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Le journaliste Smaïl Djerbal relâché

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DERNIERE MINUTE

Le journaliste Smaïl Djerbal relâché

Après son enlèvement par des hommes des services de renseignement ce mardi matin, le procureur de la république a exigé la remise en liberté du journaliste Smaïl Djerbal dès la matinée. Son arrestation n’aura finalement pas duré longtemps, puisque ce journaliste a recouvré sa liberté en milieu de la journée.

Smaïl Djerbal, journaliste d’Alg24, un site d’Ennahar TV, a été « enlevé » devant les caméras de la télévision qui ont d’ailleurs tout filmé, par des hommes des services de renseignement du général-major Athmane Tartag. 

Auteur
La rédaction

 




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Un journaliste d’Ennahar TV « enlevé » par des agents de renseignement à Alger (Vidéo)

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DERNIERE MINUTE

Un journaliste d’Ennahar TV « enlevé » par des agents de renseignement à Alger (Vidéo)

Dans un communiqué lu à l’antenne, Ennahar TV annonce que Smail Djerbal, rédacteur en chef Alg24, un site du groupe Ennahar TV média, a été enlevé, mardi 9 octobre, par des agents de renseignement devant le siège même du média.

La chaîne de télévision Ennahar diffuse les images de l’arrestation et montre les hommes qui sont présentés comme ceux de la Direction des affaires de sécurité en train d’arrêter Smaïl Djerbal.

Elle précise, dans son communiqué, que ce journaliste a été enlevé par des agents des services de renseignements sans mandat d’arrêt de la justice.

Cette source affirme que la raison de cet « enlèvement » est un article dans lequel « le journaliste s’interrogeait sur l’absence de médiation de la Direction des affaires de sécurité (DAS) dirigée par Athmane Tartag, alias Bachir, dans le blocage de l’APN »

Le groupe de presse ajoute également que le patron de la DAS a menacé lundi 9 octobre le journaliste de l’arrêter sans mandat d’arrêt, ajoute la même source qui ignore le lieu de l’arrestation. 

 Dans un filet, Ennahar rapporte que le procureur de la république ordonné la libération du journaliste.

Cet acte est un précédent gravissime. Il nous renvoie aux années sombres des enlèvements et survient à un moment où le pays est paralysé par une crise multidimensionnelle. 

Auteur
La rédaction

 




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Journaliste saoudien disparu : Erdogan met la pression sur Ryad

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Affaire Jamal Khashoggi

Journaliste saoudien disparu : Erdogan met la pression sur Ryad

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a mis lundi les autorités saoudiennes au défi de « prouver » qu’un journaliste saoudien porté disparu avait quitté le consulat saoudien à Istanbul, après des informations sur son assassinat par des agents de Ryad. »Les responsables du consulat ne peuvent pas s’en tirer en disant qu’il a quitté le consulat, les autorités compétentes doivent le prouver », a déclaré M. Erdogan lors d’une visite à Budapest, en réponse à une question sur le mystère entourant la disparition à Istanbul du journaliste saoudien critique Jamal Khashoggi. « S’il est en parti, vous devez le prouver avec des images », a-t-il ajouté.

M. Erdogan, après s’être borné dimanche à indiquer qu’il attendait les résultats de l’enquête en cours sur la disparition, mardi, de M. Khashoggi, semble accentuer la pression sur Ryad. Les Saoudiens assurent que le journaliste a quitté le consulat à Istanbul après y avoir effectué des démarches administratives.

« Les allers et venues à l’aéroport sont en train d’être examinés. Il y a des gens qui sont venus d’Arabie saoudite. Le parquet est en train d’examiner cette question », a poursuivi le chef de l’État. 

Peu avant les déclarations de M. Erdogan, les médias turcs ont révélé qu’Ankara avait demandé à fouiller le consulat saoudien d’Istanbul pour tenter d’élucider le mystère entourant la disparition de M. Khashoggi, 59 ans.

Selon la chaîne privée NTV, la demande a été formulée auprès de l’ambassadeur saoudien à Ankara par le ministère turc des Affaires étrangères où il a été convié dimanche, pour la deuxième fois en moins d’une semaine.

Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane avait déjà invité vendredi les autorités turques à fouiller le consulat où Jamal Khashoggi s’était rendu mardi, mais d’où il n’est jamais sorti selon la police turque.

Le journaliste, un critique du pouvoir de Ryad qui écrivait notamment pour le Washington Post, s’était rendu au consulat en vue de son prochain mariage.

Des responsables turcs ont affirmé samedi soir que, selon les premiers éléments de l’enquête, M. Khashoggi a été assassiné à l’intérieur du consulat.

