le mouvement islamiste palestinien Hamas sur les otages détenus à Gaza, Israël « étendra l’opération terrestre » dans la bande de Gaza et « tout s’effondrera en poussière », a déclaré un responsable israélien anonyme cité dans un message sur X par Barak Ravid, journaliste du site d’information « Axios ».

Le 30 juin, les Forces de défense israéliennes (FDI) ont émis un ordre d’évacuation de la ville de Gaza et de Jabalia, dans le nord de la bande de Gaza, pour des raisons de « sécurité ». « Les Forces de défense opèrent avec une force extrême dans ces zones, et ces opérations militaires vont s’intensifier et s’étendre vers l’ouest, en direction du centre-ville, afin de détruire les capacités des organisations terroristes », a écrit le porte-parole de Tsahal ce matin, expliquant que « le retour dans les zones dangereuses constitue une menace » pour la vie des Palestiniens.

« Nous voulons tenter de parvenir à un accord au plus vite, mais si nous constatons au cours de la semaine qu’il n’y a personne à qui parler, nous étendrons l’opération terrestre. Nous ferons à la ville de Gaza et aux camps centraux ce que nous avons fait à Rafah. Tout s’effondrera. Ce n’est pas notre option préférée, mais si aucun progrès n’est réalisé vers un accord sur la prise d’otages, nous n’aurons pas d’autre choix », a déclaré le responsable israélien, cité par le journaliste d’« Axios ».

De plus en plus de zones contrôlées par des clans et de moins en moins par le Hamas

Selon Barak Ravid, « le danger pour la vie des otages augmente dans le contexte d’anarchie dans la bande de Gaza et du fait que de plus en plus de zones sont contrôlées par des clans et non par le Hamas ». Un haut responsable israélien, cité par Ravid, a déclaré qu’« Israël souhaite parvenir à un accord car le danger pour la vie » des personnes enlevées augmente chaque jour. « La crainte est que les membres du Hamas tuent les otages s’ils se sentent menacés par les clans locaux », a déclaré le journaliste d’« Axios ».

Selon les rapports de l’ONU, plus de 550 citoyens palestiniens sont tombés en martyrs sous les tirs de l’armée sioniste, alors qu’ils tentaient de se procurer de la nourriture aux points de distribution d’aide dans la bande de Gaza. L’offensive de l’armée israélienne depuis le 7 octobre 2023 a fait plus de 56 000 morts palestiniens dont l’écrasante majorité sont des enfants et des femmes. Plus de deux tiers des centres hospitaliers sont détruits et 80% des infrastructures de la bande de Gaza réduites en poussière.

Avec Nova News

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Classement du BEM : le RCD pointe une dérive politicienne du ministère Saadaoui

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Atmane Mazouz
Atmane Mazouz

Les réactions sur ce ministre de l’Education qui transpire le racisme anti-Kabyle ne sont pas finies tant les déclarations de cet ancien conseiller de Tebboune ne suscite que nausée et rejet.

Le Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD) monte au créneau et dénonce avec virulence ce qu’il qualifie de « manœuvre politicienne » du ministre de l’Éducation nationale, M. S. Saâdaoui, à propos de la publication des résultats du Brevet d’enseignement moyen (BEM). Dans un communiqué signé par Atmane Bensid, secrétaire national chargé de l’Éducation au sein du parti, le RCD accuse le ministre de travestir la réalité pour des fins politiques en intégrant, de manière incompréhensible, une école algérienne basée à l’étranger dans le classement national des wilayas.

Cette décision, jugée « troublante et regrettable » par le parti d’opposition, est perçue comme une tentative délibérée d’effacer des performances locales exemplaires, notamment celle de la wilaya de Tizi-Ouzou qui, une fois encore, a obtenu les meilleurs résultats au niveau national. « Au lieu de saluer cette réussite, fruit de l’engagement collectif des enseignants, des élèves, des familles et du personnel éducatif, le ministre a préféré la passer sous silence et brouiller les repères », déplore le RCD.

Derrière cette polémique, le parti voit une volonté assumée de relativiser les efforts accomplis dans certaines régions, à travers une gestion « biaisée et politisée » des données scolaires. Le communiqué parle même d’ »instrumentalisation des chiffres », symptôme d’un ministère plus préoccupé par les équilibres politiques que par la mission éducative de l’État.