Des sources turques ont affirmé que l’opération avait été menée par un groupe composé de 15 personnes qui se sont rendues au consulat après être arrivées à Istanbul à bord de deux avions le même jour.

« Mauvaises histoires » 

Une manifestation a été organisée devant le consulat lundi, rassemblant des soutiens du journaliste qui brandissaient son portrait barré du message « Nous ne partirons pas sans Jamal Khashoggi ».

« Nous exigeons sa libération immédiate s’il est vivant », a déclaré à la presse Mohamed Okda, un consultant en politique et ami du journaliste. « Sinon, nous aimerions savoir ce qui lui est arrivé exactement et les détails de ce qui s’est passé ». 

« Nous souhaitons que sa situation soit éclaircie le plus rapidement possible », a déclaré à Paris la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Agnès von der Mühll.

Dans un éditorial dimanche, le Washington Post a également appelé les États-Unis à « exiger des réponses fortes et claires » de l’Arabie saoudite. « Si le prince héritier ne répond pas en coopérant pleinement, le Congrès doit, dans un premier temps, suspendre toute coopération militaire avec le royaume », estime le quotidien.

Citant un responsable américain briefé sur la question par ses homologues turcs, le journal affirme que « le corps de Khashoggi a été probablement découpé et mis dans des caisses avant d’être transféré par avion hors du pays ».

Donald Trump s’est dit « préoccupé » lundi par la disparition du journaliste. « J’espère que ça s’arrangera. À l’heure actuelle, personne ne sait rien là-dessus. De mauvaises histoires circulent. Je n’aime pas ça », a déclaré le président américain à des journalistes à la Maison Blanche.

« Nous appelons le gouvernement d’Arabie saoudite à soutenir une enquête approfondie sur la disparition de M. Khashoggi et à être transparent quant aux résultats de cette enquête », a indiqué dans un communiqué son secrétaire d’État, Mike Pompeo.

M. Khashoggi s’est exilé aux États-Unis l’année dernière, redoutant une arrestation après avoir critiqué certaines décisions de Mohammed ben Salmane et l’intervention militaire de Ryad au Yémen.

Ryad promeut une campagne de modernisation depuis que Mohammed ben Salmane a été désigné héritier du trône en 2017. Mais la répression contre les dissidents, avec des arrestations de religieux, de personnalités libérales et aussi de militantes féministes s’est accentuée depuis.

Auteur
AFP

 




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Passion romanesque

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LE COIN DES POETES

Passion romanesque

Je peins le ciel aux couleurs de tes yeux

Pour que mon âme aille mieux

Jalonnant tes aortes en pieux

Répugnant les êtres anxieux

Aérer mon cœur au souffle de ton âme

Hypnotisé par la magie de ton charme

Je reste prisonnier dans tes yeux de femme

Libère-moi en laissant couler quelques larmes

Je ne me réclame pas en Dieu

Mais juste en un homme soucieux

Même si je glandouille dans tous les lieux

Mon esprit n’est guère licencieux

Je m’invite dans tes rêves, que j’entame

Donnant vie à tes désirs qui m’enflamment

Hiberné dans ta caverne, j’ouvre avec la clé de sésame

Je viens en ton secours sans que tu me réclames

Je reste fidèle à mes aïeux :

Franc, modeste et non capricieux

Leur sang est digne des glorieux

Je ne parle pas sur un ton malicieux

 

Tu restes dans ton coin comme une daine qui brame

Avec ta robe blanche immaculée que mes yeux trament

Apportant à mon cœur flegme et calme

Et balayant ces couards qui te jettent des blâmes

 

Ton regard me couve d’un amour précieux

Épargnant de tout air prétentieux

Je te suis comme une ombre sans être obséquieux

Un amour réel, pudique et non fallacieux

 

Loin des aguicheurs de fleurs de macadam

Leur univers est parsemé de drames

Ta chasteté n’est pas à la portée du premier quidam

Tant que je luis à tes côtés comme une flamme.

 

Cet espace est le vôtre ami(e)s poète(esse)s. Nous vous le réservons pour la publication de vos poèmes avec votre illustration.

Auteur
Bachir Djaider

 




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Amazigh Legend’s du 11 au 13 octobre à Paris

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Festival de musique et des Arts Berbères

Amazigh Legend’s du 11 au 13 octobre à Paris

Il s’agit de consacrer un temps fort, récurrent, à Paris, en proposant une programmation artistique riche et ambitieuse, dont l’objectif est de valoriser la musique et les arts berbères.