Le RCD élargit la critique en mettant en lumière d’autres établissements d’excellence, tels que les écoles des cadets de la Nation ou encore certaines structures publiques et privées, souvent ignorées par l’administration, qui atteignent des résultats remarquables malgré un manque criant de moyens. Pour le parti, ces exemples démontrent qu’un système éducatif performant est possible, à condition de volonté politique, de rigueur pédagogique et d’éthique dans la gestion.

Mais le fond du malaise, selon le communiqué, dépasse la simple publication d’un classement : il touche aux maux structurels d’un système éducatif à bout de souffle. Le RCD pointe notamment la surcharge des programmes, la formation lacunaire des enseignants, les inégalités régionales, le manque d’autonomie pédagogique et l’emprise du dogmatisme sur l’innovation et la raison.

C’est dans cette optique que le RCD appelle à un « débat national, inclusif et transparent » sur l’avenir de l’école algérienne. Un débat qui associerait tous les acteurs concernés – enseignants, syndicats, parents, élèves, chercheurs, société civile – loin des « replis idéologiques » et des logiques de pouvoir.

« Le ministère ne devrait pas manipuler les classements, mais tirer des leçons de ce qui fonctionne », conclut le texte, dans un appel sans détour à un changement de cap. Pour le RCD, l’école algérienne ne peut plus être un instrument de régulation politique : elle doit redevenir un pilier de la République et un moteur de justice sociale. C’est la moindre des choses mais on en est bien loin avec des ministres comme M. Saadaoui.

Yacine K.

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Prix Mare Nostrum 2025 : la Méditerranée en 7 essais

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D'une révolution à l'autre

Conflits, cultures, résiliences et métissages : la sélection essais du Prix Mare Nostrum 2025 offre un voyage intense dans les fractures et les promesses du monde méditerranéen. De Gaza à Gênes, d’Abd el-Kader à Jean Sénac, sept ouvrages scrutent l’Histoire, interrogent la mémoire, décryptent les sociétés.

Le Prix Mare Nostrum 2025, qui distingue des œuvres littéraires en lien avec l’espace méditerranéen, a révélé une sélection d’essais particulièrement riche cette année. Les sept titres retenus offrent autant de portes d’entrée sur un monde en tension, où la transmission, la justice, la spiritualité et la résistance sont au cœur des récits.

Karima Berger – Abd el-Kader ou la quête de lumière

Karima Berger retrace avec sensibilité le parcours de l’Émir Abd el-Kader. De l’enfance algérienne aux batailles contre l’envahisseur français, de la prison d’Amboise à la sagesse de Damas, ce livre est un hommage vibrant à un homme de paix. Loin de l’hagiographie, Berger fait entendre une voix mystique et politique, ancrée dans la foi et tournée vers l’universel.

Gaza, une guerre coloniale – Sous la direction de Véronique Bontemps et Stéphanie Latte Abdallah

Cet ouvrage collectif revient sur le conflit à Gaza à la lumière d’un siècle de colonialisme de peuplement. Les contributions d’historiens, juristes et sociologues déconstruisent la lecture médiatique dominante et analysent la violence structurelle qui frappe le peuple palestinien. Un livre essentiel pour penser Gaza au-delà de l’actualité immédiate : comme théâtre d’un “futuricide” planifié.

Hamid Grine – Sénac et son diable

Avec cet essai-enquête, Hamid Grine revient sur la mort jamais élucidée de Jean Sénac, poète solaire et marginal, assassiné à Alger en 1973. Entre souvenirs personnels, archives et témoignages, il rouvre une page enfouie de l’histoire culturelle algérienne. Sénac devient ici le miroir d’une Algérie indépendante encore en proie à ses contradictions. Une réflexion sur les silences, les exclusions et les fidélités.

Fabien Lévy – Gênes, la matrice du capitalisme

Fabien Lévy redonne à Gênes la place qui lui revient dans l’histoire du capitalisme moderne. De cité portuaire au rayonnement méditerranéen à centre financier global, Gênes est le laboratoire discret d’un monde en gestation. Colonies, traite négrière, crédit international : un essai limpide et rigoureux sur les mutations économiques de la Méditerranée.

Carine Marret – Les Chrétiens d’Orient et la France

De mille ans de relations passionnées entre la France et les Églises d’Orient, Carine Marret tire une fresque historique éclairante. Des croisades au mandat français, de la protection à l’abandon, cet essai interroge les fidélités diplomatiques et les silences contemporains. Un plaidoyer pour une mémoire active face à l’effacement progressif de ces communautés.

Valentina Napolitano – Le camp de Yarmouk (1956-2019)

Yarmouk, plus grand camp palestinien de Syrie, fut un carrefour politique et culturel majeur. Valentina Napolitano retrace son histoire, de la Nakba à sa destruction récente. Elle y raconte les espoirs panarabes, les résistances palestiniennes, puis l’enlisement tragique de la guerre syrienne. Un récit à hauteur d’humain, entre exil, mémoire et luttes.

William Navarrete & Pierre Bignami – La Méditerranée intime

Dans cet ouvrage inclassable, les auteurs nous entraînent dans une odyssée culinaire, culturelle et sensible. À travers anecdotes, portraits, recettes et récits familiaux, ils dessinent une Méditerranée charnelle, gourmande et pleine d’âme. Un hommage aux gestes, aux saveurs, aux mémoires populaires.

Du politique au poétique, de l’économie à la spiritualité, la sélection 2025 du Prix Mare Nostrum fait de la Méditerranée un territoire de pensée et de récit. Une mer vivante, traversée de douleurs, mais aussi de lumière.

Djamal Guettala  

Créé en 2020 à Perpignan, le prix Mare Nostrum célèbre la littérature méditerranéenne en mettant en avant des écrivains dont les œuvres favorisent l'échange culturel et enrichissent cet héritage littéraire
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France : Christian Estrosi et Delphine Ernotte en garde à vue

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Christian Estrosi et Laura Tenoudji
Christian Estrosi et Laura Tenoudji placés en garde à vue.

Christian Estrosi, puissant maire de Nice et Delphine Ernotte, présidente de France Télévision ainsi que la compagne du maire Laura Tenoudji sont placés en garde à vue dans une enquête portant sur des soupçons de détournement de fonds publics et de prise illégale d’intérêt.

Les époux Estrosi dans le viseur

Une enquête judiciaire a été ouverte en août 2024 par le parquet de Marseille pour des soupçons de détournement de fonds publics, prise illégale d’intérêts et faux en écriture publique, selon les révélations de Mediapart. Au cœur de cette affaire : l’organisation de l’Eurovision Junior, diffusé sur France 2 le 26 novembre 2023, et la participation de Laura Tenoudji, épouse du maire de Nice Christian Estrosi, à la cérémonie d’ouverture.

Le choix de confier un rôle de coanimation à Laura Tenoudji, journaliste et ancienne chroniqueuse à Télématin, suscite la controverse. La ville de Nice, dirigée par son mari, avait en effet apporté un soutien financier conséquent à l’événement, estimé à 605 000 euros. C’est un fonctionnaire territorial qui aurait signalé ces faits à la justice, selon Mediapart.

Une autre affaire en parallèle : le « Nice Climate Summit »

Cette enquête s’ajoute à une autre procédure, initiée après un signalement d’élus écologistes niçois. Elle concerne le Nice Climate Summit, un colloque sur l’environnement coorganisé par les collectivités locales et le média économique La Tribune, auquel Laura Tenoudji devait également participer. Là encore, les fonds publics sont au cœur des interrogations. Bien qu’elle ait été annoncée comme intervenante bénévole sur deux tables rondes, la polémique avait conduit Laura Tenoudji à renoncer à sa participation.

Plusieurs personnalités entendues

Ce lundi, une dizaine de personnes ont été convoquées dans le cadre de ces enquêtes, initialement ouvertes à Nice avant d’être transférées à la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille. Parmi elles figurait Jean-Christophe Tortora, président de La Tribune et directeur général de CMA Média.

Interrogé par l’AFP, le parquet de Marseille a déclaré ne pas souhaiter s’exprimer à ce stade de la procédure.

De son côté, France Télévisions a confirmé la convocation de sa présidente Delphine Ernotte-Cunci, ainsi que de plusieurs salariés du groupe et d’une filiale. Le groupe audiovisuel public a assuré qu’il collaborerait pleinement à l’enquête et réservait ses déclarations aux autorités judiciaires.