D’édition en édition, diverses formes artistiques seront présentes : musique, poésie, photographie, danse, conte, lecture…

La 1ère édition se déroulera du 11 au 13 octobre, dans le 10ème arrondissement de Paris,  à La Scène du Canal / Jemmapes (116, Quai de Jemmapes)

Voici la programmation de cette 1ère édition :

JEUDI 11 OCTOBRE

Nourredine Chenoud

Auteur, compositeur et interprète kabyle.

A l’âge de 13 ans, il se passionne pour la musique et fabrique sa propre petite guitare à 2 cordes. Il commence alors à jouer des airs traditionnels, notamment ceux issus du répertoire de Slimane Azem.

Dès le début des années 1970, il est largement diffusé en France et en Algérie. Avec une douzaine d’albums et plus d’une centaine de chansons à son actif, l’artiste devient très vite un chanteur populaire.

Le style musical acoustique de Nourredine CHENOUD, ainsi que la nouvelle génération d’artistes des années 70, a connu une audience certaine qui n’a pas manqué d’attirer, sans cesse, de nouveaux adeptes. Une école et un symbole sont nés.

Ferhat Bouda: Voyage photographique en musique

Ferhat Bouda est né et a grandi en Kabylie. En 1994, le Mouvement Culturel Berbère lançait la « grève du cartable », appelant au boycott de l’école algérienne et à la lutte pour la reconnaissance officielle de la langue berbère.

Cet épisode a été déterminant dans sa prise de conscience du caractère vulnérable, menacé de cette culture. C’est alors que Ferhat met tout en oeuvre afin de contribuer à la reconnaissance et à la transmission de cette langue berbère.

Il s’installe en France dans l’objectif de réaliser un film en langue kabyle, et c’est finalement en 2002 qu’il a opté pour la photographie, qui s’est la mieux adaptée à sa sensibilité et à son engagement.

Il débute ainsi son travail sur la préservation de la culture berbère et de ses formes multiples. Il développe cette enquête photographique aussi bien en France et en Allemagne où il vit depuis 2005, qu’en Algérie, au Maroc, en Lybie aux côtés des rebelles berbères, en Tunisie après la chute de Ben Ali, ou encore au Nord du Mali avec les Touaregs…

VENDREDI 12 OCTOBRE 

Tarik Aït Menguellet

Auteur, compositeur et interprète, Tarik Aït Menguellet, appelé TAM (son nom d’artiste), propose un univers musical mêlant des mélodies universelles aux couleurs traditionnelles kabyles. Il choisit une formation instrumentale acoustique qui lui permet d’obtenir la sonorité idéale : l’élégance musicale en toute simplicité, au service du texte.

En effet, on se laisse naturellement charmer par le mélange des timbres des vents, tels la flûte, le ney ou l’harmonica, les cordes de la guitare, violon ou contrebasse, et les rythmes du bendir.

SAMEDI 13 OCTOBRE

Sissi Imaziten

Sissi Imaziten vous invite au voyage en kabylie dans la région des Bibans. Elle a su saisir l’essence des chants traditionnels de son village pour écrire et composer des chants intemporels qui vous transporteront vers d’autres horizons. C’est sa rencontre avec Saïd Akhelfi, le grand joueur de flûte traditionnelle et dépositaire de la tradition musicale berbère qui permet à la sensibilité créative de Sissi de s’exprimer pleinement. Sissi Imaziten espère rendre ses lettres de noblesse au chant traditionnel, un art vivant et en constante évolution.

Muhend Nnegh

Artiste kabyle, auteur compositeur et interprète, son premier album « Tawaract » en juin 2018.

La musique et les textes de Muhend, sont inspirés de l’histoire et le l’âme de la Kabylie ancienne et contemporaine.

Entre tradition et modernité, ses mélodies vous feront voyager à travers toute l’Algérie…

 

 




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Le coureur marocain Hicham El Barouki remporte la course

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9e édition du marathon international des amis d’Imadghassen

Le coureur marocain Hicham El Barouki remporte la course

C’est dans une ambiance conviviale que se sont rassemblés les 1500 coureurs de tous âges  venus de 12 pays pour participer à cette course à pied. Elle a pris le départ du stade 1er Novembre 54, (OPOW), jusqu’au point d’arrivée qu’est le tombeau d’Imadghassen, soit 42 km.

Le coureur marocain Hicham El Barouki a remporté sans difficulté cette 9ème édition. Ce marathon dont le coup d’envoi a été donné au centre-ville de Batna a été marqué aussi par l’arrivée de Slimane Moulay, sociétaire du Club d’Alger, en deuxième position suivi de Sadek Mourad Hamla de la sélection de la protection civile.