Les époux Estrosi contestent toute irrégularité

Selon Mediapart, les investigations viseraient directement Christian Estrosi et son épouse, qui contestent toute infraction. Les développements à venir devront déterminer si des irrégularités ont bien été commises dans la gestion des fonds publics et l’attribution de prestations dans le cadre de ces événements.

La rédaction avec AFP

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Jean-Claude Michot : le romancier des existences oubliées

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Jean-Claude Michot
Jean-Claude Michot

Jean-Claude Michot, né à Lyon, est un romancier au parcours atypique : après vingt années passées au volant de son taxi dans la ville des rives du Rhône et de la Saône, il se consacre à l’écriture à partir de l’âge de 60 ans, donnant naissance à une œuvre dense et diversifiée. Son expérience de chauffeur, constituée d’innombrables histoires croisées, s’impose aujourd’hui comme une source d’inspiration fondamentale, sans jamais être l’unique matrice de son style.

Les premières œuvres de Michot telles que 1927. Marthe, institutrice et fille-mère (2017), puis Jean le taxi marquent le début d’une écriture puissante, intime, souvent autobiographique. Ces textes rendent hommage à ses racines familiales – la figure de sa grand-mère et la souffrance de son père abandonné – et témoignent d’une écriture comme cri du cœur bien plus qu’exercice de style.

Installé désormais en Dordogne, dans le Périgord, Michot continue d’explorer la mémoire intime, l’identité provinciale et les tensions familiales, comme dans Les vignes de la veuve (2018), ancré dans le monde viticole, ou encore Périgord, 1930. Il était scieur de long (2022), où il s’attache à restituer la dure réalité ouvrière au début du siècle.

Ces dernières années, Jean-Claude Michot s’est affirmé comme un romancier prolifique, renouvelant constamment ses registres tout en approfondissant ses thèmes de prédilection. Il déploie notamment une série d’ouvrages à la croisée du roman noir, du récit de mémoire et du roman psychologique, avec une prédilection pour les vies cabossées, les secrets enfouis et les milieux modestes.

Avec Nom de code : C.19, Michot entre dans le territoire du roman contemporain à tonalité dystopique ou politique : à travers ce titre énigmatique, il interroge les effets d’une crise mondiale sur les destins individuels, dans un récit à la fois ancré dans le réel et empreint de suspense. L’écriture y est tendue, parfois nerveuse, marquée par un regard inquiet mais lucide sur notre époque.

Autour du personnage d’Albert, il développe un cycle romanesque original avec Les trois vies d’Albert, suivi de La quatrième vie d’Albert. Cette série suit un personnage en quête de réinvention, traversant différentes existences — sociale, intime, spirituelle — dans une tentative obstinée d’échapper à l’assignation. Jean-Claude Michot y mêle humour discret, tendresse pour l’errance humaine et critique sociale, dans une narration libre, parfois fragmentée, toujours habitée.

Enfin, L’affaire Aigle (2023) s’impose comme l’un de ses polars les plus sombres et ambitieux. Plongé dans une atmosphère dense et nocturne, le roman met en scène une série de meurtres énigmatiques dans un Lyon traversé par les ombres du passé et les failles de ses habitants. Michot y combine une intrigue efficace à une dimension plus symbolique, presque métaphysique, où l’aigle devient figure de menace et de puissance ambiguë.

Le dernier roman de Jean-Claude Michot est Une sombre histoire de famille (sorti le 7 juin 2024). Ce roman noir, empreint de suspense psychologique, explore les non-dits familiaux, les blessures transgénérationnelles et les secrets qui pèsent lourd sur plusieurs générations. Avec une écriture tendue et immersive, Michot interroge le poids du passé, l’héritage invisible et les tourments que l’on ne choisit pas toujours de vivre.

Dans Une sombre histoire de famille (2024), son dernier roman, publié en autoédition, il explore les non-dits et les blessures transgénérationnelles à travers un récit tendu et troublant, où le passé familial agit comme une bombe à retardement. Loin d’un simple drame domestique, le roman interroge ce que l’on hérite malgré soi, et ce que l’on choisit de taire.

Par ces ouvrages récents, Jean-Claude Michot affirme une écriture en mouvement, capable de jouer avec les codes du genre tout en conservant une voix très personnelle. Il poursuit, avec une énergie renouvelée, son exploration des vies discrètes, des douleurs silencieuses et des espoirs fragiles, dans une langue accessible, directe, mais toujours habitée.

La plume de Michot mêle la spontanéité du récit oral, l’efficacité du dialogue, la tension narrative du polar et la profondeur d’une chronique sociale. Son approche ne se réclame pas d’un style unique, mais d’une sincérité sans fard : il raconte la vie comme elle est, brute, complexe, faite de rencontres banales et de drames imprévus.

Son impact se mesure dans sa capacité à toucher un large public : ses romans suscitent l’émotion autant que l’adhésion, valorisés par la presse locale et les lecteurs en quête d’authenticité. En s’immergeant dans des univers parfois populaires, parfois intimes, Michot réenchante les figures oubliées – taxi, scieur, institutrice, artisan – et fait de leur existence ordinaire un matériau universel.

Aujourd’hui, à la retraite, il poursuit son œuvre d’écrivain prolifique, émaillant la scène littéraire d’œuvres variées et engagées. Son apport réside dans cette voix singulière : celle d’un homme ayant vécu, écouté, observé, et qui, désormais, transpose la vie en mots avec la justesse et la simplicité d’un conteur. Un nouveau livre est déjà attendu : Max en Russie, qui promet d’élargir encore un peu plus l’horizon de son imaginaire.

Brahim Saci

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Affaire de la condamnation de Christophe Gleizes : le collectif de défense de Cherif Mellal précise

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Cherif Mellal

Le collectif de défense de Cherif Mellal, ancien président de la JSK arbitrairement embastillé, apporte un démenti quant à des déclarations malintentionnées concernant des contacts entre Mellal et le journaliste français Christophe Gleizes avant leur emprisonnement.

Dans le sillage des récentes publications évoquant la condamnation du journaliste Christophe Gleizes, certaines personnes d’ évidence malintentionnées ont, de manière totalement déraisonnable, cité le nom de M. Chérif Mellal , notre mandant ,comme étant le dirigeant du club de la JS Kabylie rencontré par ce dernier.

Nous tenons à rappeler fermement que notre mandant, Chérif Mellal n’ a exercé les fonctions de président de la JSK que durant la période s’ échelonnant entre 2018 et 2021.

De plus notre mandant n’ a jamais rencontré le journaliste Christophe Gleizes.

A cet égard , il est important de souligner que l’article de Reporters sans frontières (RSF), ainsi que celui de So Foot, évoquent des contacts effectués avec un responsable d’un club sportif durant la période allant de 2015 à 2017, soit bien avant que notre mandant n’ assure la présidence du club de la JSK.

Par ailleurs M. Chérif Mellal n’est nullement cité par les articles précités ayant fait l’objet d’une extrapolation purement malveillante.

D’ un autre côté, notre mandant, Chérif Mellal a été la cible d’une campagne haineuse et diffamatoire, visant à le présenter à tort comme étant un « séparatiste».

Ceci s’ est traduit par l’enclenchement de poursuites judiciaires à son encontre, sans fondement aucun.

D’ ailleurs nous tenons à rappeler que la chambre d’accusation prés la cour d’Alger a fait bénéficier notre mandant d’ une décision portant non lieu définitif du chef d’ accusation relevant des dispositions de l’article 87 bis du code pénal et que, de plus, son procés pour de prétendus faits d’ atteinte à l’ intégrité du territoire national a été couronné par la relaxe pure et simple de notre mandant confortant ainsi son innocence de l’ intégralité des faits qui lui étaient imputés.

Nous, collectif de défense de Chérif Mellal appelons donc l’ensemble des médias, des commentateurs et du public à faire preuve de discernement et du sens de la responsabilité et à s’abstenir de toute diffusion ou reprise d’informations erronées susceptibles de nuire à la réputation et à l’honneur de notre mandant.

Dans le cas contraire nous nous réservons le droit d’engager toute action judiciaire utile à l’effet de protéger les droits, l’honneur et les intérêts de M. Chérif Mellal, notre mandant.

Alger, le 30/06/2025

Le collectif d’avocats de M. Chérif Mellal.

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