Le président de l’association des amis d’Imadghassen a indiqué au Matin d’Algérie lque a 9 e édition du marathon international a été organisée en partenariat avec la ligue d’athlétisme, la direction de la jeunesse et des sports. Les délégations résidant hors de la wilaya ont été tout naturellement prises en charge au CLS de Kechida, pas loin du centre ville de Batna. Selon la même source, les courses de ce marathon international ont été programmées sur trois types de course pour plusieurs catégories. A commencer par le 12 km, ensuite le 25 km et enfin le 42 km.

Les pays participants sont : la Belgique, Maroc, Croatie, France, Japon, Mali, Palestine, Pays-Bas, Portugal, Suède, Tunisie, Zimbabwe, le Congo-Brazzaville et l’Algérie, pays d’accueil.

En plus de sa vocation sportive, cette manifestation ambitionne, selon les organisateurs, de mettre les projecteurs sur le tombeau d’Imadghassen, un monument en état de dégradation particulièrement inquiétante. Il est le plus ancien témoin de l’architecture berbère préromaine. Il est daté de 3 à 4 siècles av. J-C, et aurait été le tombeau d’un roi massyle ancêtre de Massinissa.

Auteur
Abdelmadjid Benyahia

 




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Le pétrole baisse, vers une position moins dure de Washington sur l’Iran

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MARCHE

Le pétrole baisse, vers une position moins dure de Washington sur l’Iran

Les cours du pétrole reculaient lundi en cours d’échanges européens, le marché espérant une réduction de l’offre iranienne moins marquée alors que Washington envisage de laisser certains pays importer, selon des sources citées par la presse financière.

Vers 14H00 GMT (16H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait 83,71 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 45 cents par rapport à la clôture de vendredi.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » (WTI) pour le contrat de novembre cédait 24 cents à 74,10 dollars une heure après son ouverture.

Alors que la Maison Blanche avait adopté une ligne dure sur les sanctions infligées à l’Iran, qui viseront directement les exportations de pétrole du troisième plus grand producteur de l’Opep à partir de début novembre, l’administration de Donald Trump est toujours en discussion pour accorder des exemptions à certains importateurs, ont affirmé à l’agence Bloomberg deux sources proches du dossier.

« Les sanctions américaines sont très importantes pour le marché, et la raison première de la hausse récente des prix » qui a propulsé les cours à leur plus haut niveau en quatre ans début octobre, ont commenté les analystes de JBC Energy.

Les investisseurs se focalisaient donc sur ces informations, « contradictoires avec l’idée de réduire à zéro les exportations iraniennes » comme l’avait affirmé le conseiller à la sécurité nationale du président Trump John Bolton en août, a souligné Tamas Varga, analyste chez PVM.

Selon cet analyste, « les actions pèsent plus lourd que les mots » et les prix pourraient repartir à la hausse si les exemptions ne se matérialisent pas.

« Le plus gros des sanctions est déjà intégré aux cours », ont en revanche jugé les analystes de JBC Energy, qui estiment que la baisse récente des exportations iraniennes va être compensée par d’autres producteurs.

Auteur
AFP

 




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Lettre ouverte à Nouria Benghebrit, ministre de l’Education nationale

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APPEL DESESPERE

Lettre ouverte à Nouria Benghebrit, ministre de l’Education nationale

Je viens par le biais de cette lettre Mme la Ministre de l’Education nationale, attirer votre attention sur mon cas. Après 40 ans de loyaux service au sein du Ministère. J’ai été responsable du Centre d’Accueil Mogador où j’ai habité aussi comme logement de fonction (pendant 23 ans).

Après ma sortie en retraite, je me vois menacé d’expulsion, on ne m’a même pas prévenu ou essayé de se pencher sur mon cas. On m’a envoyé un huissier et depuis j’ai désigné un avocat pour suivre mon cas.

La semaine passée encore une fois j’ai eu la visite de l’huissier avec un document que je devais sortir du logement. Je ne sais plus quoi faire, ni quoi penser, je n’ai vraiment pas où aller, bien qu’à l’époque on m’a promis de se pencher sur mon cas et que je devais m’installer dans ce centre provisoirement. Et depuis on m’a tout simplement oublié.

Au lieu d’être dans mon logement après ma retraite, je me vois traîner dans les tribunaux.

Est-ce juste ? C’est là la récompense ? Je pense qu’il y a des enquêtes pour voir que je n’ai pas où aller, je me retrouverai dans la rue avec mes enfants. Pour cela, je viens vous demander de bien vouloir vous pencher sur mon cas. Car je ne sais plus à quelle porte frapper, je suis vraiment désespérer.

Je sais que vous êtes une femme d’honneur et j’ai entièrement confiance en vous et à l’aide que vous apporterez à mon cas.

Veuillez croire, Madame la Ministre, à l’expression de mes salutations respectueuses.

M. Kamel Larouci

Responsable du Centre d’Accueil Mogador du Ministère de l’Education Nationale (en retraite).

Auteur
M. Kamel Larouci

 




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La levée de fonds de Tiregwa 20968 -2018 prévue samedi 3 novembre

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ANNONCE

La levée de fonds de Tiregwa 20968 -2018 prévue samedi 3 novembre

La levée de fonds de la fondation Tiregwa 2968/2018 aura lieu :

Date : samedi 03 novembre à 19h

Lieu: Salle le mirage,

8604 Boul. Langelier,

St-Leonard, H1P 2Y4, Montréal

Pour réserver votre place dès maintenant, prière d’envoyer un courriel au : tiregwa.info@gmail.com

De part votre présence, vous contribuerez sans aucun doute à la promotion de la production littéraire en Tamazight. A cet effet, chaque année la fondation Tiregwa organise des concours de littérature amazigh, notamment un concours de nouvelles et un concours du meilleur roman.

Pour rappel, la Fondation Tiregwa a pour mission d’appuyer et soutenir des initiatives et des projets visant le développement et la promotion de la langue, de la culture et l’identité amazighes.

Les lauréats des prix Rachid Aliche et Belaid At Ali pour l’année 2018 sont:

– Prix Racid Ɛalic du meilleur roman:

Hocine Louni, avec son roman  »Asebbaɣ ».

– 1er Prix Belɛid At Ɛli de la meilleure nouvelle:

Larbi Yahioune avec sa nouvelle intitulée  »Tudert-nniḍen ».

– 2ème Prix Belɛid At Ɛli de la meilleure nouvelle:

Tilelli Bellal avec sa nouvelle intitulée  »Tayri n Facebook ».

– 3ème Prix Belɛid At Ɛli de la meilleure nouvelle:

Igli n Tlelli, avec sa nouvelle intitulée  »Usan-d seg yigenni ».

Le 11 août 2018, une cérémonie de remise des prix a été organisée à Tizi-Ouzou en présence de grandes figures de la littérature kabyle, ainsi que des amis de la fondation Tiregwa comme Linda Koudache, écrivaine et première romancière en tamazight, Younes Adli, écrivain et historien, Aumer U Lamara, écrivain et romancier, etc.

Tiregwa

Auteur
Faouzi Chelibane

 




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Cameroun: le candidat Maurice Kamto revendique la victoire à la présidentielle

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ELECTION

Cameroun: le candidat Maurice Kamto revendique la victoire à la présidentielle

L’un des principaux candidats à la présidentielle de dimanche au Cameroun, Maurice Kamto, a revendiqué lundi à Yaoundé la victoire face au président sortant Paul Biya, affirmant avoir « marqué le penalty ».

« J’ai reçu mission de tirer le penalty, je l’ai tiré et je l’ai marqué », a déclaré M. Kamto lors d’une conférence de presse. « J’ai reçu du peuple un mandat clair que j’entends défendre jusqu’au bout ».

Ancien ministre délégué à la Justice et avocat, Maurice Kamto, 64 ans, est président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC). Il avait reçu vendredi le soutien d’un autre candidat de poids, Akere Muna, qui s’était retiré de la course en sa faveur.

M. Muna était présent lundi à la conférence de presse de Maurice Kamto.

Maurice Kamto a dénoncé de « multiples cas de fraude orchestrée par le pouvoir », auquel il a néanmoins tendu la main: « Mes bras leur restent ouverts pour qu’on oeuvre ensemble à la renaissance nationale ».

Vendredi soir, Paul Atanga-Nji, ministre de l’Administration territoriale (Intérieur), avait invité « tous les acteurs politiques (…) à faire preuve d’un sens de responsabilité afin que le processus qui a si bien commencé se termine dans le même esprit »,.

« Toute forme de remise en cause du verdict des urnes en dehors des voies légales ne sera pas tolérée », avait-il prévenu.

Légalement, le Conseil constitutionnel, composé de proches du président Biya, est le seul habilité à proclamer des résultats, au plus tard deux semaines après le scrutin.

Durant la campagne officielle, M. Kamto a tenu pas moins de douze meetings dans tout le pays qu’il a sillonné sans relâche depuis le lancement de son parti en 2012.

M. Kamto faisait partie des sept candidats opposés au favori Paul Biya, 85 ans, ans dont près de 36 au pouvoir, qui briguait un 7e mandat consécutif.

Auteur
AFP

 




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